Confrontation Maitre Valet

scène I il fait tout un discours à Philinte sur ce sujet. On peut donc se demander si Alceste mettra en œuvre tous ces propos. Enfin, la troisième est une intrigue judiciaire. Elle concerne les problèmes d’Alceste avec les lois de bienséance (la confrontation avec Oronte). On peut se demander que t-il arriver au personnage principale suite à tous ces procès. -En quoi Alceste est-il au cœur de l’action ? Alceste est le personnage principal de cette pièce. Il est amoureux d’une jeune femme appelé Célimène

philosophique faisant état de l’absurdité du monde et de la destinée humaine, qui ne semble justifiée par rien. Cette philosophie a fortement influencé la littérature de l’après-guerre, notamment l’oeuvre de Sartre et de Camus. « L’absurde naît de cette confrontation entre l'appel humain et le silence déraisonnable du monde.», souligne Camus dans le Mythe de Sisyphe. C'est précisément dans ce décalage entre l'individu et le monde que se situe la dimension absurde de la condition humaine. Ce sentiment du

| |empereur à se libérer de la tutelle politique de sa mère. Britannicus survient, cherchant Junie. Agrippine l’informe et lui propose son soutien (I, 2-3-4). | |Néron apprend à Narcisse (le gouverneur de Britannicus, qui espionne son maître pour Néron) qu’il est tombé amoureux de Junie, cette nuit-même, en voyant la | |jeune fille en pleurs (II,1). |

burlesque, gai et vraisemblable, très différent des romans à succès du XVII ? I-L’entrée dans l’univers du roman1-.Un début dans un registre épique . . 2-.Un semblant de récit héroïque .dans l’intention de s’en moquer . 3-.Confrontation entre épique et comique .passe brutalement du registre épique à satirique . II-L’entrée en scène des personnages1-.Une troupe de comédiens .portent leur rôles sur eux de façon hétéroclites .vagabons .Emplâtre : maquillage

tréteaux élevés à notre honte, où la décente liberté, bannie du théâtre français, se change en une licence effrénée ; où la jeunesse va se nourrir de grossières inepties, et perdre, avec ses mœurs, le goût de la décence et des chefs-d’œuvre de nos maîtres. J'ai tenté d'être cet homme ; et si je n'ai pas mis plus de talent à mes ouvrages, au moins mon intention s'est-elle manifestée dans tous. J'ai pensé, je pense encore, qu'on n'obtient ni grand pathétique, ni profonde moralité, ni bon et vrai comique

carresclassiques.com • Réalisation .................................... ............................... Laurent Tirard Romain Duris (Molière) Fabrice Luchini (Jourdain) Laura Morante (Elmire) Edouard Baer (Dorante) Ludivine Sagnier (Célimène) Fanny Valette (Henriette) Gonzague Requillart (Valère) Philippe du Janerand (M. Bonnefoy) Gilian Petrovski (Thomas) Sophie-Charlotte Husson (Madeleine Béjart) Laurent Tirard Grégoire Vigneron Françoise Dupertuis • Interprétation .........................

............................................................................ p. 116 Séquence 1 – Le « théâtre dans le théâtre » du XVIIe au XXIe siècle .................................................................. p. 120 Séquence 2 – Maîtres et valets dans la comédie du XVIIIe siècle ..................................................................... p. 136 Séquence 3 – L’aveu sur scène du XVIIe au XXe siècle .............................................................................

Photocopies autorisées Chapitre 24 Étudier la comédie et le comique COUPS DE POUCE Livre de l’élève, pp. 207-208 * 1. Faire des hypothèses à partir de la présentation d’une comédie a. – Le rang social des personnages : bourgeois, notaire, servante, valet, laquais… – Une famille ordinaire, sans référence à un contexte aristocratique ou antique (comme dans la tragédie). – Le nom de certains personnages : L’Épine semble un jeu de mot ; Vadius, nom de consonance latine, trahit le pédantisme du « bel esprit

autorisées Chapitre 24 Étudier la comédie et le comique COUPS DE POUCE Livre de l’élève, pp. 207-208 * 1. Faire des hypothèses à partir de la présentation d’une comédie a. – Le rang social des personnages : bourgeois, notaire, servante, valet, laquais… – Une famille ordinaire, sans référence à un contexte aristocratique ou antique (comme dans la tragédie). – Le nom de certains personnages : L’Épine semble un jeu de mot ; Vadius, nom de consonance latine, trahit le pédantisme du « bel esprit

Pangloss le plus grand philosophe " de toute la terre " simplement parce qu'il est " le plus grand philosophe de la province ". Il conviendra donc de faire sortir Candide du paradis des illusions pour qu'il puisse mettre à l'épreuve l'enseignement de son maître en le confrontant à l'expérience du monde. A la fin du chapitre, le départ de Candide est donc conçu par Voltaire sur le double plan du conte et de l'objectif philosophique : la séparation qui vient brusquement rompre les débuts d'une liaison amoureuse