Corrigée Les Productions Immatérielles

L’annexe Les autres documents d’information (normes PCG) Les autres documents d’information (normes IFRS) 143 143 149 157 4 La dynamique des flux et l’autofinancement Les soldes intermédiaires de gestion 1 2 3 4 5 6 7 La marge commerciale La production La valeur ajoutée L’excédent brut d’exploitation Le résultat d’exploitation Le résultat courant Le résultat exceptionnel 164 165 165 166 167 168 169 170 171 175 175 176 182 183 185 Section 1 Section 2 L’autofinancement 1 2 L’autofinancement

partie grâce aux travaux du Boston Consulting Group autour de l’effet d’expérience qui montre que pour un certain nombre de produits « les coûts de valeur ajoutée baissent d’environ 20 à 30 % en termes réels à chaque fois que la production cumulée (ou expérience de production) double »1. L’avantage par les coûts I- Une firme dispose d’un avantage par les coûts si le cumul des coûts associés à toutes les activités créatrices de valeur qu’elle exerce est inférieur au coût de ses concurrents. La valeur

s’agit des : - frais d’établissements, - charges à répartir sur plusieurs exercices, - primes de remboursement des obligations… Les immobilisations incorporelles : On entend par « immobilisations incorporelles » les immobilisations non immatérielles c’est-à-dire non palpables ; parmi ces immobilisations, on peut citer principalement : - les frais de recherche et développement - le fonds commercial - les investissements et droits similaires, - brevets, licences, marques, - Autres immobilisations

diversité des activités, puis face à l’incertitude et à l’instabilité. Et enfin leur adaptation à la complexité. o L’auteur fait, dans un second temps, le recensement des activités hétérogènes et de leurs coexistences. Il présente ainsi la production répétitive de biens matériels banalisés, la prestation de services, les activités non-répétitives et, enfin, l’innovation. o L’auteur considère qu’apparaît l’émergence d’une conception dynamique des structures. o Sa démonstration

Si on comprend bien la rupture entre mercantilistes et classiques, les choses sont plus ambiguës avec l'approche marginaliste. Le schéma de base du marginalisme est en fait un modèle d'échange pur qui n'a rien a voir avec le phénomène de production. La production est une forme particulière d'échange. Le problème que les auteurs marginalistes cherchent à résoudre c'est le pb de l'utilisation optimal à travers l'échange d'une certaine dotation initial des ressources. De manière paradoxal cette approche

2 Les autres documents d’information (normes PCG) 3 Les autres documents d’information (normes IFRS) 143 149 157 Section 2 Section 3 164 Les soldes intermédiaires de gestion 165 1 La marge commerciale 2 La production 3 La valeur ajoutée 4 L’excédent brut d’exploitation 165 166 167 168 169 170 171 5 Le résultat d’exploitation 6 Le résultat courant 7 Le résultat exceptionnel L’autofinancement 175 1 L’autofinancement

détectés, etc,) ; - que l’organisation permet aux parties concernées d’optimiser au mieux la gestion des pièces de rechange. CHAPITRE II : UN SERVICE D’AUDIT : CHAMP D’APPLICATION ORGANISATION, PLACE ET PRODUCTIONS ATTENDUES Section 1 : Les trois niveaux d’audit En 1965 R.N Antony a procédé au découpage du processus de fonctionnement de la grande entreprise en trois niveaux qui sont les suivantes : - la stratégie ;

remercier les membres du groupe de travail ministériel, les membres des équipes chargés d’effectuer les tests dans les deux ministères mentionnés ci-dessus, le personnel du SRIDAI et toutes les personnes qui, de près ou de loin, ont contribué à la production de ce document. 2 Table des matières 1. Contexte .............................................................................................................................. 4 2. Portée du document .........................................

un pilotage des coûts de revient et du prix de vente du produit, ainsi que du chiffres d’affaires espéré associé à ce produit : volume de vente prévisionnel des ventes détermination des coûts fixes et des coûts variables comme la conception, la production, après-vente, ensuite il y a aussi seuil de la rentabilité … Le pilotage économique a donc pour objectif de maîtriser la profitabilité et la rentabilité du produit. Le chef de projet, ou le chef de produit est responsable du bénéfice réalisé compte

politique Conclusion 7 de de de de produit prix distribution communication Qui sont les concurrents ? Leur nombre, leur taille, leur nom, …; Quels sont les plus puissants ? En termes de CA, de part de marché, de capacité de production, … ; Quels sont les plus directs ? En termes de produits, de proximité ; Quels sont leurs objectifs ? De croissance, de part de marché, … ; Quelles sont leurs forces et leurs faiblesses ? Quelles sont leurs cibles marketing ? Quel est leur