Coucou gris

qu'identiques à première vue, chaque toile monochrome grise était spécifique et différente. Les coups de pinceau, la lumière, le mélange, l'aplat, chaque variation, aussi subtile soit elle, entraîne des conséquences plastiques. Ces recherches sur le gris trouveront leur apogée dans l'admirable série des "Grau" (1974). En affrontant côte à côte la figuration et l'abstraction, Richter réfléchit aux principes de la peinture, mais aussi à ses limites et à ses possibilités. Quel est le rôle de la toile

tellement serrée dans un châle écossais à carreaux rouges, qu'on l'eût crue privée de bras si on n'avait vu une longue main paraître à la hauteur des hanches, tenant une ombrelle blanche de touriste. Sa figure de momie, encadrée de boudins de cheveux gris roulés, qui sautillaient à chacun de ses pas, me fit penser, je ne sais pourquoi, à un hareng saur qui aurait porté des papillotes. Elle passa devant moi vivement, en baissant les yeux, et s'enfonça dans la chaumière.     Cette singulière apparition

au dos et aux coudes, était boutonnée jusqu’au menton, probablement pour cacher un gilet encore râpé. Il s’avança vers l’Anglais, et, d’un ton très humble : « Uncle !… lui dit-il. — Leave me alone you wretch ! » s’écria l’Anglais, dont l’œil gris s’alluma d’un éclat de colère. Et il fit un pas pour sortir de la station. « Don’t drive me to despair, reprit l’autre avec un accent à la fois lamentable et presque menaçant. — Veuillez être assez bon pour garder mon sac un instant, » dit

2009/2010 | mini cas | ANALYSE STRATEGIQUE DES PRODUITS SONY | Gamme appareil photo numériques L1 : Compact et intelligents L2 : élégants et raffinés L3 : totale liberté de création * V1 : gris -V1 : 12,1 méga pixels - V1 : 9,1 MP * V2 : Noir - V2 : 10,2 méga pixels -

saturée. Cette bande est délimitée par un jaune d’une clarté faible mais d’une saturation bien visible. Il y a une équivalence des proportions de la masse blanche et de la noire. Cependant, les ombres, dues aux éclairages, au centre de l’image sont d’un gris sombre. Ainsi on peut dire que malgré le fort contraste du noir et du blanc (du à la clarté), il y a une légère gradation. Mais on peut aussi observer que la masse au centre (de couleur beige) se superpose aux autres (masses blanche et noire), et ainsi

à gauche,vers la jeune femme et son bébé.On ne distingue pas son visage mais le foulard sur sa tête nous indique son sexe.Ensuite, on identifie cinq enfants qui semblent avoir entre 4 à 6 ans. L'un, plus âgé que les autres, porte un gilet à capuche gris couvrant sa tête.Il se situe à gauche de la photo et regarde l'objectif. Cet enfant est le seul à effectuer un mouvement en bougeant sa main.D'ailleurs, cette dernière est floue. Le reste de la photo est statique.C'était comme si la scène était restée

de papier bleuâtre, des faisceaux d’aiguilles à tricoter, des modèles de tapisserie, des bobines de ruban, un entassement d’objets ternes et fanés qui dormaient sans doute en cet endroit depuis cinq ou six ans. Toutes les teintes avaient tourné au gris sale, dans cette armoire que la poussière et l’humidité pourrissaient ». Grace à ces multiples descriptions, nous distinguons sans aucun doute à quel niveau social nous nous trouvons. Une ambiance très pesante, règne au passage du Pont neuf, d’après

voitures qui souhaitent accéder au parking. CHAPITRE 2 : LE MARKETING MIX Le plan du magasin : [pic] CHAPITRE 2 : LE MARKETING MIX Parler des facteurs d’ambiance : Le revêtement du sol est principalement recouvert par du béton lissé (gris foncé). Mais, celui rayon des cuisines équipées est recouvert par du carrelage (beige, texture lignes diagonales) et mais aussi, celui du rayon « bois ». L’éclairage est au néon dans les rayons, dans les bureaux et dans le transit. La radio est

souffleter de leur écume le promontoire envahi du visage. Et comme ces reflets étranges, uniques, que seule l'approche de la tempête où tout va sombrer donne aux roches qui avaient été jusque-là d'une autre couleur, je compris que le gris plombé des joues raides et usées, le gris presque blanc et moutonnant des mèches soulevées, la faible lumière encore départie aux yeux qui voyaient à peine, étaient des teintes non pas irréelles, trop réelles au contraire, mais fantastiques, et empruntées à la palette

l’infinie. Le dessin de Baugin est très précis, les traves sont délicats. La palette est composée de couleurs aléatoires, mais se sont plutôt des tons froids mis à part le rouge du vin, il y a des camaïeux (gris, bleu, beige). Les objets sont plutôt beiges alors que le support est bleu-gris. La touche est très lisse et photographique, il n’y a pas d’aspérité. La peinture à l’huile (inventé par Jan Van Eyck) permet de peindre les détails ainsi que de faire des transparents (Glassie).Le peintre utilise