Conclusion Le Mendiant

• Le travail domestique notamment pour les filles : cuisine, s’occuper des frères et sœur, aller chercher de l’eau, du bois, faire le ménage. • Secteur urbain : 20% des enfants travaillent dans la rue d’après les ONG en tant que chiffonniers, mendiants (comme dans le film slumdog millionnaire où les enfants sont obligés de mendier pour rapporter de l’argent pour le compte de quelqu’un), ou encore conducteurs de vélos-taxis ou de rickshaws, cireurs de chaussures. • ateliers de tapis : entre 300

de Saint-Pétersbourg au XIXème sciècle. 1: Les Bourgeois. 2: Les petits artisans et commerçants. 3: Les artistes. 4: Les fonctionnaires. 5: Les précepteurs les gouvernantes et leurs élèves. 6: L'usurier. 7: Les mendiants. C : Description des travers de la société Pétersbourgeoise. 1: Une société avide d'argent. 2: Une société futile et hierachisé. II: L'aspect Fantastique des nouvelles de Pétersbourg. A : Thèmes et éléments chers au Fantastiques

Sommaire: -Préface. -Textes : *Le mendiant, Victor Hugo. *Souvenir de la nuit du 4, Victor Hugo. *Le legs, Robert Desnos. *Liberté, Paul Eluard. *Strophes pour se souvenir, Louis Aragon. *Le dormeur du val, Arthur Rimbaud. *gangsta’s paradise, Coolio. *Elle est belle la France, Ministère des Affaires Populaires. *Poème contre le racisme, Anne Guivarc’h. *Mes ennemis, Marc de Larréguy de Civrieux -Etudes. -Biographies. -Conclusion. Préface Qu’est-ce que la Poésie? Certains

 « Attaché ? », répétition, enjambement, interrogation  Insistance sur la servitude du Chien • « Un loup voyant un très gros chien attaché par un collier », fable d’Esope On voit tout de suite que le Chien est prisonnier de la servitude Conclusion I)A) : Dans cette fable, le Chien est d’abord valorisé et jalousé par le Loup, puis finalement méprisé : il joue le rôle de n’importe quel courtisan poudré de la cour du Roi, noyé dans la masse, dépourvu d’arbitraire, d’où on pourrait dire que c’est

(bleu du veston du personnage au premier plan, robe rose de la dame traversant la rue) et ocres pour les personnages en arrière-plan (le mendiant, l’enfant…) On ne retrouve aucune ligne permettant de trouver le point de fuite, ce qui interdit toute impression de stabilité. Tout le tableau inspire donc le chaos. Ceci souligne le caractère absurde de la guerre. Conclusion : On voit des hommes diminués, porteurs de prothèses mécaniques, des cicatrices hideuses, des greffes, un monde grotesque d’anciens combattants

sait rien de son emplacement. Kim apprend que le lama voyage seul, comme son pince, ou suiveur et le serviteur, est mort dans la ville précédente. Voyant que le lama est un vieil homme dans le besoin de l'aide, Kim, vêtu à la manière d'un enfant mendiant hindoue, accepte d'être chela nouvelles du lama et accompagner le lama dans sa quête. Il informe son ami et parfois un tuteur, Mahbub Ali, un commerçant bien connu à cheval afghanes, qu'il va quitter Lahore avec le lama, et il s'engage à exécuter

: Baudelaire écrit sur les exclus, rejetés du monde, les déchets de la ville qui lui sont semblables comme prostituées ou vieillards misérables. Ex : Baudelaire « les Sept Vieillards » ou « Les Petites vieilles » // Victor Hugo, « Le Mendiant », in Les Contemplations , 1856 en racontant l’histoire « d’un pauvre homme » gelé par le vent et la neige. - L’abject et l’obscène : cf critique de Gustave Bourdin qui a signalé

des différentes tentations offertes par la vie auxquelles le roi va devoir renoncer, auxquelles Marguerite l’oblige à renoncer : celle des sentiments humains (pitié, miséricorde, charité), encore une fois symboliquement concrétisé par l’image du mendiant l.26. Renoncement aussi à la poésie « Mais non les pâquerette…folles » l.34-35. - Elle lui fait renoncer progressivement à tous ses sens, à tous ses besoins physiologiques : le goût / la soif l.28 « l’eau », l’ouie l.36 « murmure du ruisseau »

la ville de Marseille à Lalla, ce qui lui donnera plus tard l'envie de partir pour cette ville. Radicz : Radicz est un mendiant de 14 ans qui se rapprochera de Lalla durant son séjour à Marseille . Cette enfant fut vendue par sa mère à un homme qui dès son enfance le fera travailler. Il mourra plus tard percuté par un bus voulant échapper à la police. 5 . Conclusion personelle : Personnellement l'histoire ne m'a pas captivée, certes l'écriture est très elaborée, riche mais malheureusement

Il montre sa supériorité en donnant des ordres au loup vers 15 et vers 21 « Quittez les bois », « Suivez moi ». Il vante ensuite son travail au vers 23 à 25 en lui énumérant les tâches à accomplir « donner la chasse aux gens, Portants bâtons, et mendiants ; Flatter ceux du logis, à son maître complaire » mais le chiasme « Flatter ceux du logis, à son maître complaire » insiste sur la flatterie qui est nécessaire dans son travail et dévalorise le travail du chien. Toutefois le loup reste méfiant et