Conclusion Sur La Nuisance De La Concurrence Imparfaite Sur Les Consommateurs

Chapitre 1. La théorie du consommateur 1.1 Préférence et utilité Le consommateur est supposé rationnel : il vise à retirer la plus grande satisfaction possible de ses achats compte tenu du revenu dont il dispose et des prix des différents biens disponibles. L’analyse des choix du consommateur nécessite de définir ses préférences et sa contrainte de budget. 1.1.1 Préférence et fonction d’utilité Nous notons xi la quantité de bien i consommée par le consommateur. Nous supposons qu’il existe n biens

limites de l’écologie des populations 35. Les approches cognitives et les biais dans les décisions stratégiques 1. La formulation d’un but et l’identification du problème 2. La génération de solutions 3. La sélection d’une solution VIII. Conclusion 36. Le dirigeant 1. Le rôle du dirigeant 2. L’efficacité du dirigeant 142 142 143 146 146 147 148 150 150 151 154 154 154 156 158 158 159 163 165 X 37. La culture d’entreprise 1. Les différents niveaux de la culture d’entreprise 2. Les

décisions stratégiques 1. La formulation d’un but et l’identification du problème 2. La génération de solutions 3. La sélection d’une solution 122 122 123 126 126 126 127 130 130 132 134 134 135 138 138 139 140 VIII. Conclusion 36. Le dirigeant 142 142 143 1. Le rôle du dirigeant 2. L’efficacité du dirigeant 37. La culture d’entreprise 1. Les différents niveaux de la culture d’entreprise 2. Les déterminants de la culture d’entreprise 3. Les

.......................................................................................... 226 6.4 Le test de causalité au sens de Granger..................................................................................................... 234 CONCLUSION GENERALE ........................................................................ 237 ANNEXES ........................................................................................................ 242 REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES..............

Approches théoriques des IDE A. B. C. D. E. F. G. H. I. L accès aux produits primaires Théorie des marchés imparfait L approche des zones monétaires Le jeu de la concurrence oligopolistique Les écarts salariaux La théorie du cycle du produit La théorie de la stratégie de la firme Théorie électique de la production internationale Théorie synthétique des investissements internationaux CONCLUSION LES IDE AU MAROC FACE A LA CRISE FINANCIERE INTERNATIONALE Page 3 Les Investissements Directs

d’autres pourront être employés durant plusieurs cycles de production (biens d’équipement). Les seconds sont ceux qui satisfont directement un besoin par leur consommation. On distingue les biens de consommation finale (qui satisfont directement le consommateur) des biens de consommation durables (à durée de vie longue : appartement, voiture à usage particulier) et des biens de consommation intermédiaires constitués de l’ensemble des biens et services consommés au cours du processus productif (une voiture

Entreprise, société et éthique p 423 Rôles économique, social, environnemental, culturel de l'entreprise - L'entreprise citoyenne (et ses limites...) - Morale, déontologie, éthique - L'éthique appliquée aux affaires XXII La protection du consommateur p 427 Obligation d'informer, publicité - Méthodes de vente interdites ou réglementées (vente à la boule de neige, vente liée, loteries, ...), vente à domicile - Refus de vente - Clauses abusives - Garantie XXIII La protection de l'acheteur

pourquoi dans telles proportions ?.................................................................................10 Troisième Partie : Menaces sur la stabilité financière………….....16 Quatrième Partie :Réglementation du shadow banking………….....22 CONCLUSION…………………………………………………………26 Annexes………………………………………………………………….28 Références bibliographiques……………..……………………………..29   2  INTRODUCTION L’éclatement et la propagation de la crise financière ont révélé l’importance primordiale d’un système d’intermédiation

sous l’angle de la rationalité. A partir des années 1980, les approches qualitatives se multiplient ainsi que la notion de marketing. En effet, le marketing est centré sur l’étude du comportement du consommateur ; l’objectif est de comprendre ce qui influence, organise, les choix des consommateurs individuels. Par la suite les courants « post-modernes » des années 1980 et 1990 remettent à l’honneur l’émotion, l’expérientiel et le réenchantement ordinaire. L’autre émergence des années 1980

profit du collectif ? Dans le chapitre 7, l’économie aborde le problème de façon normative, en s’intéressant aux conditions qui font qu’un décideur rationnel accepte de déléguer son pouvoir de décision à un collectif. Elle aboutit cependant à la conclusion que le choix collectif est en toutes circonstances imposé aux décideurs individuels. Le chapitre 8, issu de la psychologie sociale, efface la distinction entre décideur individuel et décideur collectif, en montrant à quel point l’un et l’autre