Coulée verte

l’innocence Le monde entier dépend de tes yeux purs Et tout mon sang coule dans leurs regards. Paul Eluard « La Courbe de tes Yeux » in Capitale de la Douleur, 1895-1952 Ode à la Corse Si agitée et torride en été Et tant de beauté cachée à sonder. Si somptueuse et ambrée en automne Et tes châtaignes braisées qui grésillonnent. Si sereine et attachante l’hiver Et tes sommets de neige recouverts. Si douce, verte et scintillante au printemps Et déjà ton éclat si envoutant

habitants du voisin cimetière. » Dans le poème suivant, celle-ci est mise en scène dans « […] un immense caveau Qui contient plus de morts que la fosse commune. » Dans Spleen LXXVII, la mort est décrite comme étant « […] ce cadavre hébété Où coule au lieu de sang l’eau verte du Léthé. » Et pour finir la mort est présente dans Spleen LXXVIII en effet « […] de longs corbillards, sans tambour ni musique Défilent lentement […] ». La mort est l’image centrale dans les quatre poèmes. Il n’y a pas de progression

de l’automne. Cause de la souffrance suggéré v.10..11 en renvoyanta ux divinité de l’eau, en mal d’amours comme le suggère la prop,sub.rela. =sorte echecToujours la mention du paysage, d’état d’ame en blancheur = absence d’amour de chaleur. Couleur verte v10 surprend mais s’inscrit dans métrique trad. : alexandrin, allitération, en m , comme si apo joue avec trad/modernité. S’agissant de distique il developpe aussi l’idée de lyrisme amoureux puique mention « brame » (cris seduction cerf) --) original

faire la révolution verte qui permettrait de promouvoir un développement économique respectueux de l’environnement (usage très limité des énergies renouvelables, la voiture propre n’existe pas encore).  Non parce que, pour le moment, les progrès techniques servent à pérenniser le modèle de développement économique existant (prospection et exploitation de nouveaux champs pétroliers avec les plates-formes off shore à grande profondeur (c’est une de ces plates-formes qui a coulé au large de la Louisiane)

le sol «terre», et l'eau, il l'appelle «mer». Dieu voit que c'est une bonne chose. 11Dieu dit: «Que la terre produise l'herbe verte, avec toutes sortes de plantes et toutes sortes d'arbres à fruits! Sur la terre, chaque plante aura ses graines. Chaque arbre aura ses fruits, avec des pépins ou un noyau, selon son espèce.» Et cela arrive. 12La terre produit de l'herbe verte avec toutes sortes de plantes et toutes sortes d'arbres. Chaque plante a ses graines selon son espèce. Chaque arbre a ses fruits

Elle vivait dans un monde parfait. L'avenir, il s'ouvrait sous ses pas en jetant au loin les embûches. L'argent, c'est comme l'eau de son bain qui coule sans arrêt. L'amour, elle le recevait comme des cadeaux. Les amis, c'est comme essayer de compter le nombre d'étoiles dans le ciel. Et elle ? Quel adjectif pourrait mieux la définir que "parfaite" ? Ah non. J'ai oublié un petit détail. La perfection n'existe pas en ce monde. Peu importe comment, elle est toujours tachée d'une trace indélébile. Oui

« KRANOK » (influence La Na) On remarque également l’ushnisha et la flamme qui s’élève d’inspiration Sukhothai. Cependant dans l’art de Sukhothai la flamme est coulée en bronze, en même temps que le reste du corps  alors que dans l’art du La Na la flamme est coulée séparément. Dans le cas du Phra Bouddha Sihing la flamme a été coulée séparément ce qui fait dire au spécialistes que cette représentation de Bouddha est « un superbe exemple de la sculpture classique du La Na d’une beauté sereine

On peut remarquer aussi les indications de lumière couleur une étoile vive vers 9 et verte rive vers 10 l’indication spaciale attaché a sa proveunance (« quand d’occidant » vers 9) crée une simétrie av la naissance du jours au inde c’est-à-dire à l’est la rupture sintaxique crée par l’apostrophe au fleuve par le recours au possésife de marque la relation de tendre fammiliarité qui unie le poète a se fleuve qui coule dans son Anjou natale ce cadre aimer sert donc d’écrin à la beauté de la femme aimer

enchanteresse A dans le cou des airs noblement maniérés ; Grande et svelte en marchant comme une chasseresse, Son sourire est tranquille et ses yeux assurés. Si vous alliez, Madame, au vrai pays de gloire, Sur les bords de la Seine ou de la verte Loire, Belle digne d'orner les antiques manoirs, Vous feriez, à l'abri des ombreuses retraites, Germer mille sonnets dans le coeur des poètes, Que vos grands yeux rendraient plus soumis que vos noirs. Charles BAUDELAIRE   (1821-1867)

adhérence : pente ≥ 0%. . Pose en Independence : pente de 0 à 5 %. . Pose en semi-indépendance : pente ≥ 0%. Le revêtement d'étanchéité. . Assurer l'imperméabilité de la toiture-terrasse. . Résister au poinçonnement . Revêtement par asphalte coulé. . Revêtement par membranes à base de bitume modifié par polymères (bitumes élastomères). . Revêtement par membranes préfabriquées à base de polymères (thermoplastiques ou élastomériques). . Revêtement par résine (polyester, polyuréthane, ou mousse