Cravate

blessure profonde que sondait leur regard, et reconnurent un de leurs princes à la majesté de sa muette ironie, à l'élégante misère (antithèse) de ses vêtements. Le jeune homme avait bien un frac de bon goût, mais la jonction de son gilet et de sa cravate était trop savamment maintenue pour qu'on lui supposât du linge. Ses mains, jolies comme des mains de femme (comparaison), étaient d'une douteuse propreté ; enfin depuis deux jours il ne portait plus de gants ! Si le tailleur et les garçons de salle

sur Apollinaire et ses calligrammes Résumé : Prenez des lettres, des mots, des phrases. Disposez-les sur une feuille blanche de façon que les phrases, les mots, les lettres composent des figures. Plissez les yeux, et apparaissent une montre, une cravate, un jet d'eau. Associés l'un à l'autre, le dessin et l'écriture créent une forme neuve et intrigante. Et si la guerre de 14-18 accable le monde, dans le même temps, l'esprit nouveau surgit et souffle sur la poésie avec enthousiasme. Le poète-soldat

longues, manches courtes, ras de cou, col v, avec boutons Pulls 5 % Ras de cou, col v, débardeur, gilets zippés, Vestes 4 % Blazer, parkas, manteaux ¾, manteaux longs Costumes 9 % Costumes été, costumes hiver, lavables en machine, infroissable Cravates 2 % Noires, soie, avec motifs Lingerie 1.5 % Maillots de corps, slips, shortys, caleçons FEMMES Pantalons 12 % Pantalons de ville, jeans, pantacourts Jupes 8.5 % Longues, ¾, pieds poule, rayées Vestes 7 % Habillées, laines Ensembles 21 %

qu’elle puisse l’observer de plus près, toucher la matière, apprécier la qualité du tissu. - Oui elle fait très classe, mais elle reste assez simple tout de même. - C’est vrai qu’elle est sobre, mais avec un beau costume et si l’on y ajoute une cravate ça amènera tout de suite plus de style. Le fait qu’elle soit satinée fait qu’il n’y a pas besoin de beaucoup de détails, sinon le risque serait que ça fasse « trop ». - Ce n’est pas faut. Je pourrais l’autre chemise ? - Bien sur, tenez, celle si

la pièce. En effet « sa chaussure », « son chapeau » sont des expressions qui permettent au metteur en scène d’avoir libre-choix sur les tenus vestimentaires des comédiens. Le dernier texte, lui, est l’inverse du premier. En effet « veston » et « cravate » sont des costumes vestimentaires modernes. Le deuxième indice qu’apporte le costume de théâtre est la classe sociale des personnages. Dans ce corpus, nous pouvons opposer ceux du texte A et du texte C, à ceux du texte B. En effet « la fraise »

devinera jamais qu'Emma est triste et malheureuse. Rodolphe: Il est le second amant d'Emma,paysan,grand et costaud il est vaniteux,avare et prudent,faisant attention a son apparence il porte des bagues,des chaînes de montre et des épingles de cravates voyante.Il finira par se lasser d'Emma et la laissera tomber après avoir été son amant durant quelques temps. Léon : Il est le premier amant d'Emma Bovary,élevé par des femmes,il a fait des études littéraires ainsi que de droit.Il est faible

de Charlie Chaplin sorti en 1940. Les points communs avec l’affiche précédente: le cadrage du personnage principal qui ici apparait encore plus grand, son air sévère, sa posture de face et le point levé, sa moustache, ses habits militaires et sa cravate, la présence forte de symboles ainsi que les couleurs et le texte en bas. Cette affiche me fait penser à l'affiche de propagande publicitaire " I. Want you In The U. S. army",et à une affiche de Staline car elle était là pour convaincre les hommes

plus de précision). Leurs habits, et, surtout, la manière de les porter, diffèrent cependant nettement : le premier semble bien « assumer » la chaleur (pantalon de toile), sa posture semble débonnaire « le gilet déboutonné, chapeau en arrière, sa cravate à la main » ligne 17, tandis que le second semble littéralement englouti dans ses vêtements « (son) corps disparaissait dans une redingote », « ..baissait la tête sous une casquette à visière pointue » (l’image de la casquette pointue accentuant l’impressions

aristocratique se manifestait dans le volume des fontanges et des perruques, les bourgeois, eux, se contentaient de leurs cheveux naturels portés long et coiffés, et comme les nobles ils adoptèrent la veste, le justaucorps, un rabat de lingerie et pour cravate un noeud de ruban. Les paysans conservaient les braies larges, sorte de casaque ouverte et serrée à la taille, et ils se chaussaient de bottes et de sabots, la paysanne s'habillait d'une robe de futaine et d'un tablier. Il est important aussi de noter

l’époque. En effet, selon la manière dont sont accoutrés les personnages, on peut déterminer à quel siècle se déroule l’intrigue. Dans le texte A, « les hauts de chausse » et les « perruques » situe la pièce dans le 17è siècle. Dans le texte C, « cravate » et « veston » portés par Berenger et Jean situe la pièce dans le moderne vers le 20è siècle. On peut déduire qu’en absence de costumes, les spectateurs ne peuvent se faire une idée du siècle auquel l’action se situe. Les costumes donnent également