Convention des Nations unies sur la lutte contre la désertification

Annexe 14 Aperçu du pays Matrice des donateurs Résumé analytique du profil environnemental du Gabon Profil des migrations du Gabon Processus d’élaboration du DSP Feuille de route pour l’harmonisation Situation du Gabon au regard des principales conventions internationales Analyse de la viabilité de la dette Liste des engagements du gouvernement en matière de gouvernance Tableau des indicateurs macroéconomiques Tableau des indicateurs pour les OMD Carte du pays Chronologie et agenda politiques abrégés

inégalités socio-économiques, la définition des bénéficiaires passera par le critère de leur situation socio-économique. Il y a donc deux formes de discrimination positive à ne pas confondre. I/ La « discrimination positive » comme instrument de lutte contre les pratiques racistes et sexistes La « discrimination positive » est un problème propre aux « sociétés polyethniques »      Le problème de la discrimination positive se pose aujourd’hui de manière accrue parce que nous vivons dans des sociétés

Sceaux entend donc concrétiser ce qu’il avait promis lors de sa prise de fonction. La remise de cette liste des fautifs (qui n’a pas été divulguée) marque le début de la première concrétisation des mesures prises par le Ministre de tutelle pour lutter contre la corruption au Mali. Selon toute vraisemblance donc, des têtes risquent de  tomber, après celles de l’ancien Ministre de l’Artisanat et du Tourisme, N’Diaye Bah et du Directeur des marchés publics.  Une véritable foire d’empoignes ! Aujourd’hui

HUMAIN 82 84 85 85 86 87 89 3.3.4. RENDRE LA GOUVERNANCE LOCALE PLUS EFFICACE 3.3.5. OFFRIR UN CADRE DE VIE SAIN AUX GÉNÉRATIONS ACTUELLES ET FUTURES 3.4. LA LUTTE CONTRE LES INACCEPTABLES 3.4.1. ACCÉLÉRER LES PROCESSUS DE LUTTE CONTRE L’ANALPHABÉTISME DES JEUNES ET DE GÉNÉRALISATION DE L’ENSEIGNEMENT DE BASE 3.4.2. LUTTER CONTRE LA PAUVRETÉ ABSOLUE ET L’EXCLUSION 3.4.3. GÉNÉRALISER L’ACCÈS AUX SERVICES SOCIAUX DE BASE 3.4.4. ELARGIR LA COUVERTURE SANITAIRE 3.4.5. ASSURER LA PROTECTION ET L’INCLUSION

durable implique que l’on porte l’attention sur des considérations plus générales que la croissance économique et le bien-être matériel. Le concept englobe des préoccupations d’équité et de cohésion sociale, ainsi que la nécessité de parer aux menaces contre les biens communs de l’humanité. Il met l’accent sur les liens entre les dimensions de la durabilité et sur l’obligation d’assurer un équilibre entre elles en cas de conflit."[5] Mais au-delà des objectifs, la méthode proposée pour réorienter le

ressources naturelles). Cette notion est devenue avec la notion de développement durable une préoccupation majeure non seulement des pays riches mais aussi des pays sous développés. Cette question a notamment été relancée par la conférence des nations unies sur l’environnement, conférence de Rio de 1992. L’environnement c’est l’ensemble des facteurs qui influent sur le milieu dans lequel l’homme vit. Cette notion doit être complétée également par plusieurs autres notions. Malgré tout, chacune de

.................... 57 a. b. c. 2- Les acteurs du renforcement des capacités africaines .................................... 57 Le partenariat avec l’Union européenne ......................................................... 60 Le rôle des Nations unies dans l’évolution du système de sécurité collective . 64 L’Architecture africaine de paix et de sécurité ................................................ 69 a. L’Union africaine .................................................................

d’une industrie et de sociétés de services nationales. ! ! Participer à l’effort national de préservation des ressources naturelles et de protection de l’environnement visant notamment la réduction des émissions de gaz à effet de serre, la lutte contre la déforestation et la sécurité d’approvisionnement en eau (en quantité et en qualité). ! Renforcer les capacités du CDER, tant au niveau de son efficacité interne, qu’à l’échelle de son rôle de stimulateur du secteur privé national en lui

l'objet primordial du Plan National d'Action pour l'environnement. Lors du lancement de son processus d'élaboration, en février 1995, le défi majeur était d'adopter une démarche qui puisse concourir à réaliser un large consensus de l'ensemble de la nation sur l'état et le devenir de son environnement. Pari gagné. Cet exercice s'est, en effet, fondé sur la mobilisation des différents segments de notre société et de toutes les structures organisationnelles qui participent, à des degrés divers, à façonner

Immobiliers PARTENAIRES INTERNATIONAUX > Agence de l’Environnement et de la Maîtrise de l’Energie (ADEME) > Centre Scientifique et Technique du Bâtiment (CSTB) > Agence Française de Développement (AFD) BAILLEURS DE FONDS > Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD) > Fonds pour l’Environnement Mondial (FEM) > Fonds Français pour l’Environnement Mondial (FFEM) La mise en place de la réglementation thermique et énergétique en Tunisie 25 © Eric Thauvin /AFD © Eric Thauvin