Courbe De Phillips

Jeux Olympiques. Différents records de vitesse : Hommes :            2006 - 251,40 km/h – Simone Origone (Italie) 2002 - 250,70 km/h – Phillippe Goitschel(France) 1999 - 248,105 km/h – Harry Egger (Autriche) 1997 - 243,902 km/h – Phillipe Billy (France) 1995 - 241,448 km/h – Jeffrey Hamilton (USA) 1993 - 233,610 km/h – Phillippe Goitschel(France) 1992 - 229,299 km/h – Michael Prufer (France) 1988 - 223,741 km/h – Michael Prufer (France) 1984 - 208,937 km/h – Franz Weber (Autriche)

combinaisons de choix de conso qui sont équivalentes entre elles  théorie des courbes d’indifférence Trois courbes d’utilité (U1 à U3), deux biens X et Y. Sur une courbe d’utilité (par exemple U2), le consommateur est indifférent au contenu du panier : beaucoup de Y et peu de X au point M équivaux à beaucoup de X et peu de Y au point N. Ces deux paniers procurent la même utilité et sont donc sur la même courbe. La courbe est convexe car les biens X et Y sont imparfaitement substituables, càd que le

où ils en sont. Plus on a de l’nfo, + c’est précis, + ça se confirme. 2. Il faut tenir compte des new concepts : Anticipations rationnelles : les conso savent anticiper l’éco. Ils savent bien réagir. Exemple : bonne reprise éco en 2014 => les courbes de la bourse vont chuter pcq s’il y a une reprise, les banques centrales vont augmenter les tx d’intérêts (pour que la reprise ne soit pas une inflation) => tous les autres tx d’intérêts vont augmenter (aussi ceux des obligations) => certains investisseurs

penser, la stabilité des prix étant un préalable à une activité économique soutenue. Cependant, si on admet qu'il n'existe pas d'arbitrage à long terme entre stabilité des prix et activité économique car la monnaie est neutre à long terme (la « Courbe de Phillips » de long terme est verticale), l'unique objectif de long terme de la banque centrale doit être le maintien de la stabilité des prix. Dans cette hypothèse le niveau de croissance potentiel dépendant de facteurs multiples (productivité, stock

cause de l’inflation est donc une accroissement anormal de la quantité de monnaie par rapport au volume de la production. Milton Friedman est donc pour une politique monétaire stricte : théorie quantitative de la monnaie. il remet en cause la courbe de Phillips (keynésien) . © 1999-2011 Matt - SkyMinds.Net. Tous droits de reproduction et de diffusion réservés. Contact | Auteur | Abonnements | Annoncer sur le site | IDDN | Vie privée | RSS | Facebook | Twitter [schéma] Les keynésiens luttent contre

perspectives de gains et incitées à investir. L’inflation, moteur de l’investissement, induit ici une croissance de la production et de l’emploi. Un haut niveau d’emploi apparaît compatible avec un taux d’inflation élevé (ceci est décrit par la courbe de Phillips : relation inverse entre l’inflation et le chômage). 12 Les effets néfastes de l’inflation - Une inflation peut conduire lorsqu’elle est forte, à un ralentissement de la croissance économique, du produit global, et à une détérioration

soyons heureux, 
 N'importe de quelle manière. 
 Un jour il faudra nous courber 
 Sous la main du temps qui nous presse ; 
 Mais jouissons dans la jeunesse

passe par la réhabilitation des forces du marché. Pour FRIEDMAN la crise de 1929 est liée à la contraction de la masse monétaire par la FED entre 1929 et 1933 déflation et dépression. La crise des années 1970 est liée au laxisme monétaire (courbe de Phillips) + chocs pétroliers et le chômage européen est lié au manque de flexibilité du marché du travail et aux contraintes fiscales sur l’offre. * HAYEK développe une théorie originale en remettant en cause la neutralité de la monnaie : Contrairement

C'est une application de la parité des pouvoirs d'achats, les pays sont price-takers. En changes flexibles, un pays peut choisir la combinaison d’inflation et de chômage : En changes flexibles, par contre, la France peut être à un point de la courbe et l'Allemagne à un autre. La seule condition est que le taux de change s'adapte. - La politique monétaire peut être efficace En changes fixes, la politique monétaire n’a aucun effet sur l’équilibre interne : Si le taux d'intérêt baisse, les actifs

surgir qu'en période de sous-emploi. Dans ces conditions toute croissance de la masse monétaire se traduit inévitablement par un accroissement des quantités. Samuelson et Solow on synthétisé la théorie keynésienne au moyen de la courbe de Phillips. En effet, selon cette courbe, une relance monétaire se partage entre un effet prix (inflation) et un effet quantité (hausse de la production). L'importance de l'effet prix par rapport à l'effet quantité dépend du taux de chômage de départ : si le taux de