Cours forcé

c’était l’or ou l’argent qui constituait la véritable monnaie, le CERTIFICAT DE DEPOT servait uniquement à faciliter les échanges. Le billet de banque n’a acquis un véritable rôle d’instrument des échanges qu’a partir du moment ou l’Etat lui conféra un cours légal (des 1870 en France). Cela donna lieu à une controverse entre la Currency school qui considérait qu’il y avait nécessite d’une émission de billets en fonction des dépôts métalliques auprès des banques et la Banking school qui préconisait une

d’émission. Jusqu’en 1848, les billets de la Banque de France avaient cours libre, c’est-à-dire qu’ils pouvaient ne pas être acceptés comme moyen de paiement. Egalement, le montant des émissions de billets par la banque n’était soumis à aucunes limitations en dehors du fait que la banque devait être en mesure d’assurer le remboursement des billets émis. La crise révolutionnaire de 1848 va entraîner l’institution du cours forcé. L’institut d’émission (la banque de France) était dispensé de rembourser

économique, strictement cérémoniels et symboliques, ils sont confèrent du prestige social. Ils permettent aussi des alliances politiques entre tribus, et sont donc source de liens sociaux. • Certains objets sont aussi utiles, parallèlement à leur force symbolique. Ex. : blocs de thé, bétail (pecus en latin, qui est à l’origine de « pécule », « pécuniaire »). • Les métaux précieux auront un destin monétaire privilégié. Dotés d’une grande puissance symbolique, ils s’incorporent dans des objets (cérémoniels

certain temps, les billets étaient convertibles en or pour décider le peuple à accepter les billets. On lui a appliqué le cours légal. La monnaie à le pouvoir d’éteindre une dette (pouvoir libératoire) mais elle peut toujours être convertible en or. Petit à petit, le peuple prend confiance et le billet devient inconvertible. On lui applique le cours forcé. Cours forcé = cours légal – convertibilité 4) la monnaie scripturale Simple inscription sur les registres des banques. Les billets de banque

(acheter / vendre) Les métaux précieux : l’or et l’argent sont utilisés dans les échanges et ils ont une valeur intrinsèque La monnaie papier : elle remplace les métaux précieux (avant les billets étaient convertible en or mnt l’Etat a appliquer le cours forcé = plus de convertibilité) La monnaie scripturale : ce sont les simples inscriptions sur les comptes des banques à vus Elle peut avoir plusieurs formes : La monnaie métallique La monnaie fiduciaire La monnaie électronique La contre parti de

paiements sont gérés par la banque de France, le trésor et les établissements de crédit. les billets sont émis par la banque de France, institut d’émission qui en possède le monopole. Ces billets ont à la fois un cours légal ( ne peuvent être refusés comme moyen de paiement ) et un cours forcé ( ils sont inconvertibles en or. Le montant global des billets émis figure au passif du bilan de la banque de France. les pièces sont émises par le trésor, fabriquées par l’administration des monnaies et médailles

papier (billet de banque, monnaie fiduciaire). Très vite, l’habitude fut prise d’émettre une quantité de billets pour une valeur supérieur aux quantités d’or déposés dans les banques. Pour pallier les risques de faillite. L’état imposa un cours forcé ainsi qu’un cours légal. Le pouvoir libératoire du billet est donc indissociable de l’affirmation du pouvoir politique => avoir confiance. Le cheque n’est pas une monnaie scripturale => instrument de circulation de la monnaie. Ex : la carte bancaire. Le

risque est que la banque mente et qu’au contraire elle manque de fonds. 24) Un billet convertible est accepté en paiement d’échange sous certaines conditions (c’est à dire uniquement échanger contre un autre billet), cela facilite l’échange. Le cours forcé garantie les stocks de la banque, évite le déplacement des métaux. 25) La monnaie scripturale est une monnaie sous forme d’écriture, c’est à dire des chèques ou des chèques de banque par exemple. 26) La monnaie scripturale est une reconnaissance

création de monnaie exige une contre partie. C. La monnaie de banque et la monnaie centrale Etape 7 : La monnaie centrale Quand la contrainte de convertibilité or des billets disparaît il faut un système qui limite les billets ont alors un cours forcé et on impose la convertibilité en monnaie centrale. Le rôle de l’or est alors tenu par des formes monétaires plus abstraites. Masse de monnaie + Vitesse de circulation = Niveau général des prix + Volume des transactions Etape 8 : La création

d’émission. Jusqu’en 1848, les billets de la Banque de France avaient « cours libre », c’est-à-dire qu’ils pouvaient ne pas être acceptés en paiement. Par ailleurs, le montant des émissions était soumis à aucune limitation mais la Banque devait être en mesure d’assurer le remboursement en espèces métalliques, des billets qu’elle émettait. La crise provoquée par les troubles de 1848 entraîna l’institution du « cours forcé » qui dispensait l’Institut d’émission de rembourser les billets qui lui