Couple Thénardier

bonté lui vaudra finalement d’être nommé maire le l’agglomération sous le pseudonyme de Monsieur Madeleine. Durant ces années passées à Montreuil, Jean Valjean fait la rencontre de Fantine, une fille publique qui se prostitue pour pouvoir payer Thénardier, un aubergiste a qui elle a confié sa fille, Cosette, quelques années auparavant en échange d’une rente mensuelle exorbitante. M. Madeleine se prends d’affection pour la jeune femme. Un jour que celle-ci est mourante, atteinte d’une maladie grave

lesquelles elle travaille en une journée. Celui-ci est clairement énorme : elle passe plus de la moitié de sa journée à coudre. De plus, elle est sous payée. Elle a un grand besoin d’argent pour rembourser ses dettes et envoyer de l’argent aux Thénardier pour sa fille, c’est pourquoi elle travaille le maximum qu’elle puisse mais son salaire diminue « mais un entrepreneur du travail […] fit tout à coup baisser […] la journée des ouvrières libres à neuf sous » (lignes 33 – 34 - 35). On peut aussi

sont alors « traitées en mineures pour [nos]biens, punies en majeures pour [nos]fautes ». A travers le personnage de Fantine, Victor Hugo dénonce, dans les Misérables, l’exploitation par un couple d’une femme qui se voit obligée de se prostituer pour payer une prétendue dette. Mais auparavant, les Thénardier ont obligé Fantine à vendre ses dents pour payer la pension de sa fille. Le texte décrit longuement les conditions indignes dans lesquelles ces gens-là ont contraint Fantine de vivre dans une

Paris avec sa petite Cosette de cinq ans pour s'installer à Montreuil sur Mer, afin d'y trouver un travail. En chemin elle rencontre une famille d'aubergistes, les Thénardier qui ont déjà trois petites filles. Fantine leur confie Cosette contre une pension. Cosette qui n'a que cinq ans se retrouve ainsi prise au piège d'un sinistre couple qui ne tarde pas à en faire sa servante. La déchéance Montreuil de 1818 à 1823 Arrivée à Montreuil sur Mer, Fantine découvre une ville devenue prospère grâce

Texte B - Victor Hugo, Les Misérables, 1862. [Dans ce roman, Fantine, modeste couturière à domicile, rencontre de plus en plus de difficultés financières pour nourrir sa fille Cosette, qu’elle a été obligée de confier à un couple de gens malhonnêtes et rusés, les Thénardier. Pour payer les frais d’une maladie inventée par ces derniers, Fantine doit vendre ses cheveux, puis deux dents. C’est ainsi que Marguerite, une collègue de travail, la découvre un matin.] Fantine depuis la veille avait vieilli

Texte B : Victor Hugo, Les Misérables, 1862. [Dans ce roman, Fantine, modeste couturière à domicile, rencontre de plus en plus de difficultés financières pour nourrir sa fille Cosette, qu’elle a été obligée de confier à un couple de gens malhonnêtes et rusés, les Thénardier. Pour payer les frais d’une maladie inventée par ces derniers, Fantine doit vendre ses cheveux, puis deux dents. C’est ainsi que Marguerite, une collègue de travail, la découvre un matin.]      Fantine depuis la veille avait

états d'une conscience tourmentée et irrémédiablement condamnée. C'est encore un roman policier, il peut encore se lire comme une longue poursuite de l'évadé Jean Valjean par la police. Javert dans le rôle de l'enquêteur, le recherche, chez les Thénardier, lorsque les journaux l'informent qu'un homme a enlevé Cosette, se rend sous l'habit d'un mendiant, à la masure Gorbeau, se livre à une course poursuite, dans le dédale des rues de Paris, accompagnés de ses limiers, se fait mouchard, quand il s'infiltre

Dans son roman Les Misérables écrit en 1862, il se bat particulièrement pour une meilleure condition de la femme dans la société en narrant les « aventures » de multiples personnages qui resteront dans les mémoires dont Cosette, Fantine et les Thénardier, couple emblématique de la ruse et de la malhonnêteté humaine. L'extrait que nous abordons est situé au début du roman dans la première partie mais déjà, le titre du chapitre est « La descente ». Nous avons donc affaire à une chute, une un abaissement

  Texte B : Victor HUGO, Les Misérables. Dans ce roman, Fantine, modeste couturière à domicile, rencontre de plus en plus de difficultés financières pour nourrir sa fille Cosette, qu’elle a été obligée de confier à un couple de gens malhonnêtes et rusés, les Thénardier. Pour payer les frais d’une maladie inventée par ces derniers, Fantine doit vendre ses cheveux, puis deux dents. C’est ainsi que Marguerite, une collègue de travail, la découvre un matin . Fantine depuis la veille avait vieilli

générosité de Mgr Myriel à son égard, essaie désormais de faire le bien autour de lui, mais son passé et l’inspecteur Javert le rattrapent malgré lui. Évadé de prison, Jean Valjean sauve la fille de Fantine, la petite Cosette, des griffes des aubergistes Thénardier, et se dissimule avec elle dans un couvent. Quelques années plus tard, le jeune Marius tombe amoureux de Cosette. L’insurrection se prépare. Javert, surpris à espionner, est arrêté, mais Jean Valjean lui sauve la vie. « Déraillé », il se suicide