Cône axonique

longueur variable, au contour net et régulier. Un neurone ne possède qu'un seul axone. Un neurone typique contient plusieurs dizaines de milliers d’épines dendritiques. Chacune forme une synapse. L’axone émerge du péricaryon en formant tout d’abord un cône d’émergence, qui est le point de départ habituel de l’influx nerveux. L’axone décrit un trajet plus ou moins lent pour se terminer par une arborescence terminale qui donne plusieurs terminaisons nerveuses. Au bout de chaque terminaison on trouve un

mitose (division cellulaire) La cellule nerveuse : le neurone 2/ Les prolongements neuronaux a) Les dendrites : prolongements courts et ramifiés issues du corps cellulaire mêmes organites que le corps cellulaire b) L’axone : 1 seul / neurone issu du cône d’implantation arborisation terminale : extrémités bulbeuses des ≠ ramifications : terminaisons axonales ou boutons terminaux sauf corps de Nissl composition idem corps cellulaire et dendrites dégénérescence Wallerienne c) La gaine de myéline :

l'oreille interne (sensible aux vibrations sonores) est en liaison avec un neurone dont l'axone rejoindra le système nerveux central par le nerf auditif. Dans les récepteurs sensoriels de type 3 (modèle: la vision), les cellules photoréceptrices (cône ou bâtonnet de la rétine) sont séparées des cellules qui émettent les potentiels d'action (cellule ganglionnaire formant les fibres du nerf optique) par une cellule de liaison (neurone bipolaire). Dans le cas des récepteurs de type 1, c'est dans

types de synapses représentées sur le document 2. 1- Qu’enregistre-t-on lorsqu’une seule excitation d’intensité supraliminaire arrive au niveau de la synapse 1 ? Même question au niveau de la synapse 2 ? 2- Qu’enregistre-t-on au niveau du cône axonique lorsque plusieurs excitations d’intensités infraliminaires arrivent successivement au niveau de la synapse 1. Comment expliquez-vous ce résultat ? Comment le qualifie-t-on ? 3- L’arrivée simultanée d’une excitation d’intensité infraliminaire

neurotransmetteurs libérés par les fibres C lorsqu’elles sont stimulées par un stimulus nociceptif, et il peut alors activer les neurones nociceptifs postsynaptiques. Cependant, la mise en évidence expérimentale de l’existence de synapses enképhalinergiques axo-axoniques sur les terminaisons des fibres afférentes primaires de type C reste à faire. C’est pourquoi ce schéma n° 1 illustrant le principe de l’inhibition présynaptique est aujourd’hui abandonné et hors programme. En revanche, la mise en évidence des terminaisons

axonal. L'axone est de longueur trs variable et peut atteindre plus d'un mtre, ce qui est le cas par exemple pour les motoneurones des muscles des membres infrieurs. Il se termine par une petite arborisation dont chaque terminaison (= terminaison axonique) s'largit en un bouton terminal (reprsentant l'lment prsynaptique). Parfois, les axones tablissent des jonctions avec d'autres cellules le long de leur trajet : ce sont les boutons en passant . Les signaux nerveux Afin de recevoir, de coordonner

Deuxième partie : (10 points) A- Neurophysiologie (6 points) 1- a)    1.5 pts (0.5 X 3) Tracé obtenu en O1 : un PA Tracé obtenu en O2 : Un PPSE Tracé obtenu en O4 : Un PPSI b) Tracé obtenu en O3 : Stimulation efficace St1 PPSE au niveau de N2 cône axonique de N2 en O3 PA propageable naissance de 3 sommation spatiale des 3 PPSE au niveau du PPSE globale ≥ seuil naissance d’un PA Tracé obtenu en O5 : Le PA enregistré en O3 se propage le long du neurone N2 naissance de 3 PPSI au niveau du neurone

enfants. Leur origine est encore mal connue, mais ils pourraient être dus à des dérèglements des neuromédiateurs de type dopaminergique. Circumduction : Défaut de marche qui consiste en un mouvement par lequel un membre ou un segment de membre décrit un cône dont le sommet est formé par l'articulation supérieure du membre Clonus: augmentation de Brisk dans le ton avec des mouvements involontaires qui se traduisent par un dysfonctionnement des voies cortico. Complexe amygdalien : centre des émotions. Congénital

neurones cibles du thalamus. La plupart des neurones émettent beaucoup plus de prolongements que nécessaire, les prolongements excédentaires se rétractant ensuite au cours de la maturation cellulaire. La croissance d’un axone se fait à partir d’un cône de croissance dans lequel la membrane émet des filipodes et des lamellipodes par polymérisation d’actine (figure 1). La croissance de l’axone est guidée par des facteurs, spécifiques ou non, du développement neuronal. Les molécules de guidage sont