Contrainte de cisaillement

résistance et charge de calcul - définition de ELU et de L’ELS - combinaison de charges à l’ELU et à l’ELS ▪ Propriétés de matériaux - caractéristiques du béton - caractéristiques de l’acier - diagramme de contrainte déformation (acier béton) - diagrammes réels - diagrammes de calcul - effets du fluage et de retrait ▪ Calcul des sections sous effort normal - traction - compression |Semestre | Unité d’enseignement

......................................... 90 2.2.2.2 Les mélanges Avicel / soude / eau.......................................................................... 94 2.2.3 Evolution de la morphologie des mélanges cellulose / soude / eau sous cisaillement : étude rhéooptique ................................................................................................................... 94 2.2.3.1 Partie expérimentale ...........................................................................

les charges roulantes. S est la surface de la semelle ; Contrainte admissible en Mpa (") – – – – – – – Roches saines = 0,75 à 4,5 Terrain non cohérent à bonne compacité = 0,35 à 0,75 Terrain non cohérent à moyenne compacité = 0,2 à 0,4 Argile = 0,03 à 0,3 Sable et gravier = 0,3 à 0,5 Terre végétale, remblais = 0,05 Vase, tourbe = 0 • • • Application : un mur de 2 mètres de long et pesant 2 tonnes, posé sur un sol dont la contrainte admissible est de 0,3 Mpa. 1.4 LA RÉALISATION DES FONDATIONS

ENSGI 1ère année ˝Année 99/00 TP de Mécanique N° 2 PHOTOELASTICIMETRIE Marie-Anne Le Dain Page 1 / 16 1 - Introduction La photoélasticimétrie est une technique industrielle de prévision des contraintes qui vient complèter des méthodes numériques telles que la méthode des éléments finis. Elle est largement utilisée dans des secteurs de technologie avancée comme l'aéronautique. Sa capacité à simuler des structures complexes a conduit à élaborer des démarches hybrides calcul-photoélasticimétrie

déterminée, la principale source d’irréversibilité est due à la contrainte de cisaillement à l’interface entre le fluide et la surface des aubages de l’impulseur. Dans les compresseurs à pistons par exemple, le travail est nécessaire pour surmonter la force agissant sur le piston, tandis que dans les compresseurs centrifuge, le travail est nécessaire pour surmonter les forces de pression normales ainsi que les forces de cisaillement. Le travail spécifique est plus élevée que la zone du diagramme

Hitachi Medical Systems depuis 2002 (HI-RTE) et par Siemens depuis 2005 (eSieTouch). Elle consiste avec la sonde d'échographie à appliquer de légères pressions afin de soumettre les tissus sous jacents à une légère contrainte. Ces tissus vont se déformer sous l'effet de la contrainte, plus le tissu est élastique plus il se déforme, plus le tissu est rigide moins il se déforme. Cette mesure réalisée en temps réel permet d'évaluer simplement la rigidité relative des lésions et dans une certaine mesure

ULTIMES : En flexion simple En cisaillement longitudinal Nous retiendrons le cas de chargement le plus défavorable suivant : q = 1,35 G + 1,5 Q = 479,89 daN/m = 4,8 kN/m l = 5,75 m Calcul des actions de liaison : Ay = By = (qL)/2 = (4,8*5,75)/2 = 13.8 kN • • Effort de cohésion : Vmax = (qL)/2 = (4,8*5,75)/2 = 13.8 kN Mmax = (ql²)/8 = (4,8*5,75²)/8 = 19.84 kN Contrainte de calcul : Contrainte normale : σ mod= (6max) / (bh²) = (6*19.84^6)/(90*315²) = 13.32 MPa Contrainte tangentielle : τ d= 3/2* (Vmax/bh)

. . . . . . 2.4.2 Milieu continu / milieu discontinu . . . . . . . 2.4.3 Mode de rupture en fonction des discontinuités 2.4.4 Renforcement par ancrages . . . . . . . . . . . 2.5 Exercices . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2.5.1 Contraintes naturelles . . . . . . . . . . . . . . 2.5.2 Formation de filons de quartz . . . . . . . . . . 2.5.3 Caractéristiques mécaniques d’une discontinuité 2.5.4 Formation des alluvions fluviatiles . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

rentrées dans Excel afin de déterminer ces efforts : La vitesse du vent correspond à la catégorie de navigation du catamaran qui est de niveau B avec des vents allât jusqu’à 8 beauforts. On remarque alors que les contraintes dans les voiles sont très importantes voir invraisemblables. En effet, cette démarche de calcul ne convient pas à notre situation car notre catamaran est en mouvement perpétuel et la force du vent dans les voiles varie constamment. Cette formule

.............................. page 12 5.3 - Hypothèses ........................................................................................................ page 12 5.4 - Contraintes maximales admissibles dans les colonnes ..................................... page 13 5.5 - Evaluation des contraintes dans les colonnes et des tassements ....................... page 15 5.6 - Sollicitations autres que les efforts verticaux centrés ....................................... page 18