Courtisan

exagération) « Ce n’est pas tout ; au bout de ce qu’on appelle la mer, est une grande foire que tiennent les officiers de l’empereur. Des vaisseaux partent de la grande mer pour arriver à la foire.( mise en avant des nouveaux moyens de déplacement) Les courtisans se déguisent en marchands, en ouvriers de toute espèce : l’un tient un café, l’autre un cabaret ; l’un fait le métier de filou, l’autre d’archer qui court après lui. L’empereur, l’impératrice et toutes les dames de la cour viennent marchander des

son monarque, l’amuse… C’est un courtisan qui veut plaire. Après cette intervention, la narration s’accélère en un alexandrin à valeur de sommaire : « Ainsi dit le renard et flatteurs d'applaudir » (v.43). Le rythme binaire du vers est significatif : le premier hémistiche renvoie à ce qui précède, le second décrit ce qui s’ensuit ; l’absence de déterminant et de verbe conjugué rend la réaction de l’entourage d’autant plus empressée et unanime. L’attitude courtisane du Renard n’est donc pas un cas

des goupils : flatterie pour le roi, ton grinçant (-i..), il ne dit rien de lui (pas de « Je »). B) L'échec du plus faible L'Ane n'est pas un prédateur comme les autres, naïf, prend au sérieux le discours, ne connait pas la règle du jeu des courtisans (hypocrisie). Faute : essayer d'imiter les autres grands en se confessant. Pas de connecteurs logiques, pas de stratégie, il se rend coupable (v.54) d'avoir été tenté par le diable + gourmandise (faute). L'Ane se sent en confiance car il pense que

l'art et la perte à un renouveau artistique. Un épisode contraste 1.Le personnage de Sainte Colombe dans ce chapitre => Début de l'oeuvre, SC décrit comme austère, froid, violent. Violence montré dans chap 4 et 5, avec l'arrivée des courtisans chez SC (Caignet et Mathieu) => Début du chapitre : MM se fait exclure de la cabane de SC. => Ici, montré comme violent et froid. « Il n'était qu'austérité et colère » (début film) Page 65 : « Poussait hors de la cabane, vacarme, air courroucé

entre nous... mais d'amour" (2). Accablée par ce mot qui lui fait entrevoir sa condition, Yvette fait une autre horrible découverte: elle surprend Saval dans les bras de sa mère qui lui avoue, ou plutôt qui revendique avec fierté, son statut de courtisane (3). Yvette décide de mourir, "pour ne point devenir une fille entretenue", mais le chloroforme la grise au lieu de la tuer, et provoque en elle "une envie forte, impérieuse de vivre, d'être heureuse, n'importe comment, d'être aimée, oui, aimée":

sera finalement acceptée au salon. Désormais, la peinture sur toile, Olympia, de Manet, est exposée au musée d’Orsay. II. Description de l’œuvre Ce tableau représente une courtisane bourgeoise dans sa chambre qui reçoit, par l’intermédiaire d’une servante noire de peau, un bouquet de fleurs d’un de ses amants. Au premier plan, pose une femme nue portant des bijoux, le pied gauche encore chaussé d’une claquette, allongée sur

que le lecteur doit apporter pour relier ces allégories aux vices humains. la brièveté du récit évite l'ennui. Ex : Le corbeau et le renard de J. de La Fontaine, courte :18 vers corbeau allégorie d'un roi flatté par les courtisans et renard allégorie d'un courtisan, flatteur et profiteur. B) Le recours à la fiction peut aussi montrer des limites. _ implicite, le lecteur peut ne pas comprendre le sens général ou pire, faire un contresens. Ex : Les souris de Dino Buzzati. Après avoir

si sa m ère disparaît et avec elle , la canalisation des désirs sexuels du roi. Le deuxième mouvement est souligné par le blanc typographique Dans le mouvement suivant entre un nouveau personnage : la Cour. Pas de Roi digne de ce nom sans courtisan !. Le roi règne sur sa familles et sur sa Cour qu’ il domine et sur lesquels il rayonne. Tout d'abord, une évocation du palais, attribut de la puissance d’un souverain. Pas de roi sans palais ! On en rappelle la grandeur (« vaste ») , à l’ exemple

diérèse (acti/on), donc porteur d'un message important. On remarque qu'un verbe de perception survient peu après " Je vous vois " (v.18), qui a charge de restituer la scène antérieure qui vient de se passer : Philinte a manifesté trop d'amitié à un courtisan qu'il ne connaît même pas. Donc cette action unique est passée, ne sert pas l'intrigue, et se trouve être le prétexte d'une présentation des caractères. On ne sera donc pas surpris de la minceur des éléments dramatiques. Nous sommes donc dans une

morale, versification hétérométrique -Pt co ds le fond : leçon sur la liberté, valeur qui n’est pas monnayable et reste plus précieuse que tout (le loup refuse la domestication, le cheval s’est laissé prendre) Allusion sans doute à la condition des courtisans, entretenus par le roi Louis XIV dans une forme de servilité. Motif du lien. Plan de commentaire : I. Un récit vivant A . Le contexte de la fable Une époque mythique qui renvoie à des temps immémoriaux : les animaux parlent, ne st pas domestiqués