Conclusion La Parure

Question3…………………………………………………………………p.3 Question4…………………………………………………………………p.4 Question6…………………………………………………………………p.4 Question7…………………………………………………………………p.5 Question8…………………………………………………………………p.5 Question9…………………………………………………………………p.6 Question10……………………….……………………………………….p.6 Conclusions……………………………………………………………….p.7 Dans le cadre de notre cours d’éthique et culture religieuse, il nous a été demandé de nous questionner sur 10 questions existentielles auxquelles il est intéressant de répondre. Voici nos réflexions… 1-L’univers a-t-il

nouvelle du texte, donne de la profondeur au texte. Mais, attention aux dérives. Le texte peut être exploité par le metteur en scène et/ou l'acteur de manière à ce que les paroles écrites par l'auteur ne signifient plus ce qu'il souhaitait dire.     Conclusion : • Le théâtre ne repose pas que sur la parole, les éléments scéniques, la mise en scène, le jeu des acteurs... contribuent aussi au spectacle. La parole est très importante, le théâtre n'est rien sans la parole mais la parole dépend de nombreux

principales pour lesquelles un écrivain choisit la fiction pour faire passer ses idées est qu'il peut éviter la censure et plaire en instruisant (...) Plan de la dissertation: I) Réflexions sur le sujet II) Introduction III) Développement IV) Conclusion Texte étudié: Alphonse Daudet, Les Lettres de mon moulin, La légende de l'homme à la cervelle d'or En lisant votre lettre, madame, j'ai eu comme un remords. Je m'en suis voulu de la couleur un peu trop demi-deuil de mes historiettes, et

aïeule Par un temps de demoiselle, Sur la frêle caravelle, Mon aïeule maternelle, Pour l’autre côté de l’Eau, Prit la mer à Saint-Malo. Son chapelet dans sa poche, Quelques sous dans la sacoche, Elle arrivait, par le coche, Sans parure et sans bijou, D’un petit bourg de l’Anjou. Devant l’autel de la Vierge, Ayant fait brûler le cierge Que la Chandeleur asperge, Sans que le cœur lui manquât, La terrienne s’embarqua. Femme de par Dieu voulue, Par le Roy première élue

naturaliste Approche de la lecture analytique et du commentaire ; analyse d’images (peinture et photographie) Séance 1 : présenter la notion de mouvement littéraire et culturel et introduire le réalisme Séance 2 : Une nouvelle réaliste, La parure  de Maupassant Vérifier des notions : discours narratif, fonctions de la description, caractéristiques de la nouvelle : chute et indices de lecture rétrospectifs. Rédiger une synthèse : un décor urbain ; une humanité médiocre ; un sentiment

Dieu fait de l’indigène, aux yeux du pasteur, un homme perdu qui ne saurait être sauvé. Sa conclusion est donc pessimiste : le modèle primitif n’est pas le bon, le retour à l’Eden qu’il symbolise est impossible. Léry compare volontiers la société indienne avec la société française. La femme brésilienne est ainsi plus pudique, malgré sa nudité vestimentaire, que l’européenne qui cherche à séduire par ses parures ; elle est aussi meilleure mère et meilleure épouse. L’anthropophagie paraît de même plus

aimé » Cette phrase au rythme ternaire traduit l’émotion de Perdican, des hommes et par extension de l’écrivain. C’est un « je » volontaire et conscient de la souffrance mais qui choisit d’agir. L’Homme est fait pour aimer malgré la souffrance. Conclusion Dans cet extrait de la scène 5 de l'acte II, nous avons un réquisitoire puis une plaidoirie qui se complètent. L’amour humain est sacralisé et permet de connaître sa véritable identité. A travers Perdican, Musset reflète ses propres sentiments

concerne le statut de la femme dans la société. C’est la réponse politique et non pédagogique. Dans la préface De l’éducation des femmes Chantal Thomas cite Rémy de Gourmond qui dit que cette oeuvre est la moralité des Liaisons dangereuses, « leur conclusion dynamique et positive ». Choderlos de Laclos conclut que « Il n’est aucun moyen de perfectionner l’éducation des femmes » car elles sont des esclaves des hommes que l’on peut comparer aux Noirs des colonies et les esclaves ne peuvent pas s’éduquer

parait divin mais le livre dit sacré est pensé par des hommes. Les parures d’un langage recherché et imagé ne grandissent pas aux yeux d’uzbek qui a découvert les pouvoirs de la raison humaine. Montesquieu conteste ici le livre et la religion révélés et sous-entend qu’il y a mystification. La déclaration de foi finale d’Uzbek rachète ainsi difficilement le propos blasphématoire, je cite, « Non, grâce au Ciel, l’esprit… » Conclusion : Cette lettre évoque le débat qui oppose science et religion ay

enceinte ou ronde, la femme est représentée sous tous ses aspects. Deux personnages fictifs se démarquent alors : Nous avons d’abord Salomé qui incarne tout ce que les symbolistes recherchent, à savoir une femme non naturelle, couverte d’artifices, de parure et de maquillage. Extrêmement belle et manipulatrice, Salomé peut être assimilée à Jane qui, de par sa ressemblance avec la femme morte de Viane, va rendre le héro éperdument amoureux d’elle. Autre personnage féminin emblématique du symbolisme, Ophélie