Courbe De Tes Yeux

 SOMMAIRE I. Introduction II. L’œuvre principale « La courbe de tes yeux » de Paul ELUARD III. Les œuvres secondaires « Le violon d’Ingres » de Man Ray « Le Pont Mirabeau » par Léo FERRÉ IV. Le lien entre ces oeuvres INTRODUCTION Nous allons vous présenter un exposé d’histoire des arts sur le thème dela rupture et de la continuité au XXème siècle. Nous allons évoque Paul Eluard, grand poète francais né en 1895 et décedé en 1952, puis nous parlerons d’une photographie

à moi Sauras-tu jamais ce qui me traverse Qui me bouleverse et qui m'envahit Sauras-tu jamais ce qui me transperce Ce que j'ai trahi quand j'ai tressailli Ce que dit ainsi le profond langage Ce parler muet de sens animaux Sans bouche et sans yeux miroir sans image Ce frémir d'aimer qui n'a pas de mots Sauras-tu jamais ce que les doigts pensent D'une proie entre eux un instant tenue Sauras-tu jamais ce que leur silence Un éclair aura connu d'inconnu Donne-moi tes mains que mon coeur s'y

DISSERTATION SUR LE FLAMBEAU VIVANT DE BAUDELAIRE ET LA COURBE DE TES YEUX D’ÉLUARD Lors du courant du symbolisme, le but est de fuir le réel et d’atteindre l’Idéal et de fournir une nouvelle vision de la réalité. Le courant suivant le symbolisme est le surréalisme et il y a plusieurs points communs entre les deux courants. Le surréaliste tente d’accéder à la pensée pure et d’aller au-delà du réel. Toutefois, les deux courants traitent des thèmes comme le rêve, l’Imaginaire, la peur du temps ou

Commentaire Eluard « Le texte soumis à notre étude est un poème de Paul Éluard intitulé “La courbe de tes yeux” issu de la section “nouveaux poèmes” de son premier recueil Capitale de la douleur, paru en 1926, et dédié à sa première femme Gala, qui était aussi sa muse jusqu’en 1928. Dans ce poème qui divinise sa femme, on observe nettement l’influence du surréalisme. Éluard est un poète du XXe siècle qui adhère au dadaïsme et devient l'un des piliers du surréalisme en ouvrant la voie à une

d'austères études; Car j'ai, pour fasciner ces dociles amants, De purs miroirs qui font toutes choses plus belles: Mes yeux, mes larges yeux aux clartés éternelles! Charles Baudelaire « La Beauté » in Les Fleurs du Mal, 1821-1867 La Beauté des Femmes Beauté des femmes, leur faiblesse, et ces mains pâles Qui font souvent le bien et peuvent tout le mal, Et ces yeux, où plus rien ne reste d’animal Que juste assez pour dire : « assez » aux fureurs mâles ! Et toujours, maternelle endormeuse

important: Capitale de la douleur. Ce recueil est dédié à sa muse: Gala.     Le poème La courbe de tes yeux est l'avant dernier du recueil. Il est placé sous le signe de la joie d'aimer et du partage amoureux.  Problématiques : Comment le poète présente-t-il le pouvoir du regard de la femme aimée ? En quoi ce poème est-il surréaliste ? I. Le portrait d’une femme sublimée. 1) La célébration de la beauté. Le poème s’ouvre sur les yeux de la femme aimée. Cette entrée est conservée tout le long du poème. L’idée

Analyse linéaire "La courbe de tes yeux" de Paul Eluard Paul Éluard, de son vrai nom Eugène Grindel (1895 -1952) est un poète surréaliste, fondateur du mouvement avec André Breton. Il a écrit Capitale de la douleur en 1926. Sa femme, Gala, fut aussi par la suite la compagne de Salvator Dali. Il épousera, cinq ans après leur rupture Maria Benz dite « Nusch ». Ce poème, reprend le thème traditionnel du blason pour célébrer la beauté de la femme aimée et de son regard. Le poème est construit

on fait son éloge, si c'est juste une rencontre éphémère, si c'est une source d'angoisse, de frustration. Notre anthologie s'ouvrira sur un poème de Paul Eluard intitulé « La courbe des tes yeux » extrait de « Capitale de la douleur », 1926 qui nous permettra d'étudier l'éloge de la femme en se focalisant sur ses yeux, élément important chez la femme. On peut voir dans ce texte que la femme est importante et son regard de même, qui apporte la vie. Puis nous poursuivrons avec « La beauté »,

féminin en poésie ? QUESTION DE CORPUS. Le corpus qui nous est proposé nous invite a travailler sur 5 textes. A savoir ( Les regret sonnet 91, 1556 de Du Bellay ; Le Beau Tétin, 1535 Clément Marot ; Blason de l’œil, 1547 de Saint-Gelais ; La courbe de tes yeux, 1926 de Paul Eluard ; Le blason, 1960 de George Brassens ). Ces textes ont pour thème commun la femme aimée. Il s’agit de savoir quelle image de la femme propose ces textes. Nous verrons d’abord l’image élogieuse de la femme et dans un second

l'air avec les ondes, Les anges, les démons courbés devant ma loi, Et le profond chaos aux entrailles fécondes, L'éternité, l'espace, et les cieux, et les mondes, Pour un baiser de toi *Une femme est l’amour, de *Gerard* de Nerval* (XIXème Siècle) Une femme est l'amour, la gloire et l'espérance ; Aux enfants qu'elle guide, à l'homme consolé, Elle élève le coeur et calme la souffrance, Comme un esprit des cieux sur la terre exilé. Courbé par le travail ou par la destinée, L'homme