Courbe De Phillips


L’Etat
doit
intervenir
pour
corriger
les
dysfonctionnements
du
marché
et
assurer
 une
constance
des
débouchés.
Amorce
de
sa
démonstration
sur
le
rôle
de
la
demande.
 
 DOC8
 Q22
Salaire
nominal=
salaire
perçu
par
le
salarié,
salaire
réel=
PA
du
salaire
=
SN/P
 Q24
 Critique
keynésienne
de
la
courbe
d’offre
de
travail
NC
 Les
NC
raisonnent
sur
le
SR
or
les
salariés
eux,
raisonnent
sur
le
SN.

 Une
baisse
du
SR
peut
provenir
soit
d’une
baisse
du
SN
soit
d’une
augmentation
des
prix,
 or,
quand
les
prix
baissent,
l’offre
de
travail
ne
varie
pas
alors
que
quand
les
SN
baissent


et déroulement L'expérience est une adaptation de diverses expérimentations portant sur la mémoire à court terme (Robinson & Brown 1926, Jenkins & Dallenbach 1927, Raffel 1936, Jahnke 1963, Shiffrin, Atkinson 1967, Phillips 1968, Murdock 1968, Oléron, 1970, Postman & Phillips 1975, Glanzer & Cunitz 1966) . L'opérateur énonce un item toutes les 2 secondes. Il demande ensuite aux participants de rappeler par écrit le plus d'item possible, et ce  pendant un laps de temps de 3 minutes 3. Matériel

et activité réelle, l'approche keynésienne. 23 Section 1 : La demande de monnaie keynésienne. 24 Section 2 : le mécanisme de transmission d'un choc monétaire à l'économie réelle. 27 Section 3 : Le modèle ISLM : 28 Section 4 : La courbe de Philliips. 30 Chapitre 1 : monnaie et banque. Section 1 : Essais de présentation de la monnaie. 1.1 Définition. Définition par la fonction de la monnaie ; la monnaie est un outil de transaction, un outil de réserve et un outil étalon

FMI : L’institution a été créée en 1944 7-La courbe de Phillips : La courbe de Phillips joue un rôle important dans l'histoire de la macroéconomie. Il s'agit en effet d'une relation empirique observée indépendamment d'un cadre théorique précis. Les économistes keynésiens y ont vu la relation manquante des modèles macroéconomiques, illustrant la possibilité d'un arbitrage entre inflation et chômage. Pour les monétaristes, cette courbe illustrait les erreurs de la politique keynésienne et

stabilisation est mise en place. Ainsi la politique monétaire accompagne l'expansion budgétaire, comme lors du plan Chirac en 1975 ou tente de limiter l'inflation quand celle-ci devient excessive (Plan Pinay 1958). Dans la lecture keynésienne de la courbe de Phillips, l'inflation dans une certaine mesure est préférée au chômage. C'est un "mal nécessaire" car la politique monétaire expansive permet un accroissement de l'activité et de l'emploi. III. Les monétaristes ont réhabilité la neutralité avec certaines

strictement la doctrine monétariste, l'héritage de Friedman en matière de politique monétaire est important. Il a, en effet, imposé un certain nombre d'idées qui demeurent structurantes en matière de politique monétaire. Par sa critique de la courbe de Phillips, et le développement de l’idée de taux de chômage naturel, il a soutenu l'idée qu'il n'y avait pas d'arbitrage possible entre inflation et chômage et que, par conséquent, la mission de la politique monétaire est la stabilité des prix. La politique

relation entre l’inflation et le chômage. Cette relation résulte de travaux économétriques réalisés en 1957 par A.W Phillips, économiste Néo-Zélandais. L’intérêt de ce modèle est qu’il intègre l’évolution des prix. Les travaux de Phillips ont permis de comprendre l’origine du déséquilibre inflationniste en intégrant le niveau des prix dans l’analyse keynésienne. En fait, le modèle de Phillips repose sur trois hypothèses implicites. D’une part le salaire nominal est la variable d’ajustement sur le marché

c'est la hausse du prix du grain et du pains qui est en cause. ! Pour les crises mixte, le point de départ est l'explosion du prix du grain, mais par la suite une baisse des prix du à la mévente des produits non-alimentaire. ! Dans le cycle majeur, la courbe des prix est parallèle à celle de l'activité. Leur hausses conjointe est signe de prospérité. Elle provoque le cercle vertueux, investissement, embauchent, hausse de la demande. Au contraire leur baisse conjointe souvent accompagné d'un crack signale

arrive à établir la courbe IS c’est à dire le lieu de tous les équilibres possible dans une économie (courbe page 6). Si on change le taux d’intérêt, on change le niveau de l’investissement et le niveau de revenu global. i -> I -> Y i1 -> I1 -> Y1 i2 -> I2 -> Y2. Il y a un taux d’intérêt élevé, peu d’investissement et niveau de production global faible : Point A. Si on baise taux d’intérêt, on investit plus, et le niveau de production plus élevé : Point A’. La courbe IS est la représentation

précédente) s’appelle le cout marginal Donc plus la marge de la firme est importante plus le pouvoir de marché de  l’entreprise est élevé. b. La courbe de demande. ■ Elle indique la quantité d’un bien que le consommateur est disposé d’acheter en  fonction du prix. ■ Cette demande du marché s’obtient en agrégeant les demandes individuelles. ■ La courbe de demande est souvent supposée décroissante par rapport au prix. c. Les déterminants de la demande ■ Le prix du bien ■ Le revenu moyen des consommateurs