Cours De Droit International Humanitaire

La dotation dans l’organisme 10 Le développement stratégique des ressources humaines 13 La gestion de la diversité 16 Développement RH 20 Conclusion 21 Annexes 22 Bibliographie 24 Sommaire exécutif Dans le cadre du cours MNG-3102, nous avons a réalisé un travail selon nos expériences de travail ou nos intérêts communs, afin de développer nos habiletés et nos connaissances sur ceux-ci. Étant captivés par le fonctionnement des organismes sans but lucratif, nous nous

------------------------------------------------- NOTE DE SYNTHESE : ------------------------------------------------- Les ONG humanitaires : Des acteurs politiques ? ------------------------------------------------- ` ------------------------------------------------- DECLARATION SUR L’HONNEUR A remettre complétée et signée en 1ère ou 2ème page du dossier ou du mémoire de recherche appliqué ANNEE SCOLAIRE 2009 - 2010 NOM | PRENOM | CLASSE / OPTION

Université d’Auvergne Clermont 1 Faculté de Droit et de Sciences politiques Année universitaire 2010-2011 Licence 1ère année Droit constitutionnel Cours du Pr. TURPIN Séance n°2 : LA SOUVERAINETE Objet de la séance : Comprendre la notion de souveraineté Connaître les détenteurs de la souveraineté Comprendre les modalités d’exercice de la souveraineté Mots clés et notions à connaître (entre autres) : Constitution/ Constitution souple et rigide / Constitution formelle et matérielle/

laquelle est surtout basée sur la conscience des relations entre États et sur l’importance d’un dialogue, Diane Ethier veut ici identifier plusieurs lacunes de cet énoncé, lacunes qui existent, selon elle, dans la pratique réelle de la diplomatie internationale. L’auteure y voit, entre autres, l’oubli du caractère conflictuel et de la dimension illégale de la diplomatie. Elle approfondit ces lacunes autour de quatre axes dont voici les grandes lignes. À la base, une négociation est une interaction

IntroductioDroit international public appliquén → Hart distingue entre les règles secondaires et les règles primaires. C'est valable pour le droit international. Il existe un ordre juridique international. Les règles secondaires sont celles qui dans un ordre juridique fixent les conditions de formation des autres règles. Ces autres règles, on les appelle primaires. En principe, les règles primaires doivent être conformes aux règles secondaires. En droit international, les règles secondaires sont

d’assurer la paix et la sécurité internationales. Après deux conflits mondiaux, la tâche est rude et les États membres, dont elle dépend en grande partie, sont loin de la lui faciliter. Au cours des années et des nombreuses guerres qui éclatent un peu partout sur le globe, l’ONU tente d’intervenir au mieux, parfois avec succès, mais souvent avec impuissance.La fondation de l’ONUL’Organisation des Nations Unies est fondée au lendemain de la Seconde Guerre mondiale. Au cours du conflit, les représentants

impact international, déliquescence des Etats, criminalité organisée), la stratégie européenne s'oriente autour de trois objectifs reconnus par les Etats membres : o faire face aux menâces en menant une politique de prévention des conflits qui repose sur une combinaison des moyens d'action civils et militaires ; o construire la sécurité dans le voisinage européen en s'impliquant au Proche-Orient, dans les Balkans et le Caucase ; . promouvoir un multilatéralisme efficace en défendant le droit international

couvre la quasi-totalité du globe. Outre le maintien de la paix et la prévention des conflits, l’ONU s’implique aussi dans les actions humanitaires, le développement durable, la protection de l'environnement et des réfugiés, les secours en cas de catastrophe, la lutte contre le terrorisme, le désarmement et la non-prolifération, la promotion de la démocratie, les droits de l'homme, l'égalité des sexes et la promotion de la femme, la gouvernance, le développement économique et social, la santé publique

HUMANITAIRE POUR QUELLE HUMANITÉ ? Il faut savoir que les choses sont sans espoir et tout faire pour les changer. Rainer Maria Rilke INTRODUCTION Ce texte a été élaboré en vue d’une présentation au 77ème Congrès de l’ACFAS (Association Francophone pour le savoir) d’Ottawa de 2009, dans le but d’alimenter un débat multidisciplinaire axé sur les politiques de vie et les formes de bio politique présentes au cœur des médecines humanitaires contemporaines. Ce texte vise ici essentiellement

Le Tribunal pénal international pour l'ex-Yougoslavie (TPIY ou TPY) est une juridiction instituée le 22 février 1993 par la résolution 808 du Conseil de Sécurité de l'Organisation des Nations unies[1] afin de poursuivre et de juger les personnes s'étant rendues coupables de violations graves du droit international humanitaire sur le territoire de l'ex-Yougoslavie à compter du 1er janvier 1991, c'est-à-dire durant les guerres en Croatie, en Bosnie-Herzégovine et au Kosovo), conformément aux dispositions