Conte Philosophique Plaire Ou Instruire

désobéissance d’Antigone. L’anarchie est le pire des fléau ‘est pourquoi son devoir est de maintenir l’ordre. C’est pourquoi le chœur au début de la pièce est du coté de Créon, il défend l’ordre, la loi. C’est pour ca qu’il y a eu toute une interprétation philosophique de ce mythe par Hegel XIXe siècle et réhabilite la fonction de Créon qui ne peut pas faire autrement que d’appliquer les lois, que de maintenir l’ordre, Pour Hegel il s’agit d’un conflit entre deux valeur égale ; morale de l’individu incarné par

SEQUENCE N°1 LA SATIRE SOCIALE AU XVIIIe SIECLE. Comment formuler une critique de la société sans en avoir l’air ? Objet d’étude principal : L’argumentation ( : Conte philosophique, Fable, Essai.) Objet d’étude secondaire : Un mouvement culturel & littéraire français & européen : Les Lumières. 1. Montesquieu, Lettres Persanes, « Rica à Rhédi », lettre XCIX (1721)

de La Fontaine, Fables, « Le Pouvoir des fables » 2 J.-P. Claris de Florian, Fables, « Le Lierre et le Thym » 3 V. Hugo, Les Châtiments, « Fable ou Histoire » 4 J. de La Fontaine, dédicace des Fables Prolongements Séquence 6 Contes et romans philosophiques C. Perrault, Contes de ma mère l’Oye, « Les fées » « Évangile selon saint Jean » ÉTUDE D’ŒUVRE INTÉGRALE C. Perrault, Contes de ma mère l’Oye ANALYSE D’IMAGE J.-B. Greuze, L’Oiseau mort TEXTE 2 Voltaire, Jeannot et Colin D’UN TEXTE A L’AUTRE

esclaves de Marivaux [théâtre] ➢ Montesquieu, les Lettres persanes (1721) [roman épistolaire] + comparaison avec lettre XXIV (manuel p.36) ➢ Beaumarchais, Le Mariage de Figaro acte V, scène 3[théâtre] ➢ Voltaire, Micromégas (1752)[conte philosophique]  1) Montesquieu, « De l’esclavage des nègres » tiré de L’esprit des lois, livre XV, chapitre V (1748) [essai] « Si j'avais à soutenir le droit que nous avons eu de rendre les nègres esclaves, voici ce que je dirais : Les peuples

cause de son malheur actuel. “Oedipe”, en engageant son public à ne pas chercher à Iire dans le livre de la destinée, préluda à “Zadig” et annonça “Candide”. Dénonçant surtout l’arbitraire divin, elle peut être lue comme une profession de foi philosophique et une satire de la religion : «Nos prêtres ne sont pas ce qu'un vain peuple pense. Notre crédulité fait toute leur science.» (IV, 1). On crut pouvoir identifier le roi de Thèbes au Régent qui, cette fois, ne s’en formalisa guère. Après

fait de ce conte une satire du bourgeois sous la Monarchie de Juillet (1830 – 1848) ? ¨ Le père, comme les bourgeois qui posent pour leur portrait, porte un « bel habit noir à la française » ce qui lui donne « l’air d’un marguillier en train d’avaler une omelette. » ¨ La mère, telle une héroïne de roman, « tomb[e] à terre à demi pâmée […] près d’expirer. » ¨ Le père siffle pour une « jeune grisette » qui vit dans un « grenier ». ᕣ Pourquoi peut-on dire que le héros de ce conte est un artiste

Lyrisme………………………………………………………………………….. II.2 : glissement de sens…………………………………………………………………. II.2.a : Terre d’immanence……………………………………………………………... II.2.b : Relativité du concept d’exotisme………………………………………………. 2 Partie II : L’adhésion au voyage philosophique………………………. Chapitre I : Imitation formelle du voyage voltairien……………………….. I. Le traitement des personnages ……………………………………………………… I.1 : L’onomastique……………………………………………………………………... I.1.a : L’anthroponymie chez voltaire…………………………………………………. I.1.b

Racine :Préface de Bérénice : « toute l’invention consiste à faire quelque chose de rien » Promotion de la bienséance par Racine et Boileau : « L’esprit n’est point ému de ce qu’il ne croit pas », Boileau, l’Art poétique. « La principale règle est de plaire », Racine, préface à Bérénice. La notion de fatalité : Toutes les tragédies de Racine débutent au moment où les passions longtemps contenues se déchaînent. Racine tend à éliminer la fatalité au profit de la passion : approche très psychologique

souveraine: rien ne s'y fait que par elle et pour elle. Or la femme est la grande éducatrice de l'homme; elle lui enseigne les vertus charmantes, la politesse, la discrétion et cette fierté qui craint d'être importune. Elle montre à quelques−uns l'art de plaire, à tous l'art utile de ne pas déplaire. On apprend d'elle que la société est plus complexe et d'une ordonnance plus délicate qu'on ne l'imagine communément dans les cafés politiques. Enfin on se pénètre près d'elle de cette idée que les rêves du sentiment

dosage entre « plaire et instruire » dont les Lumières sont si friands. On y trouve une peinture sociale mais aussi des réflexions d'ordre philosophique ou religieux qui ne déparent en rien la pensée des Lumières. Lire les Lumières (Dunod p.162) résume en un § « le » roman des Lumières : « Volontiers condamné pour ses invraisemblances, le roman tend de plus en plus à parodier le roman d'aventures traditionnel, à mettre en scène la réalité contemporaine et à s'ouvrir aux débats philosophiques, moraux et