Conclusion Sur Les Poilus

l’absence des poilus Les poilus sont au début du siècle les grands oubliés. L’histoire ne fait pas cas de leurs expériences au combat. Les historiens se sont concentrés sur le déroulement de la bataille, les responsables et les conséquences de la guerre. Mais qu’en est-il des combattants ? C’est un paradoxe étonnant, certains historiens ont connu les tranchées et pourtant ils ont refusés de consacrer ne serait ce qu’une sous partie de leurs travaux aux combattants. Pierre Renouvin, poilu et amputé

POUR…………………………………………………………………………       LA CHAMBRE DES OFFICIERS : REDACTION  | 1.     QUESTIONS PREPARATOIRES sur 5 points : « On va leur apprendre la gaieté ». C’est la dernière phrase du récit de Marc Dugain et en quelque sorte sa conclusion. Par qui est-elle prononcée ? Dans quelles circonstances ? Expliquez ce qu’elle signifie. A propos du personnage de Marguerite, composez six phrases complexes : ·        Une avec deux propositions indépendantes juxtaposées. ·        Une avec

et le fameux gaillard ; montre une opposition entre la respectabilité recherchée par Vautrin et son physique. L4 : portait physique ordonné descendant ; épaules, buste, mains...L’individu est robuste. L5 : Le narrateur insiste sur les mains poilues, des poils roux. Connotation démoniaque, aspect loup-garou...bourgeois et pensionnaire aimable qui se transformerait la nuit en bête féroce ? L6 : retour sur le visage qui est très marqué et révèle la vie difficile du criminel : rides prématurées

Luxembourg et la partie Nord de la France sont envahis par l’armée allemande Conclusion : En conclusion Anne Frank nous montre à travers son quotient l’horreur de la guerre. Elle nous fais part des problèmes de ravitaillement, son manque de liberté, l’obligation de discrétion ainsi que la peur du risque et le problème de claustration. Son récit est différent des autres témoignages de cette période comme certains journaux de Poilus. Ici, il s'agit davantage de la peur d'être découverte, de l'ignorance de

de la dbcle perse, cest parce quil a t protg par son statut de chef, nayant pas pris directement part au combat, et stant content dune position dobservateur et de commandant. Il en va de mme lors de la Premire Guerre mondiale o, finalement, seul le poilu connat le danger permanent, et constitue de la guerre. Comme le rsume Barbusse - Oui, lui dis-je, oui, mon vieux frre, cest vrai Cest avec nous seulement quon fait les batailles. Cest nous la matire de la guerre. La guerre nest compose que de la

maladies par exemple) ELEMENTS PLASTIQUES La couleur : dans cette œuvre Otto DIX utilise principalement des nuances de rouge et de brun. La couleur dominante est le brun, brun de la terre des tranchées, environnement quotidien et unique horizon des poilus. Le rouge est utilisé pour représenter tour à tour le ciel tourmenté sous lequel les soldats partent au front (panneau de gauche), l’amas de viscères ensanglanté (panneau central) et le feu du champ de bataille (panneau de droite). L’artiste choisit

***Prédelle : C'est la partie inférieure du retable DESCRIPTION I. Les éléments iconiques (ce qui est représenté) Panneau de gauche : des soldats en armes portant sac au dos (il est possible d'identifier là les armes et l'uniforme portés par les poilus) tournent le dos au spectateur et marchent dans la brume, ainsi ils forment une armée humaine sans visage et sans identité, masse aveugle avançant d'un même pas vers le front et ses atrocités. Panneau central : Alors qu'aucun décor n'est représenté

d’une “cavitée d’œil comme un nid d’oiseau pillé“. Par ailleurs nous pouvons remarquer des descriptions digne d’une créature non humaine, particulièrement d’Albert Cohen qui nous parle d’une chose “aux immenses pieds nus, tannés, fort sales, osseux, poilus et veineux, et dont les orteils étaient effrayement écartés“ et aussi qu’une “profonde rigole médiane traversait son crâne halé et chauve auquel elle donnait l’aspect d’une selle“, on a l’impression qu’il parle là d’une créature sauvage et nouvelle

et militaire. c) les figures. d) rôles des phrases négatives, interrogatives, impératives. 3. Le lyrisme. ( a) les thèmes du lyrisme. b) comparaisons et métaphores. c) la musique (quête des sens). 4.Conclusion I. La lettre Eléments réalistes. La parole du soldat, du poilu a) genre, énoncé, énonciation [pic] Lettre / énoncé de parole : locuteur = 1ère personne. Occurrences de la 1ère personne : « j’entends, je regarde, j’écris », « devant moi...les boyaux », « mes compagnons » :

message clair et frappant. Dans cette affiche, l’appel au civisme et au patriotisme repose sur le parallèle établi entre le soldat se battant sur le front et le civil qui soutient financièrement l’effort de guerre. Le message est évident : comme le « poilu » verse son sang, le Français resté à l’arrière doit « verser son or ». En France, ces campagnes sont couronnées de succès puisque les emprunts d’État souscrits par les épargnants ont couvert la moitié des dépenses de guerre. Avec cette affiche, l’Etat