Courbe De Tes Yeux

Je ne sais plus, je ne veux plus. Recueil : Romances (1830) Je ne sais plus d'où naissait ma colère ; Il a parlé... Ses torts sont disparus. Ses yeux priaient, sa bouche voulait plaire : Où fuyais-tu, ma timide colère ? Je ne sais plus. Je ne veux plus regarder ce que j'aime. Dès qu'il sourit, tous

un sourire dans l'ivresse ou le désespoir et nomme ce pouvoir comme un “ métier de bourreau “. Ces cas extrêmes iraient de la souffrance tel que l'infidelité , le mensonge ou même le désespoir mais le plus extrême serait la mort , dans “ La courbe de tes yeux “ Paul Eluard explique à travers de ça dependance qu'il donnerait ce qu'il a de plus precieux “ son sang “ c'est a dire ça vie. Léopold Sédar Senghar dans son poéme “ La femme noire “ a comme objectif d'expliquer que la femme est source de

DEVOIR DE FRANCAIS CORPUS SUR LA POESIE Txt 1 : Victor Hugo, Les contemplations, « Melancholia », 1856 Txt 2 : Paul Eluard, Capitale de la douleur, « La courbe de tes yeux… », 1926 Txt 3 : Francis Ponge, Le Parti pris des choses, « Le Pain », 1942 Txt 4 : Raymond Queneau, « Si tu t’imagines… », 1952 1 . Question : Quel effet le poète veut-il produire sur le lecteur, dans chacun des poèmes du corpus ? Vous pourrez, par exemple, vous interroger sur les différents registres

quelques textes assez sombres. Certaines formules d’Eluard sont marquantes : « La terre est bleue comme une orange », ou encore « La courbe de tes yeux fait le tour de mon cœur ». Capitale de la douleur est un recueil qui marque notre subconscient et fourni notre imagination. Nous remarquons une dimension religieuse voire divine dans certain poème tel que «  la courbe de tes yeux », cette recherche de l’au-delà et de l’absurde apparait après le choc des guerres répétitives. Eluard cherche donc à « s’évader »

va-t-il pas se défaire avec le temps ? B- La présence de la femme et l’inversion du mythe C’est étonnant que la femme soit présente. La présence du regard qui tue et fascine est récurrente chez Apollinaire. La femme est présentée à travers le regard (yeux, paupières). C’est un dialogue à une seule voix, la parole du poète qui s’adresse à la femme aimée. Il y a une construction en miroir : les animaux s’empoisonnent par la fleur et le poète s’empoisonne aussi. Il y a un étiolement de l’amour qui devient

cas ici présent, un éloge. Le surréalisme est une vision nouvelle de l’homme, du monde, et de l’art. Il se caractérise par la révolte contre la raison, mais aussi par la réhabilitation du rêve et de l’inconscient. Ainsi, Paul Eluard avec La courbe de tes yeux (1926), Maurice Scève avec Le front (1536) et Robert Desnos avec Non, l’amour n’est pas mort (1930), célèbrent la femme aimée. Nous verrons comment ces poèmes sont des éloges malgré leurs différences et leurs ressemblances.

bien injuste. - Votre compassion, lui répondit l'Arbuste, Part d'un bon naturel ; mais quittez ce souci. Les vents me sont moins qu'à vous redoutables. Je plie, et ne romps pas. Vous avez jusqu'ici Contre leurs coups épouvantables Résisté sans courber le dos ; Mais attendons la fin. "Comme il disait ces mots, Du bout de l'horizon accourt avec furie Le plus terrible des enfants Que le Nord eût portés jusque-là dans ses flancs. L'Arbre tient bon ; le Roseau plie. Le vent redouble ses efforts

| « La courbe de tes yeux » Paul Eluard 1926 Description de l'auteur : Paul Eluard, poète de la première moitié du XXème a été un des piliers du surréalisme qui s'intéresse à l'imaginaire, au rêve et à l'inconscient dans les années 1920. Après une crise personnelle existentielle qui a entraîné son voyage-fuite en 1924, Eluard publie son premier recueil en 1926, qui sera le plus important: Capitale de la douleur. Ce recueil est dédié à sa muse: Gala.Le poème La courbe de tes yeux est l'avant

revers de la main les classes sociales et bonnes mœurs de l’époque. Mais le véritable coup de foudre se déroule généralement au premier regard. C’est donc dans un genre plus discret que Paul Eluard déclare sa flamme au travers de son poème « La courbe de tes yeux » où son romantisme éclot tel une fleur. Dans ces quelques mots, l’homme laisse entrevoir sa sensibilité, toute la force de sa passion et, par quelques gouttes de fantaisie, son érotisme. Toutefois, chacun des poètes possède en lui une part

2010/2011 Anthologie poétique personnelle : * SOMMAIRE : * 20ème siècle : * L.ARAGON : Roman Inachevé, « Que serais-je sans toi… » (1956) * J.PREVERT : Paroles, «  Le Cancre » (1946) * P.ELUARD : Capitale de la douleur, « La courbe de tes yeux… » (1926) * 19ème siècle : * A.RIMBAUD : Les Cahiers de Douai, « Vénus Anadyomène » (1870) * C.BAUDELAIRE : Les Fleurs du Mal, « Parfum exotique » (1857) * 17ème siècle : * J.De La FONTAINE : Les fables de La Fontaine, « Le