Contrebasse

typique du XIXème siècle, époque romantique. On a vu aussi que la truite de Schubert avait été écrite pour un quintette. Cet extrait est joué par un piano et le quintette de corde c’est-à-dire, un violon, un alto, un violoncelle et une contrebasse. Les similitudes avec le lied sont que le thème est conservé, la gaité du morceau, et sa mélodie majeure également. L’armure est toujours la même. Mais on ne retrouve rien d’autre. Tous le reste n’est que différence. Commençons par

édité qu’en 1829, soit un an après la mort de Schubert. L’extrait proposé permet d’entendre successivement le thème et trois variations. La mélodie du lied est interprétée au violon et accompagnée discrètement par l’alto, le violoncelle et la contrebasse. Sa forme est la suivante: A A B C C . thèmes 1 thème 2 thèmes3 (repris 1 fois) (repris

la Bavière. Il fait des études littéraires (histoire médiévale et contemporaine) à Munich et à Aix en Provence. Il travaille ensuite comme scénariste pour la télévision. Il écrit une pièce de théâtre où il met en scène un seul personnage : « La Contrebasse » et « Le Parfum » est son premier roman, devenu en quelques mois un best-seller européen. Paris. XVIIIème. Sous un kiosque à poissons, une femme donne naissance à un enfant nommé Jean-Batiste Grenouille. Cet être possède un don. Il a la capacité

Connaissance de l’objet d’étude  Titre : Libertango Auteur/Compositeur : Astor Piazzolla Date et lieu de publication : Mai 1974 à Milan Genre : Tango Formation instrumentale : sextuor ; un bandonéon, un violon, un piano, une guitare acoustique, une contrebasse et un violoncelle Le tango est un genre musical qui né à la fin du XIXe siècle en Argentine. C’est une danse qui se pratique à deux. C'est une danse basée sur l'improvisation. Son rythme est caractérisé par une pulsation irrégulière et est marquée

nommé « Louis and the good book ». → Explication du titre de l'album : Good book=bon livre=bible 2) Instrumentale L'instrumentation de ce gospel est typique du jazz, la section rythmique est mise en valeur avec la batterie, la guitare et la contrebasse, jouée en pizzicato, c'est très souvent le cas en jazz. Le piano lui, joue le rôle d'improvisation, qui est un rôle indispensable dans ce genre de musique. Il y a aussi un orgue, pendant les couplets, il sert à nous rappeler que ce chant est un

Contrairement à la première chanson, « Roll Over Beethoven » reflète parfaitement le rock’n roll. En effet , on remarque que le groupe est composé d’un piano, d’une contrebasse, d’une batterie, et de deux guitares électriques. Chuck Berry joue la mélodie avec sa guitare tandis que l’autre guitariste joue la walking bass avec la contrebasse. Le pianiste joue un accompagnement. On perçoit parfaitement que le batteur fait le rythme binaire qui nous donne envi de swinger et qu’il met des accents sur les

par un quintette , une petite formation composée d’un saxophone alto (Charlie Parker), d’une trompette (Miles Davis), d’une contrebasse (Tommy Potter), d’une batterie (Max Roach), et d’un piano (Bud Powell). Ce sont tous de grands noms du jazz. L’œuvre est composée d’une partie A (thème de 34 mesures) où la trompette et le saxophone jouent à l’unisson tandis qu’une contrebasse marque tous les temps (walking bass). La batterie joue le chabada et le piano des accords tendus (9ème-11ème-5te dim) en syncopes

mots : Patrick Süskind est né en 1949 à Ambach, en Bavière. Il étudie l'histoire et la littérature à Munich et à Aix en Provence. Il travaille ensuite comme scénariste pour la télévision. Il écrit une pièce de théâtre à un personnage : La Contrebasse, qui sera jouée pour la première fois à Munich en 1981. Elle sera publiée en 1984. Cette pièce est jouée régulièrement depuis sa création en Allemagne et a été jouée à Paris avec Jacques Villeret, dans le rôle titre . Le Parfum ;(1986) est son

Dizzy Gillespie, Charlie Parker et Thelonious Monk vont expérimenter cette nouvelle musique qui se base sur: Un tempo très rapide sur lequel peu de musiciens swing peuvent improviser, une formation de musiciens bien souvent limitée à un batterie, contrebasse, piano et quelques instruments à vent comme trompette et saxophone. De plus, le jeu de chaque musicien séparément change totalement de ce qu'on pouvait entendre avant. Le pianiste abandonne le jeu lourd et rythmique de la main gauche qui caractérisait

que Phillips ait souligné « une très grande mémoire des chansons malgré que sa voix ne soit pas souvent juste ainsi qu'un rythme assez particulier ». En 1954, il demande à Scotty Moore et Bill Black, jouant respectivement de la guitare et de la contrebasse de venir soutenir Elvis musicalement. Aucun des deux musiciens n'est vraiment impressionné par Elvis et Phillips, quant à lui, est très déçu, et au moment où il allait fermer le studio, Elvis à commencer à chanter les paroles de « That's All Right