L'olive
Ce sonnet en décasyllabe est un modèle du genre : les deux quatrains formes une unité forte puisqu’il mette en place le décor dans lequel le poète va voir surgir la femme aimer. Cette unité est bien marquer par l’anaphore de « déjà » au début de chaque quatrain, prélude à l’évocation d’un cadre enchanteur et d’un moment privilégié, la naissance des jours.
Les tercets de leur côté introduise une autre unité thématique autours de la figure de la femme : la subordonné de temps « quand d’occident, comme une étoile je vis sortir » (vers 9-10) comme le marque aussi le changement des temps de l’imparfait de description « amassait (vers 1) rougissait (vers 5) » au passé simple « Je vis sortir (vers 10).
Dans ce sizain au rime conventionnel (plate + embrasser) des termes fort sont associé a la femme aimée et contribue à la mettre en valeur : l’adjective vive (vers 10) à l’intérieure d’une comparaison méliorative, le gérondif « en riant (vers 11) » qui montre cette femme tous dans le mouvement en fin le terme aurore qui renvoi à la mythologie de déesse gréco-latine. Tout cela permet de l’idéalisation de la femme aimer.
2. Le décor
Les deux premier quatrains son riche en indication de temps car le poème insiste ici sur l’évolution su temps qui s’écoule et vois naitre le jour. Le premier quatrain évoque ainsi la fin de la nuit au moyen d’une image traditionnel emprunté à la mythologie (voir travaille de recherche) : la nuit et ainsi la déesse montée sur son char précéder de « noirs chevaux).
Les verbes d’actions mis à la rime amassait et chasser donne du dynamisme a la scène tous comme la métaphore filer du berger qui rassemble qui rassemble un grand troupeau d’étoile. Une grande ambiance de clair-obscur un peu mystérieuse : « la nui » et « ses noirs chevaux » forme un contraste avec la faible lumière des étoile.
Le deuxième quatrain au contraire marque la production du temps avec la naissance de la lumière et des couleurs : « …