Contrefort

pour les deux premières l’escalier en colimaçon menant à la tribune et, pour la troisième, la tribune elle-même. Au dessus d’un soubassement continu jusqu’au contrefort de l’abside, le rez-de-chaussée se compose de piliers assez trapus, qui encadrent des fenêtres légèrement cintrées dans leur partie supérieure. Dans leur continuité, le contrefort de la nef présente à ce niveau une surface rectangulaire plane. Le chevet reprend l’alternance des piliers et des fenêtres. Le bel étage est rythmé par des

d'arêtes (deux voûtes qui se croisent), par ses coupoles et par la construction de contreforts. Système hérité des basiliques antiques, les lourdes voûtes en pierre sont renforcées par des arcs-doubleaux s'appuyant sur des chapiteaux. Qui sont à lors tours, soutenus par des colonnes puis par des murs épais, peu élevés, percés de petites fenêtres et renforcés par des contreforts extérieurs. Ces immenses contreforts sont directement appliqués sur l'église pour renforcer et soutenir la structure. Les

aux contreforts et aux arcs boutants, à l’extérieur, la croisée d’ogives neutralise les poussées *arc formeret = lorsqu’une voûte repose sur une croisée d’ogives sa retombée est soutenue à sa rencontre avec le mur goutterot par l’arc formeret qui est parallèle à ce mur. L’arc formeret est le contraire de l’arc doubleau qui est bandé transversalement à l’axe du vaisseau. En somme la voûte à croisée d’ogives possède nécessairement : doubleaux, arcs ogives et formerets. * Le contrefort : déjà

…………………………… Arc …………………………… 8/ Écris sous chaque illustration si elle appartient à l’art gothique ou à l’art roman 1 : Nef 2 : Bas-Côtés 3 : Tribune 4 : Triforium 5 : Voûte en berceau 6 : Voûte en demi-berceau 7 : Voûte d'ogive 8 : Contrefort étayant la base du mur 9 : Arc-boutant 10 : Culée d'arc-boutant 11 : Pinacle équilibrant la culée 12 : Fenêtre haute Art …………………………… Art …………………………… LFK – CM1/A – 2013-2014 – Mme Houria – Histoire des arts - 

d'un arc en maçonnerie qui contre-bute la poussée latérale des voûtes en croisées d'ogives et les achemine vers le pilier de culée. Il reprend la fonction des contreforts de l'architecture romaine ; puis, l’arc brisé dont la courbe inférieure est formée à partir de deux demis-arcs symétriques qui s'appuient l'un sur l'autre ; la culée: contrefort élevé et massif qui redirige les poussées des arcs boutants vers le sol ; le pinacle - un petit clocheton en plomb de forme pyramidale de base polygonale (ou

selon les modèles peut être d'ornement. Perforation : Un trou fait avec une mèche dans cuir est prévu pour passer le lacet et aussi fermer la tige avant montage Laçage : Le laçage avant montage sert à bien fermer la tige Le montage Insertion du contrefort (morceau de cuit renforçant l’arrière d’une chaussure) Il est placé à l'arrière de la chaussure entre la peausserie et la doublure, il maintient bien en place le talon, et garde l'aspect d'une belle chaussure. Pose bout dur: Il est placé entre

petit mur plein ou claire-voie Gable Surface dcorative pyramide ou mur lger de mme forme, rampants moulurs, qui couronne certains arcs (portails gothiques, etc.). Pinacle Dans larchitecture gothique, amortissement pyramidal, de forme lance, des contreforts et des cules darcs-boutants. (Fonctionnel par son poids, trs orn partir du XIIIes. il devient motif dcoratif, traduit en menuiserie et en orfvrerie.) Fleuron Ornement isol, fait dun motif floral (fleur, feuille) tag et stylis, dcorant le sommet

églises face au feu. Les constructeurs optent pour un plan en croix latine et la voûte plein cintre. Le poids du toit conduit à utiliser, pour des problèmes de solidité, à d'énormes piliers, des murs épais avec peu d'ouverture et à l'extérieur des contreforts pour épauler la nef. A la fin du XIème siècle, le développement des grands pèlerinages, lié au culte des reliques, amène le clergé à concevoir de vastes édifices adaptés aux foules qu'ils reçoivent et à construire des déambulatoires. Parallèlement

architecture, ce sont des copies. Ces moulages ont été réalisés dans le but d’avoir un modèle pour pouvoir les restaurer. 2° Les principales caractéristiques de la voûte romane sont que le poids de la voûte repose sur des murs épais renforcé par des contreforts (elle peut donc être haute et donc avoir plus de fenêtres donc plus de lumière) et qu’elle n’a plus besoin d’être portée par des piliers. II. A. 1° 2° Les statues du portail Sainte Anne sont du style gothique. 3° L’art gothique est caractérisé

peut trouver dans des vitraux contemporains de ceux de la verrière. Au niveau de la structure, le maître d’ouvrage n’a pas utilisé d’arcs-boutants, mais de puissants contreforts. Ils font partie des éléments qui permettent de supporter les poussées des arcs brisés et ainsi permettre l’équilibre de l’édifice. De plus ces contreforts très massiques sont disposés vers l’extérieur pour libérer de l’espace intérieur. Sur le plan technique, grâce à la pierre armée composée d’importante armature métallique