Cortex prémoteur

périphérique. Il faut que vous sachiez qu’au niveau de la rétine, des cellules spécialisées dans la réception du message lumineux et appelées photorécepteurs transmettent celui-ci via les voies nerveuses visuelles, à des aires spécialisées situées dans le cortex visuel. Le traitement de cette information permet alors d’avoir une perception visuelle de ce qui nous entoure. L’observation de la répartition de ces photorécepteurs au niveau de la rétine montre qu’il en existe deux types : les cônes situés au

moyens les + appropriés pour atteindre le but attendu La planification Permet l'agencement et l'ordonnance temporel en terme de priorité des différentes étapes nécessaires à la mise en place de la stratégies Place clé dans le contrôle exercé par le cortex préfrontal (Shallice) Déduction de règle Comprendre une règle logique et l'appliquer Analyse d'informations à classer, activité de synthèse pour prendre en compte un ens de sonnées (Luria, 1966) La flexibilité mentale Nécessaire pour l'adaptation

centrale (fovéa) / rétine périphérique - neurones, photorécepteurs, cônes, bâtonnets, message nerveux, fibres nerveuses - pigments rétiniens, protéine, gène, ADN - voies visuelles, nerf optique, chiasma optique, relais optique, cortex visuel, lobe occipital - cortex visuel primaire, aire visuelle spécialisée, aire cérébrale, plasticité Connaissances à maîtriser : - les conditions de visibilité d’un objet : on ne peut voir un objet que quand il émet de la lumière ou quand il est éclairé, donc

2 et constituent la partie supérieure de l’encéphale. Ils sont séparés par la fissure longitudinale du cerveau et la fissure transverse du cerveau les sépare du cervelet. Chaque hémisphère est constitué de 3 zones, visibles en coupe frontale : Cortex cérébral (=substance grise), noyaux basaux = noyaux gris centraux, substance blanche Quel que soit l’individu, l’un des deux hémisphères est toujours dominant et l’autre mineur : -Chez les droitiers, l’hémisphère gauche est dominant -Chez les

activés. III - Les rats et l’être humain ont des zones en commun situés dans le cerveau. En effet ils possèdent tous les deux l’hypothalamus, l’hippocampe et l’amygdale mais également le cortex préfrontal impliqués dans le raisonnement et les décisions. D’après le document 5 le cortex préfrontal est plus développé chez l’espèce humaine que chez les animaux. Chez les deux espèces ont a évidemment le système de récompense mais manié de manière différente. En effet l’homme plus apte à

cellules photoréceptrices. -Les 2 nerfs optiques des 2 yeux vont acheminer le message nerveux produit au niveau de la rétine jusqu'au centre nerveux de la vision que l'on appelle le cortex visuel primaire . Il y a une sorte d’inversion puisque le cortex visuel gauche va accueillir le nerf optique droit, et le cortex visuel droit va accueillir le nerf optique gauche. -Il existe deux parties de nerfs optiques ( gauche et droite ) qui se croisent au niveau de ce qu'on appelle le chiasma optique.

ophtalmologiques qui vont étudier son champ visuel et son fond d’œil, puis des tests à l’électrorétinogramme qui vont enregistrer l’activité électrique de sa rétine et la comparer à celle d’un patient normal et un examen de son cortex cérébral, qui va enregistrer l’activité de son cortex visuel après une stimulation visuel et le comparer aussi avec celui d’un patient normal. Comment ces examens cliniques permettent-ils d’établir la cause du trouble visuel qui affecte le patient D. ? Tout d’abord, les examens

CHAPITRE 16­   LE CORTEX SENSORIEL ET LA PLASTICITÉ DU SYSTÈME NERVEUX CENTRAL    Malgré la mise en place d’un plan d’organisation du système nerveux commun à tous les vertébrés (2nd)  et le contrôle génétique du développement du réseau neuronique, chaque individu ne perçoit pas son  environnement de la même façon.  L’apprentissage topographique d’un labyrinthe digital montre que :  Tous les expérimentateurs ont construit une carte mentale du labyrinthe au cours des 5 essais de  l’apprentissage. 

le  comportement.  Il  traite  les  émotions  comme  la  peur,  le  plaisir,  l’agressivité  et  intervient  également  dans  la  formation  de  la  mémoire.  Le  système  limbique  est  composé  de  plusieurs  structures  telles que le thalamus, le cortex cérébrale,  l’amygdale, l’hippocampe et l’hypothalamus.    Tout  d’abord,  un  élément  venant  de  l’extérieur,  le  stimulus,  est  capté  par  nos  organes  sensitifs  où  il  est  traduit  en  message  électrique.  Ce  message  qui  peut  être 

développement des circuits nerveux des individus, à sa maturation cérébrale au cours des tous premiers mois de la vie. Les caractéristiques neurophysiologiques de l’état de rêve sont une intense activité neuronale de tout le cerveau, en particulier du cortex cérébral d’une part, et une paralysie motrice et sensorielle d’autre part. Pendant le rêve nous sommes aveugles, sourds, muets, le tonus musculaire est aboli, les mouvements oculaires rapides, le visage expressif.