Contraception Svt

L'image de la femme 騅olue fortement. La femme veut d駸ormais 黎re l'馮ale de l'homme. Pourtant certaines revendications f駑inistes entre parfois en contradiction avec les normes religieuses et morales de certaines soci騁avec notamment le droit la contraception (1967), le droit l'intervention volontaire de grossesse ( loi Simone Veil en 1975), le droit la libertd'expression, au divorce, au mariage lesbien... Par ailleurs, de plus en plus, les m馘ias transmettent cette image de ｫ femme objet ｻ ( par la

dans le vagin, et donc la fécondation. Du bon usage de la capote Préservatifs, capotes, condoms… Quel que soit le nom que vous lui attribuez, sachez que c'est le seul moyen de contraception, qui empêche la contamination par le sida ou par une autre Maladie Sexuellement Transmissible (MST). Les autres moyens de contraception (pilule, ovule, stérilet…) vous permettent uniquement d'avoir des rapports sans risque de grossesse. Alors, pour des relations plus agréables car plus protégées, à vos capotes

Que sont les moyens de contraception appelés stérilisation à visée contraceptive et méthodes naturelles ? I. La stérilisation à visée contraceptive. 1. Comment y accéder ? -. -Majorité. -. -4 étapes: 1° consultation: -Etat demande, motif. -Choix éclairé par infos orales du médecin sur: les autres méthodes de contraception, les techniques de stérilisations proposées, les modalités d’intervention, les conséquences et risques éventuels. -Dossier d’infos écrit, descriptif de la demande en vue d’une

L'avortement est un acte qui désigne la destruction voulu ou non, du fœtus avant la naissance naturelle. En France,220 000 interruptions volontaires de grossesse sont pratiquées chaque année, soit un avortement pour trois naissances. Le délai légal d'avortement en France est passé de 10 à 12 semaines en 2001. Dans un premier temps nous allons relater l'Histoire de l'avortement , ensuite nous étudierons la place du fœtus au sein de la famille selon la loi et les religions, enfin nous évoquerons

planification et d'éducation familiale (CPEF) où l'on peut parler, de façon anonyme et gratuite, avec des personnes compétentes de sujets liés à la sexualité et à la contraception. On peut y avoir une consultation auprès d'un spécialiste (médecin généraliste, gynécologue, conseillère conjugale ou sage-femme) et s'y faire prescrire une contraception L'avortement est un acte destiné à interrompre le cours d'une grossesse. L'avortement peut avoir des motivations non médicales, il s'agit d'une interruption

clandestins sont les pays en développement comme l'Inde, mais c'est l'Afrique qui détient le triste record du nombre d'avortements clandestins : l'accès à la contraception est quasi inexistant ; les interventions sont réalisées dans un cadre non médical, mettant en danger la vie des femmes. Les causes :   Echec ou absence de contraception,   Viol,   Inceste,   Refus de paternité ¨       Qu’en dira-t-on ¨       Pauvreté ¨       Manque de foi ¨       Pression des parents   Filles mineures

Locale «tout ce qui tournait autour de la contraception et de la sexualité n’était jamais abordé directement lors des entretiens (cela restait relativement tabou), mais lorsque la question était posée, ils disaient tous « qu’ils étaient bien informés », « ils avaient eu des cours  à l’école ». Il lui était arrivé de « douter quant à l’intégration et l’application de ces pratiques » et elle s’était interrogée sur la maîtrise des méthodes de contraception, par rapport aux grossesses précoces de certaines

invitant instamment les États Membres à accélérer les mesures visant à améliorer la santé des jeunes. Elle prévoyait trois mesures précises : revoir les politiques visant à protéger les jeunes des grossesses précoces; assurer l’accès à la contraception et aux services de santé génésique; et promouvoir l’accès à des informations exactes sur la santé sexuelle et génésique. L’OMS a publié des lignes directrices sur la manière d’éviter les grossesses précoces et les effets défavorables chez les

de la loi Veil sur l’avortement en 1975, mais également par les actions de sensibilisation menées en matière de contraception qui ont induit des changements dans les comportements sexuels des adolescents. Ceci, notamment du fait de l’anonymat et de la gratuité de la contraception suite à l’autorisation de la pilule en 1974. Si l’usage du préservatif est devenu un moyen de contraception courant (en 2009, 45% des jeunes l’utilisent lors du premier rapport sexuel), dans de nombreux cas, le premier rapport

Légalisation de l’avortement | Pourquoi ne pas légaliser l’avortement ? | | Face à une grossesse non désirée, les femmes n’ont d’autre recours que l’avortement clandestin. | 22/12/2011 | | Pourquoi ne pas légaliser l’avortement ? Beaucoup d’avortements clandestins sont pratiqués au Maroc, avec des conséquences sanitaires et sociales dramatiques.des interventions réalisés non seulement par des médecins généralistes ou des spécialistes mais aussi c’est la que réside le danger par