Conclusion Le Mendiant

corsets et des prothèses. 2) Couleurs. Les couleurs présentent des couleurs vives pour les premiers plans (bleu du veston du personnage au premier plan, robe rose de la dame traversant la rue) et ocres pour les personnages en arrière-plan (le mendiant, l’enfant…). III- La porté, le message de l'oeuvre. La Pragerstrasse (rue de Prague) est la grande rue commerçante de Dresde, ville où vécut longtemps Otto Dix. L’expérience de la guerre a bouleversé l’artiste. En peignant cette toile, Dix démontre

bras de deux bourgeois : vetements : gant + canne + veste de costume / 1 méprise le manfiant : donne 1 timbre. Arrière plan : petite fille orpheline ? Elle aussi désarticulée Devant une vitrine magasin de prothèses élaborées par rapport à celles du mendiant en bas à gauche , un chien → agressivité ou peur des handicapés : gueules cassées mises à l'écart mm les chiens les discriminent. Arrière plan : mur : Dumb → idiot en anglais message passés plus clairement que par la caricature. Couleurs :

un motif central du roman. Le Vice-Consul s’achève en laissant les deux femmes dans la mer. pendant qu'Anne-Marie Stretter “nage, se maintient au-dessus de l’eau, noyée à chaque vague, endormie peut-être, ou pleurant dans la mer” (V.C. p.201), la mendiante “va droit vers la lagune et y pénètre toute entière. La tête seule émerge à fleur d’eau, et très exactement comme un buffle, elle se remet à nager avec une hallucinante lenteur” (VC. p.207). L’univers durassien reprend et exploite inlassablement

pays. En effet ils remarquent que dans la société française de l'époque demeure des inégalités au sein du peuple. Certains hommes sont riches et « gorgés de toutes sortes de privilèges » et vivent aux côtés d'autres hommes, qui eux sont pauvres, mendiant et « décharnés de faim ». Ces injustices et le fait que tout le monde tolère semble tolérer ce fonctionnement surprend beaucoup les amérindiens et montre que ce n'est pas dans leurs habitudes.Un renversement du regard, qui ouvre à un point de vue

1 à 3). II - L’éveil du jour et des animaux par l’auteur (l.3 à 9). III - La course après le jour (l.10 à 13). IV - L’auteur attrape le jour … puis se réveille (l.14 à 17). Etude I - Le silence, pas de mouvement (l.1 à 3). - 1ère phrase = conclusion du rêve. 1er sens d’embrasser = prendre dans ses bras. C’est une sorte de cri de victoire après l’exploit du poète. - Le récit commence à la l.2. La vision du poète s’ouvre à une vie somptueuse : « palais », « pierreries », mais « morte ». - On

de l'ordre de 4 à 5%) sont en la matière, d'une faible utilité. Il y aurait en fait actuellement dans le pays une "population flottante" composée de quelque 100 à 200 millions de personnes. SDF, sans emploi et souvent sans couverture sociale, les mendiants réapparus dans les villes depuis peu, ne sont que l'un des signes de l'existence et du développement d'une grande misère. Il y aurait ainsi, encore dans le pays, plus de 120 millions de personnes vivant avec moins d'un dollar par jour. E. Izraelewicz

-> le Pape « représentant de Dieu sur la Terre » l5, leur a donné la la principauté des Indes - Discours des conquistadors l3 à 11 ->inférieur au discours des Indiens l11à 31. - Conclusion du narrateur l31 à 35 -> point de vue de Montaigne -> Signification : face à face des Occidentaux et des sauvages, largement au bénéfice de ces derniers dont la parole occupe

du baron de Montesquieu et de la baronne de la Brède, et est donc élevé dans une famille de magistrats nobles, dans le château de la Brède, près de Bordeaux. L'écrivain restera toujours attaché à ce nom et à ce lieu. Ses parents lui choisissent un mendiant pour parrain, pour que Charles n'oublie jamais que les gens pauvres sont aussi ses frères. Montesquieu étudie au collège d'Harcourt, puis suit des études de philosophie. Il devient président du parlement de Bordeaux en 1714.En 1716, la mort d'un

châtiment de Tartuffe » qui est le 7eme poème du Cahier de Douai de RIMBAUD , celui critique la religion . En effet pour le poète le catholicisme mérite d’être « châtié » . Pour lui la religion ment, elle opprime les pauvres qui "bavent une foi mendiante et stupide" en guise de prière. La religion si elle leur apporte un peu de réconfort ne les soulage en rien de leurs difficultés, mais leur apporte un sentiment de culpabilité. Arthur RIMBAUD critique aussi la politique à travers « l’éclatante victoire

plus célèbres, celle du Riche et de Lazare aux versets 19 à 31. 1) Persuader : a. L'antithèse constante des deux personnages : Sur Terre : tout est question de biens • Nombses antithèses : riche/pauvre, richement vêtu/nu, brillants festins/mendiant, vie sociale/seul confort, bien-être/maladie ('couvert d'ulcère'), loin de Dieu/près de Dieu (Lazare = Dieu aide)... • Proximité : le Riche est obligé avoir vu Pauvre donc il est pleinement coupable. Antithèse 'porche/sa demeure' : désir de rencontre/ignorance