Conclusion Pessimisme Auteurs Réalistes

la liberté et agir par soi-même. Le scepticisme est tjs très présent dans ces textes. Il veut que l’élève forme son jugement, qu’il ait son propre avis. => On ne doit pas s’approprier les idées des autres, mais s’en faire son propre jugement. Conclusion: Montaigne représente la renaissance assagie. Chez lui ce n’est pas le nombre de connaissance acquises qui compte mais la qualité. Il a tout de même foi en l’Homme, il pense qu’une bonne éducation permet d'acquérir la sagesse, qui apparait comme

optimisme d'avoir de nombreuses et nouvelles connaissances. 2) L'humanisme est porteur de valeur positive tel que la tolérance et la paix avec le progrès social. Machiavel dans "Le Prince" propose une vision très réaliste et très pragmatique du pouvoir politique. On rencontre un auteur qui veut faire bouger les choses en étant optimiste et en gardant espoir. Il estime que dans ce domaine "la fin justifie les moyens". Les humanistes vont développer une vision optimiste de l'homme, ils ont une confiance

écrit en 1887 et publié en Janvier 1888 aux éditions Ollendorf. Maupassant a fortement marque la littérature française car il captive l’attention de ces lecteurs avec des écrits qui font toujours preuve de beaucoup de réalisme, de fantaisie et de pessimisme, ce qui est rare et choquant pour la bourgeoisie de l’époque. On retrouve tous ces aspects dans le roman Pierre et Jean ainsi que les thèmes fétiches  de Maupassant qui sont : le Havre, le port, la mer et la famille. Ce roman raconte l’histoire

traduisent le mieux la vision de la guerre ? » je vais établir une analyse en mettant en évidence mon point-de-vue en évoquant les arguments défendu par l'auteur et les procédés utilisés. I. Les arguments défendus par les auteurs. Les trois textes traitent tous de la guerre. Les auteurs veulent tous trois dénoncer les horreurs de la guerre et l'absurdité qu'elle constitue. Mais Voltaire et Etienne-Noël Damilaville ont chacun des manières différentes de dévellopper leurs arguments. Dans le texte

mécanisme et sans recourir à des causes surnaturelle » (Dictionnaire de Furetière ,1727) Et en XIX ème siècle, le mot naturalisme entre dans le vocabulaire des beaux-Arts. Le critique d’art Castagnary va l’utiliser dès 1863 en remplaçant le mot réaliste par naturaliste, cela va pouvoir définir le développement de la peinture contemporaine. Les principales caractéristiques Nous y trouvons plusieurs caractéristiques notamment trois. Le premier caractère du roman naturaliste est qu’il s’y trouve

une utopie en avance ur son siècle, elle ne correspond pas aux utopies qui veulent revenir à un univers paradisiaque. Le monde décrit est celui d’une société basée sur l’entente et non sur la répression, ce qui est une idée révolutionnaire. Conclusion Ce passage se situe à un moment essentiel, il commence la 2° partie du livre et annonce le début de l’évolution du personnage. L’Eldorado correspond à ce que devrait être toute société civilisée, en dehors de toute utopie. L’Eldorado symbolise

toujours bon d’en savoir plus. Et puis contrairement à la littérature classique, une pièce de théâtre est plus intéressante car on peut l’analyser de multiples façons comme l’étude de ses différentes mises en scène ou encore à travers la vie des auteurs grâce aux critiques qu’ils font de leurs sociétés dans leurs oeuvres. Le thème, Œuvres et techniques, m’a beaucoup intéressé car il m’a semblé être celui qui était un compromis entre l’œuvre textuelle et la façon de l’écrire. Pour ce qui concerne

mouvement littéraire du XIX’s qui se caractèrise par la grande précision de l’histoire et le grand nombres de détails. Toutes les classes sociales sont étudiées. Ces romans ont pour but d’étudier la sociète et la nature humaine. Flaubert est un auteur réaliste pessimiste. Il écrit L’éducation Sentimentale en 1869. Le chapitre 6 de la partie 2 décrit la révolution à travers le personnage de Frédéric. Nous pouvons donc nous demander en quoique passage est représentatif de la figure de l’anti-héros. Dans

C’est la peinture, en premier, qui va créer ce mouvement. Les auteurs principaux de ce mouvement sont Flaubert et Maupassant. Champfeury est un de ses principaux théoriciens. Alors qu'on cite souvent Balzac comme un auteur réaliste, sa position plus délicate : il n'appartient pas au mouvement du réalisme ; pourtant ses romans présentent une tonalité réaliste dans leur grande majorité et il établit des techniques que certains réalistes reprendront à leur compte. En réalité, Balzac se situe à la

cadre extérieur qu’aux sentiments et pensées intérieures des personnages. Ici Gisors médite sur la mort et le sens de la vie. Gisors est un homme très intelligent qui aime comprendre et cherche la vérité : son intelligence est souveraine et son pessimisme très lucide. L’absurdité de la vie veut que l’homme naisse pour souffrir et mourir, d’où le champ lexical de la souffrance et de la mort, « angoisse » (l.4), « souffrances » (l.5) « parasite meurtrier » (l.8) « lourd de chair, de sang, de souffrance »