Confucianisme

favorisés par les zones franches qui vont être progressivement étendu à une plus large partie du littoral. C – Cohésions et Tensions • Très forte cohésion traditionnelle • Les pays possèdent chacun une culture propre mais qui s’est étendue (confucianisme) • Le nationalisme est très fort en Chine et Corée • Dans ces sociétés, le poids du groupe, le respect de la hiérarchie et de la tradition restent forts dans ces sociétés Cependant, l’instabilité menace : • Le Japon vieillissant doit s’ouvrir

inspirées des commandements bouddhistes. De plus le pouvoir politique est assuré par une autorité religieuse, le dalaï-lama. Cependant, bien que la Chine soit athée par idéologie, le confucianisme est très présent. Alors que le bouddhisme tibétain tend vers l'au delà mystique, le confucianisme chinois tend lui vers ordre et l'harmonie terrestre (bien que le taoïsme de Lao Tseu tende vers le mystique). Confucius prône l'organisation sociale (et même la mobilité sociale !). C'est modelé

économique. Il existe des états démocratiques, non démocratiques et partiellement démocratiques. La dictature est importante. Différentes religions : - Shintoïsme au Japon - Christianisme aux Philippines - Hindouisme en Inde et au Sri Lanka - Confucianisme et Taoïsme en Chine - Islam dans les pays d’Asie centrale, en Malaisie et en Indonésie Différentes parties : - Asie de l’est comprenant Asie du Nord-est (Chine, Taiwan, Japon, Corée) et Asie du Sud-est (Thaïlande, Birmanie, Singapour, …)

Philosophies morales et « religions » Doctrines et religions Taoïsme : Lao-tseu / 603 avant J.C. Valeurs : humilité, passivité, réceptivité Principes : appréhension de la vie dans la profondeur. Quête du cœur secret de l’existence Le TAO : voie suprême Confucianisme : Kongfuzi / 551 avant J.C. Valeurs : loyauté, culture, éducation Principes : donner conscience de l’importance du savoir et de l’érudition. L’homme de culture transmet l’héritage Culte des ancêtres. Confucius a vécu lors d’une époque avec énormément

d’un poids décisif en Asie orientale par sa superficie (94% est en Chine littorale), par sa densité la plus forte sur les côtes ou l’on trouve 80% de la population Chinoise, par l’influence de la civilisation chinoise grâce à sa culture et le confucianisme qui est une pensée qui a été transformé en une idéologie légaliste et totalisante. La diaspora chinoise est très présente dans les autres pays de l’Asie orientale, est réputée pour son esprit d’entreprise et représente 35 millions de chinois dans

contexte dans lequel il s’inscrit. Le contraste présenté par ces deux méthodes rend extrêmement malaisée toute élaboration conceptuelle commune. Ici encore l’interculturel renvoie à des enjeux qui dépassent largement l’ordre du langage. Taoïsme et confucianisme fonctionnent au niveau des valeurs comme les deux pôles antagonistes et complémentaires de la pensée chinoise et des pratiques qu’elle génère [Lin, 1997]. Le taoïsme exprime un équilibre dynamique dont le désordre est tempéré par la construction

leurs autorités mais moins au niveau de la religion. Islam sur les continents Africain et Asiatique : religion elle même divisée entre chiites et sunnites Les animistes touchent essentiellement l’Afrique et l’Amérique du Sud Shintoïsme et confucianisme plus des philosophie que des religions : s’effacer aux profits du groupe, faire taire ses envies. Offrandesrechercher la paix divine Les religions sont vectrices de conflits ou de division : Le Cachemire entre l’Inde et le Pakistan qui est

central autorise le commerce privé mais hors marché et instaure le principe des "ports of trade". Echanges uniquement dans les ports commerciaux, pas de pensée économique autonome et structurée. 2) Confucianisme et légisme dans la Chine des Han : A - Dispute sur le sel et le fer (-81) Confucianisme : - Confucius : nécessité d'être frugal (consommer peu, acheter peu à l'extérieur), autosuffisance agricole, obéissance filiale, passer beaucoup de temps à s'éduquer - Mencius : croyance en la bonté

Il s’agit là, bien entendu, du çûfisme orthodoxe qui implique une transmission initiale remontant au Prophète et non de pseudo-organisations qui ne peuvent revendiquer une filiation valable. Le dernier chapitre est consacré au Taoïsme et au Confucianisme de même qu’à la permanence du Tao, en dépit de la destruction plus ou moins complète de l’aspect extérieur de la tradition chinoise. Pour René Guénon, quelle que soit la diversité des méthodes, l’ésotérisme est partout et toujours le même.

changement. - Un rapport de « force » à la nature : observer pour comprendre et maîtriser. - Un point de vue anthropocentriste. | - Héritage des traditions (mythes, culte des ancêtres, superstitions). - Influence des philosophies (Confucianisme, Bouddhismes, Taoïsme). - Le rôle de la pensée, de l’écrit, de la poésie. - Les mutations du 20e siècle, l’art international. - Un rapport d’intégration à la nature. - Un point de vue global (harmonie des parties de l’univers).