Conclusion La Fuite Du Temps

en même temps un espace imaginaire parallèle. La dimension imaginaire n'est pas donnée par les toponymes inventés (qui sont en fait la transposition romanesque des lieux de la jeunesse d'Alain-Fournier), mais par la possibilité de se déplacer d'une dimension à l'autre à travers des procédés de "brouillage": l'auteur laisse la voie ouverte à l'imaginaire, il se concède la liberté de nous donner des informations qui ne correspondent pas à la réalité, introduisant ainsi un élément de fuite du réel parmi

Baudelaire Tiré du recueil : Les fleurs du Mal Thèmes abordés : La fuite du temps, la poursuite de ce même temps mais sans parvenir à le rattraper. Problématique : Comment peut-on faire ressortir la vulnérabilité de l’homme face au temps à travers différents types d’œuvre ? Composition : Ce poème est composé de six strophes de quatre vers tous en alexandrins. La composition est intéressante à étudier puisqu’elle est à l’image même du temps : (6 x 4 = 24 soit les vingt quatre heures de la journée ;

romantisme. Victor Hugo est mort à Paris le 23 May 1885 à 83 ans. Plus de 3 millions de personnes ont assisté à ses funérailles. A) La fuite du temps a) Les enchainements logiques Dans le premier quatrain, la place a l’initiale dans trois vers d’adverbe de temps « demain » (v. 2) et « puis » (v. 3 et 3). L’anaphore du dernier souligne l’importance du thème du temps, également présent dans les deux derniers quatrains « bientôt » (v. 15). L’anaphore mise en relief par le rythme ternaire du vers 4 marque

l’intérêt d’un thème ; par exemple sur les sentiments : « car c’est ainsi que la vision d’une poésie est la plus belle » -expliquer l’origine du choix personnel : une ville natale, un pays, un auteur qu’on veut (re)découvrir, un sentiment fascinant… Conclusion : expliquer comment les poèmes choisis illustrent un art d’écrire apprécié, spécifiquement poétique : «Ne dites pas : mourir ; dites « naître dans la lumière d’un ange » (Hugo) ; « L’acte d’écriture est une façon de se raccrocher à la vie » ;

poursuivi ses bombardements contre des cibles activistes dans la bande de Gaza dimanche pour la cinquième journée consécutive, par des moyens navals et aériens avant une éventuelle intervention terrestre, tandis que l'Egypte voulait croire possible la conclusion d'une trêve. Depuis mercredi, les raids israéliens ont fait 47 morts du côté palestinien dont environ la moitié de civils, selon un bilan fourni par les autorités palestiniennes. Israël a été touché par plus de 500 roquettes en provenance de Gaza

.......................................................................................................15 Ajustement des spoilers.................................................................................................................18 Conclusion..........................................................................................................................................21 Index...................................................................................................

Introduction Présenter l'auteur et l'œuvre, puis le passage étudié. Lecture du texte Annonce des axes Axe de lecture : Un dénouement tragique - Plan : I- La fuite, II- La mort, III- La folie Lecture méthodique I - La fuite : A. Il n’y a aucune autre issue : ni le combat, inégal, ni le sacrifice, inutile. Pylade, roi et conseiller, cherche à sauver son ami Oreste. Il lui propose la solution de la dernière chance. Acte I, scène 1, il était là pour accueillir Oreste. Acte V,

Du Bellay, L’Olive « Déjà la nuit en son parc amassait » INTRODUCTION C’est le 83ème sonnet du recueil l’Olive (1549) qui a été publié en même temps que Défense et Illustration de la langue française. Du Bellay reprend un thème de Pétrarque et Rinieri : le levé du soleil dont la beauté est comparé à celle de la femme aimée mais qui éclipse le soleil. Il Célèbre le jour mais surtout la femme de ses désirs. Construction du poème Evocation métaphorique de la nuit et de l’aube Le visage de la femme

césures interviennent au milieu d’un mot : res // tons – pas // ssent Cette coupe au milieu d’un mot affaiblit la césure et ralentit le rythme : ( symbolisation du mouvement lent de la Seine. (// écoulement du temps.) La brisure du verbe rester souligne l’impossibilité de la permanence : le temps ne peut s’arrêter : rester < étymologiquement s’arrêter. Nous pouvons aussi y relever une impossibilité à retrouver cet amour évoqué sémantiquement tout au long du poème. 2. Les enjambements verticaux Comme

sociologiques, économiques et politiques, et nous livre ses réflexions sous forme de réponses aux questions essentielles touchant au principe de notre existence. Parfois dérangeantes et bousculant beaucoup de nos certitudes, ses conclusions ouvrent dans le même temps des horizons nouveaux à travers l’éclairage inédit et original de nos comportements, des rapports avec les autres et du fonctionnement des sociétés en général. Hypothèses Les hypothèses que l’auteur s’emploie à démontrer dans