Conditions De Vie Des Poilus Verdun

de combat est donc mise en place, en réaction à celle dite « classique », où on procédait par de grandes offensives. C'est une stratégie plus défensive qui consiste en une attaque depuis un point fixe fortifié ; ici, c'est la tranchée, où les conditions de vie des soldats sont très déplorables (ils sont mal nourris, au milieu des rats et de la vermine, des cadavres et de la mort, soumis à d'interminables bombardements, etc.). On laisse l'ennemi venir, puis, obligé de passer par le no man's land (zone

courant artistique de la Nouvelle Objectivité qui s’attacha à porter un regard réaliste, souvent acerbe, sur la société de l’entre-deux-guerres en proie à un profond malaise et pessimisme : les aspects les plus banals mais aussi les plus crus de la vie urbaine sont traités dans une tradition picturale classique incorporant les innovations formelles des avant-gardes. Au lendemain de la Première Guerre mondiale, l'Allemagne connut une ère de créativité artistique inégalée en Europe. Cette période de

 Les joueurs de skat d'Otto Dix I) Présentation de l’œuvre: Cette œuvre se nomme les «joueurs de skat», c'est une huile sur toile (tableau). Sur ce tableau on a une vue d'ensemble de 3 personnages, des Poilus, dans un café entrain de joué au carte il s'agit de blessés de la grande guerre. Il a été peint en 1920 par Otto Dix.. Cette œuvre a été réalisée juste après la guerre, c’est la raison pour laquelle on peut voir des gueules cassées et des blessés de guerre

position. Aucune armée ne parvient à s'imposer, et, début 1915, les fronts se stabilisent. Les troupes s'enterrent dans des tranchées. La vie dans les tranchées est inhumaine. Les soldats ("poilus") vivent dans la boue, l'humidité et le froid. La peur ne les quitte jamais. Les grandes offensives destinées à briser le front adverse sont très meurtrières (Verdun en 1916 fait 400.000 morts en 6 mois), et se soldent par des échecs. En 1917, des mutineries éclatent. II°) Une guerre totale. A) L'utilisation

de position ou de tranchée. * Le front: zone de combat. Pour percer le front, des offensives sont lancées. Ces offensives sont très meurtrières pour des résultats souvent insignifiants. Par exemple, en 1916, à Verdun, l'offensive Allemande est un échec. Mais, elle coûte la vie à plus de 200 000 soldats dans chaque camps. C] 1917 – 1918: la fin de la guerre. L'année 1917 est un tournant. Les Bolchevicks* s'emparent du pouvoir en Russie, et signent l'armistice avec l'Allemagne.

pour la cl r Regards su e e le xx siècl e as se de 3 lettres d’écrivains AntHoLoGIE Édition de Lucile Sévin Août 1914 : l’Allemagne déclare la guerre à la France. Plus de quatre millions de Français sont mobilisés. Comme de nombreux poilus anonymes, des écrivains ont envoyé des lettres à leur famille, à leurs aimées, à leurs amis. Les mots d’Apollinaire, d’Alain-Fournier, de Barbusse, et de bien d’autres, précipitent le lecteur dans l’enfer des tranchées. Une parcelle d’Histoire à chaque

der », « guerre civile européenne », « suicide de l'Europe », 10 millions de morts, creux démographique qui se crée, l'Europe a particulièrement été profondément marqué, traces qui sont encore visibles de nos jours. Il y a des lieux symbolique comme Verdun pour les français tandis que pour les britanniques c'est la Some, pour les australiens c'est Gallipoli ; toutes les communes français ont des monuments aux morts, pour les anglais ou les néo-australien ils ont le « Poppy day » (le jour du coquelicot)

des précédentes guerres. Le document étudié est un témoignage, soit une source directe. C'est une lettre de Maurice Genevoix envoyé à Paul Dupuy, directeur de l’École normale supérieure, le 23 février 1915. Cette archive est exposée au Mémorial de Verdun. Cette lettre dénonce la guerre et ses horreurs de façon précise et réaliste. Le début du XXe siècle est en situation de paix armée, c'est-à-dire que chaque belligérant est prêt à répondre à une guerre potentielle grâce à leur force militaire. D'ailleurs

) A) La bataille de la Somme (1er juillet 1816 – 18 novembre 1916) La bataille de la Somme fut l'une des principale confrontation lors de la 1WW, de plus cette bataille est le prolongement d'une bataille célèbre ; Verdun. Lorsque l'armée allemande lance sont offensive sur Verdun le 21 février 1916, le commandement Britannique propose de venir en aide à son allié. L’État major français décide qu''ils peuvent faire fasse sans l'appuie des britanniques tout en leur demandant un soulagement par une

percer le front adverse (1915). Le 21 février 1916 débute la bataille de Verdun, offensive menée par les troupes allemandes sous le commandement du général Von Falkenhayn. Le général Pétain dirige alors les opérations du côté français et parvient à contenir la percée ennemie tandis que le général Foch déclenche la bataille de la Somme (1er juillet – 18 novembre 1916) ce qui a pour effet de « soulager » l’enfer de Verdun où 250 000 soldats français et autant d’Allemands périrent en à peine dix