Conflit hmong

meurent.» -Proverbe laotien LA GUERRE «SECRÈTE» AU LAOS Exposé sur l’événement Les Hmong au Laos partagent au moins un point en commun avec d’autres peuples des montagnes du monde, les Svanes de Géorgie et les Mams de Guatemala: vivant à 3000 mètres d’altitude, nomades, relégués dans des vallées isolées car la population ne les a jamais intégrés (Vink, 2004). Vues des basses terres, les Mams, les Svanes ou les Hmong sont paresseux, sauvages, désadaptés et violents, des minorités ethniques auxquelles

devenu le théâtre d’une violente guerre civile. Ils se sont principalement installés dans la région du Maroni. Aujourd’hui, près du tiers de la population de Saint-Laurent-du-Maroni est de nationalité surinamaise. Depuis le règlement du conflit en 1992, l’immigration a fortement baissé. Mais, elle est restée forte pendant les années 90 à cause de la mauvaise situation économique au Surinam, de la facilité d’accès au territoire guyanais, et des bonnes conditions économiques et sociales

a pas de conflits directs mais des conflits locaux dans lesquels il y a toujours l’intervention, d’une certaine façon, des deux blocs. Seul en 1962, après la crise des missiles de Cuba, la Guerre Froide entre dans une phase de détente. Pendant la période 1947-1991, de nombreux enjeux se présentent en Asie. Ceux-ci sont plutôt locaux, internes dans les pays. Ces conflits internes sont l’expression de la Guerre Froide en Asie. Nous allons voir, dans un premier temps, les premiers conflits qui ont apparus

compréhension de l’État qui reste imparfaite eu égard à la complexité du problème. D’une part les frontières de l’État ne sont pas fixes mais constamment en mouvement, d’autre part, l’État n’est pas seulement un lieu de conflits entre différentes organisations, il est aussi un lieu de conflits à l’intérieur des organisations. Si certains chercheurs parlent de l’intérêt de l’État, il faut constater qu’il y a souvent des intérêts divergents entre les parties constituant l’État. L’État et la société civile

temps, Saïgon devient Hô Chi Minh Ville ; * 20 septembre 1977 : admission du Viêt Nam à l’Organisation des Nations unies (ONU) ; * 1979 : Le Viêt Nam met fin au régime des Khmers Rouges. Occupation du Cambodge ; * février-mars 1979 : Conflit de la frontière sino-vietnamienne ; * 23 juillet 1980 : premier cosmonaute vietnamien lancé dans l’espace Phạm Tuân ; * 1986 : début de la politique d’ouverture économique du Viêt Nam ; * Septembre 1989 : les troupes vietnamiennes quittent

majoritaire est celui des Viêt qui se répartit dans les plaines et les grands cours d'eau du pays. Les autres ethnies sont les Chinois du Viêt Nam qui cohabitent avec les Viêt, les Khmers qui habitent le Sud, les peuples Tày (Laotiens et Siamois), les Hmong dans les montagnes du Nord-Ouest, les Cham entre le Centre et le Sud et d'autres ethnies montagnardes, comme les Mnong. Climat: type tropical au sud et subtropical humide au nord. Dans les régions montagneuses, le climat est plus sec et les hivers

690Km Topographie : Zone de montagne et de hauts plateaux occupent 2/3 du territoire Climat : Tropical avec mousons Population Total : 86 116 559 Population urbaine : 26% Croissance Cro issance annuelle : 1% Groupe ethnique : Vietnamiens, Chinois, Hmong, Thailandais, Khmers Infrastructures Infrastructure s État de l’infrastructure : 68ème sur 131 pays L’investissement représente 10% du PIB 60% de l’investissement est consacré aux infrastructures de transport 40% proviennent d’investissements directs

bien souvent des disparités chez les Hommes et donc des conflits. Dans un raisonnement logique de cause à effet, il suffirait alors d'effacer ces différences qui nous divisent afin de supprimer bon nombre de conflits. Cette « suppression » des différences qu'on appelle uniformisation apparaît dès lors comme solution aux problèmes évoqués précédemment. Mais afin d'appliquer cette solution, il faudrait définir dans chaque cas où il y a conflit, une des alternatives comme supérieure aux autres et l'imposer

de tout cens populaire, diffusion sociale d’imaginaires racistes et ethnicistes ayant formé la matrice criminelle des discriminations contemporaines, imposition administrative de « frontières artificielles » ayant mené in fine au déclenchement de conflits sanglants, etc. Au regard de ce que les sciences sociales nous permettent aujourd’hui de comprendre du fait colonial, la question soulevée par ces formulations politiques du débat sur le « legs colonial » apparaît double5. Il y a, en premier lieu

6e Recensement National), structure par environnement : 562 millions de personnes vivent en ville (42%) et 745 millions dans les régions rurales (58%). -Structure de la population par ethnie : Hans -92,1%, Zhuangs-1,4%, Mandchous-1,0%, Huis-0,9%, Hmongs -0,8%, Ouïghours-0,7%, Yis- 0,7%, Tujias-0,6%, Mongols-0,6%, Tibétains-0,6%, Buyeis-0,4%, Coréens-0,2%. Par religion : culte des dieux et des ancêtres-56,2%, religion populaire taoïste-12,9%, taoïsme-0,8%, bouddhistes-13,8%, chrétiens-2,4%, musulmans-1