Corto Maltese

les Arts libéraux, la lettre G et l’étoile flamboyante Nous sommes au mois d’août, dans l’avion qui nous emmène à Venise, cité oh combien symbolique pour les maçons à travers des personnages aussi illustres que Casanova ou bien Corto Maltese. Je m’interroge encore sur la manière d’entamer mon travail sur les sept Arts libéraux. Mais j’en suis sûr, l’inspiration viendra bientôt, en tout cas, c’est ce que je me suis dit il y a deux mois d’ici. Dominique est rapidement tombée amoureuse de cette cité

Mœbius, tandis que le revendication de la paternité littéraire, de plus en plus patente, explose à la fin de la décennie avec le succès du terme « roman graphique » de Will Eisner ou le concept des « romans en bande dessinée » lancé pour promouvoir Corto Maltese d'Hugo Pratt. Si les séries classiques de divertissement dominent toujours les marchés à la fin des années 2000, la bande dessinée a exploré depuis les années 1980 tous les champs abordés par les autres arts narratifs, et s'est vue de plus en

rendra jamais le charme des petites rues tortueuses ou la quiétude des quartiers populaires. Venise s'est toujours avancée masquée. Nombre de fois je me suis perdue dans ses quartiers excentrés où l’on se découvre comme compagnons imaginaires Corto Maltese ou le commissaire Brunetti, les héros de papier d'Hugo Pratt et de Donna Leon, qui aident à mieux comprendre leur ville, ses cours secrètes, ses palais oubliés, ses ruelles cachées. Venir même en hiver, quand il fait gris et froid. L'ambiance

qu’une  très  grande partie des bandes  dessinées  lues  étaient des albums traditionnels ayant marqué des générations. Ainsi  selon  l’enquête du DEPS, 74% de la population connaîtrait ​ Les Pieds Nickelés ; 72%  Blake  et  Mortimer  et  51%  ​ Corto  Maltese​ .  De  plus,  la  parution  du  dernier  tome  d’​ Astérix  en  2013  aurait  fait  monter  de  1,4%  les  ventes  du  secteur  des  bandes  dessinées,  alors  que  sa  création remonte  à  1959.  De plus, les  albums traditionnels  sont  lus 

contre M.Kadhafi (42 ans au pouvoir) | | 40 ans du 1000 bornes | | Maître Capelo est mort → émissions TV 60's et 70's → dictionnaire vivant | | Décès d'Elisabeth Taylor à 79 ans → Cléopâtre au cinéma | | Corto Maltese (BD), créé par H.Pratt → exposition pinacothèque de Paris | | 50 ans de la rencontre entre Barbie et Ken | | Mayotte devient le 101 département suite au réferendum de 2009 | | L'Angleterre gagne le tournoi des VI

Hermann, Maurice Tillieux auteur de Jess Long, Jean-Michel Charlier auteur de Marc Dacier, Harvey Kurtzman auteur de Little Annie Fanny ou encore Burne Hogarth créateur de Tarzan. Pour l'occasion, Hugo Pratt dessinateur italien et auteur de Corto Maltese accepte que l'un de ses dessins issu de cette même bande dessinée soit utilisé pour l'affiche officielle du festival. De même, Alain Saint-Ogan créateur de la bande dessinée Zig et Puce donne son accord pour que son personnage Alfred un pingouin

plus grand malheur ? De perdre goût à la vie. Ce que je voudrais être : Ce que je suis maintenant Le pays où je désirerais vivre : Le Pays Basque La couleur que je préfère : Le noir La fleur que j’aime : Une rose pâle Mes héros dans la fiction : Corto Maltese Mes héroïnes favorites dans la fiction : Mulan Mes héros dans la vie réelle :John Lennon, Bob Marley Mes mots favoris : Journée ensoleillée Ce que je déteste par-dessus tout : Ma génération Personnages historiques que je méprise le plus : Il y

Eau sauvage est devenu l'un des grands classiques du marché en France puisqu'il est le deuxième parfum le plus vendu3. Pour promouvoir le parfum, Christian Dior a fait appel ces dernières années aux personnages de bande dessinée Largo Winch ou Corto Maltese et à des stars comme Zinedine Zidane, Johnny Hallyday ou Alain Delon, avec comme slogan « Méfiez-vous de l'eau qui dort ou l’eternel masculin ». Il est partout: en presse quotidienne, dans les magazines, en affichages 4 x 3 et abribus et

paradoxalement c’est son côté sombre qui les a inspirés. Thomas Mann voit dans ses gondoles des « corbillards flottants ». Quant à Hugo Pratt, il se souvient, au fur et à mesure de ses albums en noir et blanc, dont le héros est Corto Maltese, de ce quartier du Ghetto le Corte dei Maltese qu’il fréquentait étant enfant et où la « couleur semblait perdre ses droits » comme le fait remarquer Alain Buisine (Histoire des couleurs, p. 113). Là aussi, la mélancolie, qui n’est pas le signe de Venise, prend source

important réuni à ce jour — dont certaines sont remarquables : celles, notamment, de Pierre Gandon, marquées par une influence cubiste (p. 25, 95, 117) ou de Serge de Solomko (p. 24, 86, 87, 100) ; son portrait d’Adolphe, en frère lointain de Corto Maltese, mais dont les tourments se lisent dans le croisement torturé des mains (p. 65), est particulièrement parlant.Un roman personnel au prisme de l’idéologie11Cet ouvrage ne visait pas à donner un panorama exhaustif de la postérité d’Adolphe, ni à