Crédit national

accordé si la banque lui fait crédit. Le crédit est donc l’instrument de la création monétaire. Ce crédit se retrouve sur le compte du bénéficiaire sous la forme d’un dépôt (somme qui apparaît au crédit du compte du bénéficiaire) : on dit alors que « les crédits font les dépôts ». La banque, ayant accordé un crédit, rémunère ce service en faisant payer à l’emprunteur un intérêt proportionnel au montant emprunté. L’agent économique rembourse par la suite ce crédit, ce qui entraîne la destruction

l’octroi du crédit par les banques. Ce pouvoir, cependant, n’est pas illimité. ………annonce du plan. I- LE MECANISME DE LA CREATION MONETAIRE 1- Le mécanisme comptable de base Il s’opère de trois sortes : - La création monétaire : lorsqu’une banque accorde un crédit à un client, elle inscrit à l’actif de son bilan la créance qu’elle possède sur ce client et inscrit également au passif de son bilan, la somme mise à disposition du client sur son compte à vue. Au moment où la banque accorde le crédit, elle

produits - Rôle de L’agent commercial - Rôle de Chef de caisse -Les produits de la banque  ❖ Les cartes monétiques ❖ Les crédits ❖ Les produits à distance. ❖ Les produits de placement CHAPITRE 3 : les tâches effectuées au sein de l'agence "SIJILMASSA » ✓ Conclusion. ✓ Abréviations ✓ Bibliographie et webliographie

6 2. Organisation Administrative et Structurelle de la B.E.A…………….8 2.1 Organisation de la filière crédit..…………………………..………9 2.1.1 Les structures opérationnelles…………………….…..……10 2.1.2 Les structures d’engagements……………………….……..11 2.1.2.1 Direction des Engagements des Petites et………….11 Moyennes Entreprises (D.E.P.M.E) 2.1.3 Les structures de soutien……………………………..…….12 2.1.3.1 Le comité de crédit…………………………………….18 2. Le rôle de la B.E.A………………………………………….…………19 3.1 La collecte des dépôts……………….…………………………20

coopératives partout dans le monde qui travaillent à élargir l'accès aux services financiers pour les défavorisés. Le microfinancement est de plus en plus professionnalisé, avec des systèmes de cotation, des réseaux nationaux, des innovations dans la réglementation, des agences d'évaluation du crédit et des fonds d'actions. Même les banques commerciales ordinaires ont commencé à prendre conscience des promesses de la microfinance et à offrir des services à une clientèle plus pauvre. Des efforts considérables

deux moyens, soit par le maniement du taux d’intérêt, soit en agissant sur le niveau de liquidité des banques. De plus elle participe à la gestion des relations monétaires extérieures en déterminant le régime des changes et la parité de sa monnaie nationale par rapport aux devises étrangères. La banque centrale connait également d’autres fonctions telles qu’assurer le bon fonctionnement des systèmes de paiement. En effet celle-ci met en place un mécanisme des réserves obligatoires que les banques

CARACTÉRISTIQUES Le Secteur bancaire libanais est stable et financièrement solide. Il joue un rôle primordial dans l’économie nationale où les banques continuent à dominer le système financier du pays et sont les principaux bailleurs de fonds des individus et des sociétés.  L’ensemble des activités bancaires est soumis au Code du Commerce (1942) et au Code de la Monnaie et du Crédit (1963). Les banques et autres institutions financières au Liban sont soumises au contrôle et aux règlements de la Banque

métier ← Professionnels ← Soutien, bureau ← Ventes • Compétence du Personnel : ▪ Direction ← Mustapha FARIS, Président Directeur Général Formation : - Ingénieur Civil de l’École Nationale des Ponts et Chaussées de Paris - Certificat de Mathématiques Générales Expérience Professionnelle : Depuis Avr. 94 : Président Directeur Général de la BMCI 1984-94 : Président Directeur Général de la BNDE (second mandat) Président Délégué

faillite de nombreuses institutions bancaires à travers le monde (HERSTATT (1974), BARINGS (1995), YAMAICHI SECURITIES (1996)) et l’effondrement du système financier mondial a davantage montré les lacunes dans la procédure de Gestion des risques de crédit. C’est pour cette raison que les gouverneurs des banques centrales des pays du G 10 ont décidé de mettre sur pied les normes pouvant régir la gestion des risques d’où la naissance du comité de Bâle en 1974. Dans notre contexte, le Cameroun

thème) Les banques constituent des agents essentiels au bon fonctionnement économique. Elles permettent aux agents économiques (entreprise et ménage) d’avoir des comptes bancaires et des moyens de paiement, de gérer leur épargne et d’accéder aux crédits. Les crédits bancaires sont la source essentielle de la création monétaire définie comme l’augmentation de la masse monétaire en circulation (définition du mot clé). Ce pouvoir doit-il être accordé de façon illimitée aux banques commerciales ou doit-il