Courbe De Phillips

une activité économique soutenue. Cependant, conformément à la théorie quantitative de la monnaie, il n'existe pas d'arbitrage à long terme entre stabilité des prix et activité économique car la monnaie est, sur ce laps de temps, neutre (la « courbe de Phillips » de long terme est verticale). On distingue généralement à l'heure actuelle trois types de politiques monétaires : la fixité des taux de change, le ciblage de la croissance des agrégats monétaires et le ciblage de l'inflation. III.

marginalisme conduit chaque agent à comparer le gain et le coût d’une unité supplémentaire pour chaque décision économique. L’équilibre général est obtenu par la juxtaposition des préférences individuelles des agents, qui donne une courbe d’offre croissante. À l’intersection des deux courbes, l’équilibre est obtenu et représente un optimum de PARETO au sens où aucune amélioration de la situation d’un agent ne peut être obtenue sans que celle d’au moins un autre ne soit détériorée. Le réajustement par les prix

modèle monétariste de base -MV = PQ => Masse de monnaie x Vitesse de circulation = Prix x Quantité de produit vendu (PIB) -la consommation est stable = Q et V sont stables + critique des politiques de relance par ↑ dépenses de L'État La courbe de Phillips et la relation entre l'inflation et le taux de chômage -si inflation importante = peu de chomage # si inflation faible = beaucoup de chômage PARTIE 3 : LA SCIENCE ECONOMIQUE MODERNE Chapitre 1 : Les anticipations rationnelles Principes

distinguer les taux à court terme (quelques mois) et les taux à long terme (quelques années). Or, le risque du prêteur augmente avec la durée du prêt : les taux à long terme sont donc normalement supérieurs aux taux à court terme. L'inversion de la courbe des taux (début des années 90, par exemple) est un indicateur avancé d'un retournement de conjoncture : en effet, à l’approche du pic d'activité, les banques centrales doivent remonter les taux à court terme afin d'éviter une surchauffe inflationniste

économie ouverte, le modèle a été amélioré par Mundell et Flemming, pour créer le modèle BP, ou ISML BP. Le modèle BP prend en compte la balance des paiements, Autre modèle, initié par Lipsey, Samuelson et Solow, qui se sont inspirés de la courbe de Phillips (met en relation le salaire et le taux de chômage : plus le taux de chômage est faible, plus les salaires sont élevés). Ils considèrent que dès lors que les salaires nominaux n’augmentent pas plus vite que la productivité, il n’y a pas de risque

et de mettre à mal la solidarité institutionnalisée par les systèmes de protection sociale. D’où une baisse de la demande globale et, dans une optique keynésienne, un effet récessif sur la croissance économique. 7. Ce passage fait référence à la courbe de Laffer, souvent résumée par la phrase « trop d’impôt tue l’impôt ». QUESTION DE SYNTHESE I- Les effets positifs attendus d’une réduction du déficit budgétaire A. Maîtriser le déficit primaire pour tenter de limiter le service de la dette

passif. Capital : 1. stock des infrastructures et des équipements utilisés à des fins de production ; 2. fonds permettant l’accumulation du capital défini sous 1. Choc : modification exogène d’une relation économique, telle que la courbe de demande agrégée ou la courbe d’offre agrégée. Chômage conjoncturel : chômage associé aux fluctuations économiques de court terme ; écart du taux de chômage par rapport à son taux naturel. Chômage d’attente : chômage résultant de la rigidité des salaires et du

pression politique sur la banque centrale. Puisque, comme nous le verrons, la présence de χ mène à un résultat sous optimal décrit par le biais inflationniste et une faible utilité d'anticipation. Substituons la fonction d'offre agrégée (courbe de Phillips) dans l’équation (6) : V= 1/2 δ [θ(π – π a)+ ε +χ)] 2+1/2(π – π*) 2 (7) La condition de premier ordre pour la valeur optimale de π conditionnée par ε avec π a comme donné dans le cas de la minimisation de la fonction de perte (7) est:

L’analyse économique de Ricardo 24 11. La loi de Say 26 12. Les termes du débat sur les Corn Laws 28 13. L’analyse néoclassique 32 14. L’analyse macroéconomique de Keynes 34 15. Les rigidités de prix 38 16. La courbe de Phillips 42 17. La nouvelle économie classique 46 18. La nouvelle économie keynésienne 48 3. Les grands moments de l’histoire économique 22 19. La Révolution industrielle anglaise (1760-1830) 50 20. La révolution des transports

charges sociales ont également joué un rôle important, en augmentant la pression sur les coûts de production. Malgré la crise et le chômage, le mouvement des salaires réels continue de s'exercer à la hausse, ce qui bouleverse les règles de la courbe de Phillips selon lesquelles le bond du chômage aurait dû susciter à terme le repli des salaires et de l'inflation. La volonté des entreprises de maintenir un certain niveau de profit, malgré une baisse de la production, favorise aussi la hausse des prix