Coquelicot

rfectoire. ( b Il fait fondre le mur de glace en allumant un feu. ( c Il descend le long dune gouttire. ( d Il utilise le plan des souterrains remis par son grand-pre. 29. Quand Camilia trouve Morgane, quelle fleur dessine-t-elle ( a Elle dessine un coquelicot. ( b Elle dessine une rose. ( c Elle dessine un bouton dor. ( d Elle dessine un bleuet. 30. O se trouve la Porte du Samain ( a Elle se trouve sous la pierre de la chapelle en ruine. ( b Elle se trouve derrire la lucarne du grenier. ( c Elle

passage proposé constitue justement la dernière page du roman. 1 Le soleil baissait vers l'horizon, inondant de clarté les plaines verdoyantes, tachées de place en place par l'or des colzas en fleur, et par le sang des coquelicots. Une quiétude1 infinie planait sur la terre tranquille où germaient les sèves. La carriole allait grand train, le paysan claquant de la langue pour 5 exciter son cheval. Et Jeanne regardait droit devant elle en l'air, dans

pronoms ; 3 1. Le vocabulaire exercices. du portrait : quelques Complète les expressions suivantes à l’aide des mots ci-dessous. un clou – un œuf – un paon – un renard – un ver– une carpe– une pie – une taupe – une tortue - un coquelicot - un pou Muet comme ………………………….. Lent comme …………………………... Fier comme …………………………… Bavard comme ………………………... Rusé comme …………………………... Nu comme …………………………….. Chauve comme ……………………….. Myope comme ………………………… Maigre comme ………………………… Laid comme……………………………

« termites de l’est », les deuxièmes ennemies des fourmis rousses, elles sont tuées pour s’être approchées du bout du monde (une route pour nous), les gardiens (les hommes) les ayant remarqué et les auraient tuées avec de l’insecticide ; le champ des coquelicots, c’est ici que s’est déroulée la plus grande bataille opposant les fourmis rousses et les fourmis naines. * * * b) chez les hommes : la cave : presqu’un mythe narratif, cette cave est décrite comme la mort ou encore comme une

elle se décida à sortir. Étaient-ce la même campagne, la même herbe, les mêmes arbres qu’au mois de mai ? Qu’étaient donc devenues la gaieté ensoleillée des feuilles, et la poésie verte du gazon où flambaient les pissenlits, où saignaient les coquelicots, où rayonnaient les marguerites, où frétillaient, comme au bout de fils invisibles, les fantasques papillons jaunes ? Et cette griserie de l’air chargé de vie, d’arômes, d’atomes fécondants n’existait plus. Les avenues détrempées par les continuelles

jouets pour petits garçons. C’est donc une nostalgie et une peur de la maturité qui s’installent chez Baudelaire. Le premier tercet lance une nouvelle saison. « Les fleurs nouvelles » représentent les pissenlits, les marguerites ou encore les coquelicots qui entament doucement le printemps. A cette période de l’année, les arbres bourgeonnent et la nature renaît. La proposition « et qui sait » montre un espoir du poète. Il espère alors que son inspiration revienne durant ce moment, tout comme la

visage de ferNée de leur sang de fusillés Octobre, Pierre Seghers, 1941 Le faucheur Voilà, c’est fait. Une fois de plus, la claire campagne A nourri l’instrument du faucheur. Tout est silence, Le chaume au repos Est couvert de coquelicots rouge sang. « Où sont mes fils? », la mère pleure, « Des gamins encore, déjà disparus. » « Morts, morts », soupire le faucheur, « Comme le blé à la fauche descendus. » Et donc une fois de plus La semence de la vie est répandue Dans

en Amérique du Sud, principalement au Pérou, en Colombie et en Bolivie. Pour l’expédier en Europe, on la fait transiter par l’Afrique. Héroïne: L’héroïne est un dérivé chimique de l’opium, qui provient du pavot, une plante qui ressemble au coquelicot. L’héroïne est une poudre de couleur brune qui peut être sniffée, inhalée, fumée ou injectée par voie intraveineuse après dilution. On la connait aussi sous le nom de morphine dans le milieu de la médecine. Les effets directs ressentis (et recherchés)

didactiques de la peinture d'une réalité « artistique » et subjective, fruit d'un univers singulier : le sursaut final d'espoir de l'héroïne, Jeanne, est précédé d'une description pittoresque du paysage, avec « l'or des colzas en fleur » et « le sang des coquelicots ». Certes, nous prenons acte de la leçon finale, exprimée par la servante de Jeanne : « La vie, […] ça n'est jamais si bon ni si mauvais qu'on croit. » Toutefois, nous gardons aussi en mémoire la poésie singulière du récit, tant il est vrai que

Saint-Rémy en 1889, sa palette perd de ses couleurs, et le peintre revient aux tons ocre. Les paysages étaient différent de ceux d'Arles, où il vivait avant d'aller à Saint-Rémy. Il y peint "Colline à Saint-Rémy", "Les Iris", ou encore "Champs aux coquelicots". Les touches de couleurs deviennent tourbillonnantes, courbes, orageuses. C'est dans l'asile de Saint-Rémy qu'il réalisera le célèbre tableau "La nuit étoilée", un paysage nocturne qui est comme hallucinée avec cette grande lune et ces étoiles