Connétable

lui. En quelque lieu qu'il François de Lorraine recevait communication de toutes les dépêches importantes, de toutes les nouvelles relatives aux le affaires de l'intérieur comme à celles du dehors, et connétable lui-même avait ordre de l'en informer avec exactitude. Le nouveau duc de les la la Guise, dit était M. de Bouille d'après mémoires du temps, d'une taille au-dessus de moyenne ; il avait le visage ovale

qui peuvent servir de terre d’expérimentation aux utopies politiques. En 1548, sous le règne d’Henri II, éclate à Bordeaux une révolte populaire contre l’impôt sur le sel (la gabelle), qui fait l’objet d’une sanglante répression par le connétable de Montmorency ; c’est à cette date, selon Montaigne, que La Boétie commence à écrire le Discours de la servitude volontaire ou Contr’un . Indigné par les dérives de l’absolutisme, refusant tout

Selon Patrick Lagoueyte, la droite, d'abord rétive, finit par rallier un homme qu'elle juge capable de « restaurer l'autorité de l'État, dans la tradition plébiscitaire », certains milieux royalistes se figurant qu'il pourrait jouer « le rôle d'un connétable restaurateur de la monarchie », aveuglement dont Boulanger se sert sans renoncer à ses convictions républicaines5. D'ailleurs, en 1890, Mermeixrévèle dans Les Coulisses du boulangisme6 la collusion de Boulanger avec la droite monarchiste, l'entourage

militaire et les tactiques employées sur les champs de bataille. Le premier chapitre sera consacré à l’étude des membres de la hiérarchie militaire, de leur fonction, ainsi que de leur statut dans la noblesse. De ce fait, le rôle du pouvoir royal, le connétable, le maréchal, le grand turcoplier et l’amiral des galées seront détaillés. Il sera également question de l’organisation des troupes sur le champ de bataille (partie I. 1.). Par la suite, cette étude décrira chaque type d’unité présente dans les

majoritairement de grands officiers dont les rôles ne sont pas sans rappeler ceux de l’époque franque. En effet ces derniers exercent des fonctions politiques et administratives : le sénéchal par exemple s’impose comme le chef de la maison et des armées, le connétable dirige les écuries royales et deviendras le chef des armées royales par la suite, le chambrier est le gardien du trésor, et enfin le chancelier est chargé de la mise en forme des actes royaux et de la conservation du sceau royal. Des individus se

qui ne se résigne pas à la situation. Il se donne les moyens de faire la guerre : il restaure le pouvoir monarchique, améliore les ressources financières (gabelle) et engage des troupes de mercenaires ("routiers" ou "compagnies") qu'il confie au Connétable (chef des armées) Bertrand Du Guesclin. Il reconquiert progressivement les régions cédées en 1360. Edouard III reprend le titre de roi de France; il ne conserve que la côte de Guyenne et les places de Bayonne, Bordeaux, Brest, Cherbourg et Calais

forteresses, dont celle du Chastelet du Gué de Jacob terminée au mois de mars 1179 et qu’il confie aux Templiers. Le 10 mars 1179, un raid à Panéas en terre musulmane manque de tourner à la catastrophe : Baudouin est à deux doigts d'être capturé, et le connétable Onfroy II de Toron est tué alors qu'il protège sa fuite. Le 10 juin 1179, c'est à Marj Ayoun que l'ost est battu par Saladin qui fait de nombreux prisonniers ; Baudouin, encore une fois, échappe de peu à la capture. Enfin le 29 août 1179, Saladin

probablement celui qui a eu lieu de 1542 à 1548, suite à la tentative d'unification par François Ier des régimes de la gabelle : le Bordelais, l'Angoumois et la Saintonge se révoltent. Des notables et le gouverneur général de Guyenne sont massacrés. Le connétable Anne de Montmorency rétablit l'ordre dans le sang, mais Henri II doit fléchir et laisser les provinces revenir à leur statut antérieur. Elles seront ensuite qualifiées de « rédimées ». En 1639, la tentative de suppression du « quart-bouillon »

femme : François Ier et Mme d’Étampes, Henri II et Diane de Poitiers, François II et Catherine de Médicis. ►Deux clans rivaux se disputent les faveurs de cette femme toute-puissante pour accéder au pouvoir : • Les Montmorency : le connétable, son fils d'Anville, et leur alliés (le prince de Condé, le roi de Navarre, le duc de Nevers, père du prince de Clèves). D'Anville est marié à Mlle de La Marck, petite-fille de Diane de Poitiers. • Les Guise : le duc de Guise, le chevalier de Guise

(impôts des cinquante mille hommes de pied) et pour les libertés publiques. Les insurgés encerclent le 21 août le fort du Hâ et le château Trompette. Ils massacrent le gouverneur du roi et vingt officiers des gabelles. Le roi Henri II ordonne au connétable Anne de Montmorency une répression exemplaire. La cité perd ses privilèges. Elle est désarmée, verse une amende et son parlement est suspendu. En ville, 140 personnes sont condamnées à mort. La répression s’étend ensuite dans les campagnes alentours