Contes Merveilleux

sa santé devient délicate. Il achève et publie toutefois le 1er avril 1874 la troisième version de La Tentation de saint Antoine, juste après l'échec de sa pièce de théâtre Le Candidat en mars 1874. Sa production littéraire continue avec les Trois contes, volume qui comporte trois nouvelles : Un cœur simple, centré sur la figure de Félicité inspirée par Julie, nourrice puis domestique qui servira la famille Flaubert, puis Gustave seul jusqu'à la mort de ce dernier, - La Légende de saint Julien l'Hospitalier

- L'Éducation sentimentale (1869) - Trois contes (1877) - Bouvard et Pécuchet (1881)

Gagnon, Cécile 9330453 9576 La poudre magique Guillet, Jean-Pierre Contes écologiques 9330858 9578 Les animaux en danger Quintin, Michel Pellicule, photographe animalier 9330134 9579 Simon et la ville de carton Tibo, Gilles Simon 9330275 9586 Le plus long circuit Carrier, Roch 9331498 9615 Beauchemin, Yves Littérature jeunesse;40 9330363 9575 Racomptines Gagnon, Cécile 9330453 9576 La poudre magique Guillet, Jean-Pierre Contes écologiques 9330858 9578 Les animaux en danger Quintin, Michel Pellicule

 Les contes de la bécasse La bécasse: Le baron des ravot avait ete pendant longtemps un grand chasseur. Depuis sa paralysie il ne chassait plus que de son balcon ou sa terrasse. il aimait recevoir ses amis pour diner et les inviter a chasser, le soir au cours du souper un avait le privilège de la tête et a la fin du repas celui ci devaient conter une histoire. Ce cochon de morin: Morin est un mercenier de la rochelle en route dans l'express pour paris il rencontre une

l’œuvre : A s’y méprendre signifie que l’on peut se tromper. Cette nouvelle va-t-ellenous emmener sur des pistes capables de nous induire en erreur ? Va-t-elle nous proposer une histoire abracadabrante ? Connaissant Villiers de l’Isle Adam et ses Contes cruels, nous savons à quoinous attendre. Ce texte parle sûrement de la mort. Analyse littérale : Tout commence une matinée de novembre, grise et pluvieuse. L’ambiance est déjà sombre, froide et triste. Le narrateur (je)explique qu’il a un rendez-vous

prêts à une nouvelle fuite." Réécrivez ce passage en imaginant que le narrateur est accompagné d'un ami et en opérant les transformations nécessaires. Attention : les fautes de copies seront sanctionnées. DICTÉE (6 points) Gustave Flaubert, Trois contes, "La Légende de saint Julien l'Hospitalier" Le bois s'épaissit, l'obscurité devint profonde. Des bouffées de vent chaud passaient, pleines de senteurs amollissantes. Il enfonçait dans des tas de feuilles mortes, et il s'appuya contre un chêne pour

souci de réalisme, son regard lucide sur les comportements des individus et de la société, et par la force de son style dans de grands romans comme Madame Bovary (1857), Salammbô (1862),L'Éducation sentimentale (1869), ou le recueil de nouvelles Trois contes (1877). Biographie Gustave Flaubert est né à Rouen en décembre 1821. Il est le fils du chirurgien en chef de l’Hôtel-Dieu de Rouen. Flaubert se réfugie assez vite dans la littérature. Après le baccalauréat

souci deréalisme, son regard lucide sur les comportements des individus et de la société, et par la force de son style dans de grands romans comme Madame Bovary (1857), Salammbô(1862), L'Éducation sentimentale (1869), ou le recueil de nouvelles Trois contes (1877).

Français Fiche de Lecture 1° Références complète du passage de la nouvelle : La Légende de saint Julien l’Hospitalier Trois Contes de Gustave Flaubert, sortie en 2003 au édition Gallimard. Pages 59 à 70. 2° Renseignement généraux sur l’histoire dans le passage : - Le récit débute par une description détaillée du château des parents de Julien. A force de prières, ils ont un fils qu’ils nomment Julien. Après cet heureux évènement, un ermite dit à la mère « ton fils sera un saint ! »

aussi par son regard lucide sur les comportements des individus et de la société, et par la particularité de son style dans de grands romans comme Madame Bovary (1857), Salammbô (1862), L'Éducation sentimentale (1869), ou le recueil de nouvelles Trois Contes (1877). «  Mœurs de province » est le sous titre de Madame Bovary, celui-ci nous apprend sur les véritables attentions de l’auteur qui voulait sans aucun doutes dessiner un portrait de la France du XIXe siècle, c'est-à-dire en nous inscrivant dans