Conclusion La Parure

séquence 3. Objet d’étude : argumentation : persuader, convaincre et délibérer Corpus : Texte A : Guy de Maupassant, La Parure (1884) Texte B : Emile Zola, La Curée (1871-72) Texte C : Honoré de Balzac, La Peau de chagrin, 2ème partie « La femme sans cœur » (1831) Texte D : Marcel Proust, Du côté de Guermantes, Tome II, ch.2 (1921) Texte A - Guy de Maupassant, La Parure (1884) M. Loisel, modeste fonctionnaire du ministère de l’Instruction publique, est invité à une soirée à l’hôtel du ministère

précédent, nous pouvons en conclure que la mode, même après 100 ans, ne cesse d’évoluer. En effet, dans sont récit, Montesquieu dit par exemple « Les architectes ont été souvent obligés de hausser, de baisser et d'élargir leurs portes, selon que les parures des femmes exigeaient d'eux ce changement », ce qui nous montre que d’un claquement de doigts, le mode se démode. Et nous finirons cette partie avec une citation de Jean Cocteau qui illustre parfaitement ce que nous venons de dire : « La mode, c’est

Homère les chants ont conservés ce fond mycéniens. * Les noms des citadelles qui ont été repris : Mycènes, Tirynthe, Sparte, Pylos et Crète. Ces villes là ont laissé leurs ruines et objets qu’on retrouve chez Homère, tel que des globes d’or, des parures en or et d’ivoire. Certaines coutumes ont été gardé, par exemple l’usage du bain donné a Ulysse ce qui montre qu’il y avait des baignoires en terre cuite qu’on a retrouvé a Pylos. Grace aux objets on peut imaginer que chez les femmes il y avait une

« soleils mouillés » (vers 7) permet de créer une atmosphère nuancée qui fait référence à la technique picturale du lavis, l’emploi du mot « ciels » au pluriel (au lieu de « cieux ») connote un paysage peint. Le verbe « revêtir » (vers 35) évoque une parure. Les couleurs « d’hyacinthe et d’or » (vers 37) traduisent à la fois une approche naturelle et artificielle de la teinte orangée (hyacinthe est à la fois une fleur et une pierre précieuse). Quelques caractéristiques concrètes montrent que Baudelaire

l’influence de Gustave Flaubert, ami d’enfance de sa mère, qui lui fait observer la réalité.En 1880, après une rencontre avec Emile Zola, Guy de Maupassant rédige sa première nouvelle : Boule de Suif.De 1880 à 1891, il publie environ 300 nouvelles dont La Parure (1884) et six romans : Une vie (1883), Bel-Ami (1885) et Mont-Oriol (1887)…Après de nombreuses hallucinations visuelles, la folie se déclare chez l’écrivain en 1891.Guy de Maupassant tente de mettre fin à sa vie et, après un suicide manqué, il est

Renaissance sur la naissance du sentiment amoureux). c) Une rencontre prédestinée * les nombreux parallélismes montrent que tout, en apparence, les destine l’un à l’autre : - tous les deux ont accordé le même soin à leur apparence (beauté, parure) pour ce bal : « elle passa tout le jour des fiançailles à se parer »// « le soin qu’il avait pris de se parer », comme s’ils s’étaient préparés à se rencontrer et à se séduire, alors qu’ils ignoraient tous les deux la présence de l’autre à cette

Modo & estelle • il y a 2 ans Rassurez-vous, vous ne cassez rien du tout. 2% • Répondre • Partager › $ estelle & yannhoury • il y a 2 ans c'était une expression... et si vous êtes le créateur du site vous pourriez l'améliorer en tirant des conclusions des remarques des autres au lieu de mal leur répondre. 1% $ Cratum & estelle • Répondre • Partager › • il y a un an Sympa! 1% inesbiba • • Répondre • Partager › $ il y a un an oui ci très manifique merci pour se site 1% $ Lili Mola

représentation humaine déchiffrable, elle est souvent habillée - remarquons toutefois que le chasseur des grottes est, en pleine action, manifestement nu, et fier de l'être, comme sont les couples des statues Dogon... Et dans les mots - vêtement, parure, habit, costume - gît l'idée d'appartenance, d'investiture: on revêt une dignité, et dans les fresques de Giotto l'évêque couvre de son manteau François d'Assise qui revient en religion. Les physiciens ne sont pas certains de ne pas créer l'objet

au XVII° qui évoquent un sentiment violent et qui appartiennent au registre de l’amour et du coup de foudre ébranlement total de la sensibilité. Cette passion a quelque chose de cornélien. Pour M. de Clèves, passion et estime vont de paire. Conclusion : Entre une aspiration réaliste et une idéalisation du personnage romanesque , le portrait met en valeur l’héroïne du roman par l’exacerbation de sa beauté. La sublimation l’emporte sur la tentation réaliste. Il y a un contraste entre l’éducation

Nemours lors d’un bal donné en 1559 à la Cour du roi de France. Elle passa tout le jour des fiançailles chez elle à se parer, pour se trouver le soir au bal et au festin royal qui se faisait au Louvre1. Lorsqu’elle arriva, l’on admira sa beauté et sa parure ; le bal commença et, comme elle dansait avec M. de Guise, il se fit un assez grand bruit vers la porte de la salle, comme de quelqu’un qui entrait et à qui on faisait place. Mme de Clèves acheva de danser et, pendant qu’elle cherchait des yeux