Concurrence Pure Et Parfaite Néoclassique

mondialisation et la concurrence des pays à bas salaires)  [pic]  le chômage serait dû à un niveau d’activité économique insuffisant, à cause d’une faiblesse des débouchés  [pic]  le chômage résulterait d’une inadéquation entre la structure des qualifications et des emplois Il n’y a pas de consensus entre les économistes à ce sujet. Il existe donc plusieurs théories du chômage, qui suggèrent des remèdes différents. Chômage et coût du travail Pour les néoclassiques (Walrass, Jevons, Menger

aux économistes néoclassiques, selon laquelle le marché va spontanément accorder la multitude des désirs et des actions individuels via le système des prix, contestent la légitimité même de la règle. Dans la théorie de l'équilibre général formulée par Walras puis formalisée mathématiquement par des auteurs comme Arrow et Debreu dans les années 1950, la règle est proscrite. La convergence des initiatives individuelles est certaine dans le contexte d'une concurrence pure et parfaite dont la règle ne

respect de l’ordre naturel (l’Etat ne doit pas intervenir dans l’économie) et l’agrégation harmonieuse des comportements individuels. Le concept de l’ordre naturel se retrouve chez tous, que ce soit chez les physiocrates, les classiques ou les néoclassiques. Le second principe veut dire que chaque individu, en cherchant son intérêt personnel œuvre, sans le vouloir, pour l’intérêt général. Les libéraux, qui sont des utilitaristes, maximisent l’utilité individuelle. I)Les premiers libéraux : les

• Le Libéralisme et néo libéralisme : - Marchés libres - Domination des FMN - Protection de la propriété privée, de la liberté - « Laisser faire, laisser passer » - Smith et la division du travail - Concurrence Pure et Parfaite - Privatisations - Mettre un terme à l’inflation - Le marché fixe les prix - Etat à l’écart - OMC Mis en forme par le Consensus de Washington. Le "consensus de Washington" tire son nom d'un article de l'économiste

l’époque, elle n’existent pas elles sont tenues par les coopérations. Il faut les supprimer (ce qui sera fait par la Révolution Française). L’intervention de l’Etat est réduite. On ne décrit pas des lois du marché. . Ecoles classiques et néoclassiques On entre vraiment dans le libéralisme. Développement jusqu’en 1870 puis néoclassicisme. Les écoles classiques sont : - école anglaise : Adam Smith, XVIIIe siècle, David Ricardo, banquier, Robert Thomas Mallus - école française :

positif ou négatif, est appréhendé de manière très différente selon les principales théories économiques que sont les néoclassiques, les keynésiennes ou bien celle de la régulation et de la segmentation - L’approche néoclassique des salaires : Pour ce courant de pensée, le marché du travail est identique à tout autre marché caractérisé par une concurrence pure et parfaite (atomicité, homogénéité, fluidité, mobilité et transparence) : C’est le niveau des salaires qui influe directement sur

 Introduction 1- Généralités sur la Politique de concurrence : a- Définition b- Objectifs généraux c- Raisons stratégiques justifiant la mise en place de la politique de concurrence d- Outils d’une politique de concurrence 2- La conception de la politique de concurrence a- Le marché et la concurrence b- Commet concevoir une politique de concurrence 3- La réglementation de la politique de concurrence Cas du Maroc  a- Cadre législatif b- Cadre institutionnel 4- Actualités

biens économiques Le bien économique est : utile : c’est à dire apte à satisfaire un besoin de production ou de consommation rare : c’est à dire qu’à court terme toute la demande ne peut pas être totalement satisfaite. Pour la théorie néoclassique standard, l’utilité et la rareté sont des données objectives préalables à l’échange. III- La notion de fonction de production Pour produire, il faut combiner des facteurs de production dans un processus de production. Les économistes ont

régulation économique s’effectue grâce au marché. L’intervention de l’État doit être minimale et a pour objet de garantir cette liberté ; – l’équilibre économique : il se réalise par les marchés grâce aux ajustements des prix. Le courant libéral néoclassique : Léon Walras (1834-1910), William Stanley Jevons (1835-1882), Carl Menger (1840-1921). Les fondements du libéralisme économique Les principaux fondements du libéralisme économique sont les suivants : – l’existence d’un ordre naturel dans le

plus « probabilistes » et beaucoup moins normatifs (modèle donnant des recommandations sur ce que devrait être le comportement des individus) que ceux des théories néoclassique. Les hypothèses de concurrence pure et parfaite sont très restrictives et ont conduit de nombreux économistes à contester leur réalisme. Certains néoclassiques ont alors considéré que, si le modèle ne correspondait pas à la réalité, ce devait être aux individus de se rapprocher de l'idéal théorique. c. Approche positive