Conclusion Sur Les Poilus

questionnement et par des sources qui relevaient surtout de l’histoire politique (la presse et les archives de la surveillance d’État de la population). Au passage, il montrait la faiblesse de l’histoire traditionnelle des idées lorsqu’elle tirait des conclusions hâtives (le "réveil nationaliste", l’antimilitarisme) de quelques ouvrages trop souvent cités. Par la suite, ses travaux relatifs à la culture portèrent essentiellement sur les écrivains, qu’il s’agisse de montrer leurs prises de position face à

Mangeclous, personnage malade, égoïste et sale, qui ne suscite aucune sympathie. « C’était un ardent, maigre et long phtisique à la barbe fourchue, au visage décharné et tourmenté, aux pommettes rouges, aux immenses pieds nus, tannés, fort sales, osseux, poilus et veineux… revêtu d’une redingote crasseuse… » (Albert Cohen, Mangeclous) De plus, certains personnages décrits comme trop repoussant peuvent nuire au réalisme du récit et parasité l’immersion du lecteur comme par exemple la créature de Frankenstein

Oeuvre n°2: (Littéraire) Le Feu– Henri Barbusse « Le Feu » est un récit autobiographique, écrit par Henri Barbusse en 1916, qui évoque son quotidien dans les tranchées où il resta 22 mois. Inspiré par le naturalisme de Zola il conte la vie des poilus dans la brutalité de la Guerre ainsi que celle de leur femme. Il dédit son ouvrage à ses compagnons tombés au combat. L'auteur : Henri Barbusse ( 1873-1935) Cet écrivain Français est issu d'une famille protestante dans les Cévenes, près d'Alès .

voient alors leur situation changer sensiblement. Les femmes sont alors plus émancipées, sortent de chez elles, connaissent le travail moins contraignant en équipe et, plus important, sont mieux rémunérées. Néanmoins cette situation ne convient pas au poilus qui considèrent qu'une fois la guerre terminée, les femmes ne voudront plus rentrer au foyer et retrouver la situation qu'elles occupaient auparavant. La femme qui aura connu l'usine, la politique, la libre entreprise et une certaine liberté pourrait

de corps déchiquetés qui évoquent les conditions abominables dans lesquelles ont vécu les poilus dans les tranchées (maladies, épidémies). On discerne trois personnages notables sur le panneau central : le soldat à gauche, le cadavre suspendu au centre et le corps décomposé à droite. On peut penser que le combattant affublé de son casque et de son masque à gaz fait référence à la déshumanisation des poilus : on ne voit chez lui rien d’humain, il assiste à la guerre, à l’Enfer sans avoir l’air de

l’artiste et son œuvre dans le temps et l’espace, nous essaierons de voir comment il répond à la question : Pourquoi et comment se souvenir ? Je mettrais ensuite en parallèle d’autres œuvres en rapport avec cette question. Enfin, Je donnerais ma conclusion personnelle sur cette œuvre. - Cette œuvre appartient à la thématique : « Arts, Etats et pouvoir ». L’œuvre d’art et la mémoire : mémoire de l’individu, inscription dans l’histoire collective. L’artiste : - Otto dix est un artiste-peintre qui

changer en fonction de l’historien. Là aussi, c’est une question de choix. Par exemple, un historien va s’intéresser à la première guerre mondiale mais vue, étudiée, décrite sous un certain angle, sous un certain éclairage : on peut « zoomer » sur les poilus dans les tranchées ou « zoomer » sur les généraux, etc. (cf. texte 2 de Todorov, pp. 342-43). Pour illustrer ce qu’on vient de dire, un texte de Lucien Febvre, historien français : Toute histoire est choix. Elle l’est, du fait même du hasard

en un clin d’œil, malgré sa taille. Il ne resterait pas la queue pour aller annoncer la nouvelle. L’éléphant se laisse caresser. Le pou, non. Je ne vous conseille pas de tenter cet essai périlleux. Gare à vous, si votre main est poilue, ou que seulement 15 elle soit composée d’os et de chair. C’en est fait de vos doigts. Ils craqueront comme s’ils étaient à la torture. La peau disparaît par un étrange enchantement. Les poux sont incapables de commettre autant

Puy-de-Dôme, et ce dès 1919. Les diverses décisions prises par la suite, par le conseil municipal de Saint-Beauzire, ont été prises durant l’été 1920. Celles-ci comprenaient notamment la définition plus précise du projet, par exemple l’ajout d’un buste de poilu sur la « croix de guerre ». Le monument aux morts est aussi le moyen de rappeler certains symboles républicains ou choix politiques. On distingue, au centre, un médaillon où figure le coq français, ainsi que, à la base, des palmes en bronze

La chanson de Craonne aussi appelée Chanson de Lorette ou Chanson de Vaux est une parodie dont la mélodie est prise d’une valse connue en 1911 Bonsoir m’amour de Charles Sablon. D’auteur anonyme cette chanson a surement dû être écrite par plusieurs poilus français en 1917 lors de la première guerre mondiale. Il existe plusieurs écrits de cette chanson. Au début elle porte le titre de Chanson de Lorette faisant allusion aux violents combats en Artois (Pas de Calais) en 1915. Elle est de nouveau modifiée