Couple Thénardier

premier chapitre de Poil de Carotte de Jules Renard (intitulé « Les Poules »). Faites une comparaison de ces deux textes avec celui de Victor Hugo : qu’est-ce qui les rapproche ? Qu’est-ce qui les distingue ? 2) La situation de Cosette chez les Thénardier peut rappeler un schéma que l’on retrouve fréquemment dans les contes populaires, notamment ceux de Perrault ou de Grimm. Choisissez quelques exemples de personnages de contes, afin de montrer les rapprochements que l’on peut établir avec celui

Misérables Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Aller à : Navigation, rechercher Page d'aide sur l'homonymie Pour les articles homonymes, voir Les Misérables (homonymie). Les Misérables Illustration de Les Misérables Cosette chez les Thénardier Auteur Victor Hugo Genre Roman Pays d'origine Drapeau : France France Date de parution 1862 Dessinateur Émile Bayard Chronologie Claude Gueux Claude Gueux Claude Gueux Les Travailleurs de la mer Les Travailleurs de la mer

Lorsque l'auteur crée un personnage => le lecteur peut s'y attacher : touché par ses misères. Cf. la pauvre Fantine qui est réduite à se faire couper les cheveux, puis arracher les dents et enfin se prostituer pour aider sa petite Cosette (les Thénardier sont des escrocs en plus => encore plus pathétique).               B- Le roman témoin de l'époque * Au xixe siècle, le roman voulait être un miroir de la société : dénonciation des injustices sociales. Hugo dénonce la misère dans Les Misérables

fripier, qui avait repris presque tous les meubles, lui disait sans cesse: Quand me payeras-tu, coquine? Que voulait-on d'elle, bon Dieu! Elle se sentait traquée et il se développait en elle quelque chose de la bête farouche. Vers le même temps, le Thénardier lui écrivit que décidément il avait attendu avec beaucoup trop de bonté, et qu'il lui fallait cent francs, tout de suite; sinon qu'il mettrait à la porte la petite Cosette, toute convalescente de sa grande maladie, par le froid, par les chemins

hôpitaux. On retrouve une idée commune aux documents 2 et 4: des personnes utilisent la difficulté des mères pour gagner de l'argent en leur laissant croire à un avenir meilleur pour leur enfant. C'est le cas dans le texte de Victor Hugo, où les Thénardier utilisent l'argent donné par Fantine pour rembourser une dette, et c'est également le cas dans la deuxième note du document 4, quand les 15 francs supposés payer le service rendu ne servent en réalité pas à cela. L'idée qu'à partir de la fin du

ses lecteurs, ainsi que ces spectateur. Le destin de plusieurs personnage, Fantine, Jean Valgean ainsi que Cosette et Maryus est décrit dans cette histoire. Un roman dur et émouvant, Fantine croyant sauvé sa fille, elle se fait embobiné par les Thénardier une famille d'aubergiste accueillant Cosette, la fille de Fantine, vend ses cheveux ainsi que ses dents et se prostitue pour pouvoir payer la caution et les soins de sa petite fille. Elle meurt de façon violente et fait promettre à Monsieur Madeleine

Saint-Antoine. Il décrit la misère telle qu’elle est, voire pire d’ailleurs. On pense notamment au passage pathétique de la mort de Gavroche. On sent bien dans ce roman une volonté de montrer la souffrance, la misère, le malheur poussé à l’extrême, avec les Thénardier par exemple. Cette noirceur exagérée ne va pas sans rappeler certains romans de Zola. Cependant, un peu comme dans la double description de la mansarde dans Chien-Caillou de Champfleury le montre (dans la description de la mansarde romantique

la première époque tourne autour de Jean Valjean, depuis sa sortie du bagne ; de Fantine depuis sa jeunesse jusqu' à sa mort et enfin de Cosette, de sa naissance à son départ chez les Thénardier. La seconde époque est tout à la fois l’histoire de Javert qui poursuivra Jean Valjean toute sa vie, celle des Thénardier, de Gavroche et l’histoire de tous les amis du peuple jusqu’aux montées des barricade. Cette pièce qui reprend un texte datant de 1862, n'est pas une réécriture étant donné qu'elle est

eût fait pitié l’été et qui faisait horreur l’hiver. Elle n’avait sur elle que de la toile trouée ; pas un chiffon de laine. On voyait sa peau çà et là, et l’on y distinguait partout des taches bleues ou noires qui indiquaient les endroits où la Thénardier l’avait touchée. Ses jambes nues étaient rouges et grêles. Le creux de ses clavicules était à faire pleurer. Toute la personne de cette enfant, son allure, son attitude, le son de sa voix, ses intervalles entre un mot et l’autre, son regard, son

Mme Thénardier est le personnage principal de cet extrait des Misérables de Victor HUGO (recueil écrit en 1862). Celui-ci en fait un portrait peu commun pour une femme, avec des éléments troublants et référant au sexe opposé ou à l’irréalisme. Nous allons donc étudier la manière dont ce personnage humain est rendu atypique et relever les éléments habituels et originaux de cette description, pour en étudier ensuite les différents points de vue qui contribuent à l’élaboration de ce portrait. Le