Cours Charlemagne

HISTOIRE DES I NSTITUTIONS PUBLIQUES DE 1750 à 1870 Problématique du cours : Pouvoirs et société depuis la fin du 18ème siècle. Cela implique de s'interroger sur la question suivante : comment à un moment donné de l'histoire de France le peuple a pris possession du pouvoir et surtout comment le peuple est parvenu à le conserver? On va tenter de restituer une certaine forme de démocratie. - Avant 1789, le régime politique de la France est la monarchie, la royauté. Et nul ne s'interrogeait

repartis heureux et fier dans leur pays », bataille de Poitiers, Maréchal Leclerc. Charlemagne était empereur européen. Ici, on veut l’Europe de charlemagne qui = continuité de l’empire romain, mais ça ne marche pas. Pourquoi ? Car pas d’empire sans institution. L’idée d’Europe unie disparait avec la division de l’empire de charlemagne. Le traité de Verdun de 843 divise l’empire entre les 3 petits fils de Charlemagne = acte de naissance des futurs nations. Du IXe siècle jusqu’au XVIIIe siècle = lente

comtes s’accaparent leur fonction au départ pour la durée de leur vie, mais le roi mérovingien n’a pas suffisamment de puissance sauf en cas de faute grave ou de scandale. Les rois carolingiens (Pépin le Bref, Charlemagne) essayent d’arrêter cela, mais, ce phénomène recommence à la mort de Charlemagne. Les comtes vont aller jusqu’à demander à ce que leur fonction soit héréditaire. Le capitulaire de Quierzy-sur-Oise de 877 constate l’hérédité des fonctions comtales, qui s’est développée au 9ème siècle.

Géo cours Cm1 I. Les frontières du territoire français La frontière : limite du territoire d’un pouvoir public qui sépare 2 espaces. C’est une discontinuité, type d’organisation de l’espace différent. La frontière est à la fois une ligne et une zone influencée par la présence des frontières. A. Les frontières actuelles de la France 1. Frontière naturelle ou conventionnelle ? La France est un isthme dc elle est un carrefour naturel entre Europe du Nord et du Sud. Frontière

HISTOIRE DES INSTITUTIONS PUBLIQUES LICENCE DROIT 1ère année Université de Rouen Cours de Mme de Courrèges 2009/2010 "On raisonne trop souvent, comme si le genre humain finissait et commençait à chaque instant, sans aucune sorte de communication entre une génération et celle qui la remplace. Les générations en se succédant, se mêlent, s'entrelacent et se confondent. Un législateur isolerait ses institutions de tout ce qui pourrait les naturaliser sur la terre, s'il n'observait avec soin les rapports

roi de Soissons, qui avait réuni les parts de ses trois frères, en fournissent la preuve. On en trouve plusieurs exemples semblables sous la seconde race, dans le partage du royaume entre les deux fils de Pépin le Bref, entre les trois fils de Charlemagne et entre les quatre fils de Louis le Débonnaire. Mais sous la troisième race les puînés furent exclus du partage du royaume, et on leur assigna seulement des domaines pour leurs portions héréditaires ; d'abord en propriété absolue, comme le duché

provoquée par la guerre civile, d'abord, puis les invasions germaniques ont mené à la décadence des villes et des structures préféodales dans les campagnes.               C'est alors que le christianisme sauva l'unité romaine. Il est apparu en Gaule au cours du IIème s, d'abord à Lyon où l'un des premiers récits de martyres concerne la communauté présidée par l'évêque Pothin. Fondée par les chrétiens de langue grecque, l'Église gauloise se latinisa bientôt, mais resta limitée aux villes. Au IVème s, l'évangélisation

politiques, la dynastie capétienne qui arrive au pouvoir va en fait énoncer différentes règles pour pouvoir garder le pouvoir. Paragraphe 1 : le principe d’hérédité et de primogéniture En 987, le dernier Roi Carolingien, qui descendait de Charlemagne, meurt. Une Assemblée composée principalement de grands seigneurs féodaux, d’Hommes d’Eglise, se réunit pour élire un nouveau Roi, et le choix de cette Assemblée se porte sur la personne d’Hugues Capet. Tout le travail des premiers Capétiens pendant

delà de différence ethnique, tous les peuples soumis à l’empereur Charlemagne ne formaient qu’un seul peuple chrétien, principe de l’unitas christianorum. Cette idée cher au Carolingien qui exalte ce que les peuples ont en commun n’a pas disparu avec cet empire, ce principe exprimant le rêve d’unité de l’Europe, de la chrétienneté a servi pour alimenter toute une littérature, l’empereur germanique se disait successeur de Charlemagne mais également servi aux papes. Ces deux autorités entendaient diriger

que l'on appelle l'« Antiquité tardive » où se réalise l'unité religieuse et économique de l'espace méditerranéen sous l'égide du christianisme ; les conquêtes arabo-islamiques des successeurs de Mahomet y mettent fin. Au Xe s., les héritiers de Charlemagne perdent l'autorité sur leurs royaumes. Cet éclatement du pouvoir carolingien donne naissance à la période dite de « la féodalité », qui consiste en un réseau de liens de dépendance entre le seigneur et son vassal. Dans ses châteaux forts, la noblesse