Consonne spirante

ressource qui est un héritage très ancien est relativement peu productive en arabe moderne; elle consiste à produire des unités de nomination en affixant selon un patron syllabique précis des formants vocaliques et consonantiques à des racines de consonnes. Dans ces unités fléchies, ou formes, les formants dénotent des modalités ; par exemple, la voyelle de la première radicale du verbe signifie la diathèse : /a/ dénote la diathèse subjective, /daraba/, et /u/ dénote la diathèse objective /duriba/

syllabe suivante débute par une consonne ( la/ por/te/ fer/ mée: 5 syl). -Devant une voyelle, la syllabe ne compte pas (la/ por/t(e) ou/ver/te: 4 syl) -En fin de vers la syllabe terminée par (une consonne + un e) ne « compte » pas. -A l'intérieur d'un mot, lorsque deux voyelles sonores se rencontrent, elles comptent pour deux syllabes (po/ è/te); le i est un cas à part, sa nature est celle d'une semi-consonne (« yod »); le i peut donc fonctionner comme une consonne, cas de diérèse: na/ti/on; selon

la liaison, les consonnes finales sont toujours prononcées même si les mots suivants débutent par une consonne. Énoncé : « Elle arrête un voleur » ( transcription phonétique : [ɛlaʁɛtɛ̃volœʁ]. L'énoncé comporte deux enchaînements : entre les sons [l] et [a], et entre les sons [t] et [ɛ̃]. La liaison consiste en l'insertion d'une consonne entre un mot à finale vocalique et un mot à initiale vocalique. En d'autres termes, il s'agit du fait qu'on prononce une consonne finale, normalement

lecture (sub)vocalisée. Le Test01 a montré que la compétence des locuteurs entraîne des contre-performances. Par exemple, la nette dominance des syllabes ouvertes (Consonne suivie d’une Voyelle) engendre chez le locuteur une compétence à produire des syllabes ouvertes. À la rencontre d’une syllabe fermée (syllabe qui se termine par une consonne prononcée), la performance sera une syllabe... ouverte (CVC devient CV...+ C), afin de respecter l’habitude inconsciente qui découle elle-même d’une fréquence

l’homophonie finale • Nature de la rime. Alternance des rimes masculines (pas de "e" muet) et des rimes féminines (avec un "e" muet). Alternance des rimes vocaliques (terminées par une voyelle prononcée) et des rimes consonantiques (terminées par une consonne prononcée). • Qualité de la rime Rimes pauvres (un son identique) : "Fou/Vous". Rimes suffisantes (deux sons identiques) : "Zéphyre/lyre". Rimes riches (trois sons identiques) : "Cuistres/sinistres". Rimes léonines (plus de trois sons identiques)

guerra = [gou-èrra] ; quanto = [qou-anto]. Dans les dipthongues, chaque voyelle se prononce séparément. Ex. : nuoto = [nou-o-to] ; idraulico = [idra-ou-li-co]. De même avec trois voyelles successives : aiuto = [a-i-ou-to] Les consonnes : La plupart des consonnes se prononçent comme en français. Certaines s’en distinguent . hC et G suivis de a, o, u : C + a = [ka] C + o = [ko] C + u = [kou] G + a = [ga] G + o = [go] G + u = [gou] · C et G suivis de e et i : C + e = [tchè] C +

histoire, leur géographie. Paris (Éditions Robert Laffont), 1994, p. 240] Les ultimes effets d’une consonne disparue Alors que le latin parlé des légionnaires romains ne connaissait pas la consonne h, qui ne se prononçait plus en latin déjà du temps de Cicéron (dans HOMO, HONOR, HORA, le H- était déjà seulement graphique), la langue qui devait devenir le français allait acquérir cette consonne du fait de l’influence germanique, dans des mots comme hache, haie, halle, hameau, hanche, harde, honte

voyelles e, i, y > pas de cédille pour noter le son /s/ B/Le trémas Signe diacritique formé de deux points placés sur les voyelles e, i, u indique la disjonction d'un groupe de lettres et donc leur prononciation séparée a- ï marque la semi consonne yod intervocalique séparée de la voyelle précédente. b- ë dissocie les groupes ae, oe c- -güe: le trémas indique la prononciation /gy/ (>< /g/) NB: le trémas est rare sur les lettres u et a. La lettre h peut assurer la séparation entre u

* madda, uniquement sur le alif ©¬® Exemples : Coran = qour'ân ʬd$ ©‡‡® Ò . Ce signe indique qu'on doit doubler ou insister sur la consonne qui le porte. maintenant = al'ân * Les 3 voyelles brèves, ainsi que l'absence de voyelle, sous forme d'accents accompagnant ©‡‡® Ô ©‡‡® - fatha Ó ©‡‡® - kasra  - soukoun ©‡‡® Ú - damma une consonne : c'est un ou bref. c'est un a bref. c'est un i bref. c'est l'absence de voyelle ou silence. Exemple : prospère = M Z D H R i ou

liste des consonnes allant de ‘‘b’’ à ‘‘z’’ d’une part puis de la liste des voyelles d’autre part. Selon les linguistes, il en existe seize. Mais par rapport auniveau des élèves, nous nous limiterons aux huit voyelles usuelles qui sont : « a, o, i, e, u, é, è, ê ». L’élève est amené à lire phonétiquement ces fiches mais aussi à les recopier. Par ailleurs, la fiche syllabique se compose d’une fiche syllabique simple et d’une complexe. La fiche syllabique simple est l’association d’une consonne et des