Créole louisianais

L'enfance Problématique : Comment vivre son enfance en ce pays dominé ? Séance 1 : Patrick Chamoiseau et les langues de son enfance, Supports : Texte de Patrick Chamoiseau, une enfance créole, chemin d'ecole, Gallimard 1994 et 1996 Question : Patrick Chamoiseau ; le négrillon La langue créole est la langue usuel au quotidienLe français, c'est la langue de la métropole du « savoir » ( le maître parlait français ; « O le maître étaits français » ) Les trois sentiments

ont été avancées, dont le contexte socio-économique particulier dans nos contrées, mais je dirais que c'est plutôt à cause de la diglossie mal assimilée. Dès le plus jeune âge, le petit Guadeloupéen entend indifféremment parler deux langues : le créole, véritable cri du cœur, utilisé dans les moments « chauds », quand il a fait une bêtise, expression de la joie ou de sentiments parfois violents ; le français, par contre, dont la maîtrise est gage d'ascension sociale, fait appel à d'autres comportements

Européens. On ne comptait déjà plus d'autochtones à la fin du XVIe siècle. Les Espagnols firent alors appels aux esclaves noirs qui s'hispanisèrent rapidement. À ce moment-là, les langues parlées en Jamaïque étaient l'espagnol, le portugais et le créole. 3.1 La colonie britannique En 1655, les Britanniques s'emparèrent de l'île; l'année suivante, arrivèrent de l'île de Niévès plus de 1000 colons anglais et leurs esclaves. Dès 1658, la Jamaïque comptait 4500 Blancs et 1400 Noirs. Entre-temps, la

années 30, qui considère la place des personnes de couleur noire dans la littérature. La créolité, quand àelle, est un mouvement né dans les années 80, et créée par Raphaël Confiant, Patrick Chamoiseau et Jean Bernabé, tous trois écrivains. Le mot « créole » était à l’origine destiné à définir les enfantsblancs nés sur une île, dans le but de les différencier de ceux de la métropole à laquelle appartiennent les îles. Parmi ces textes, Cahier d’un retour au pays natal de Aimé Césaire en 1947, Hostiesnoires

D’EVRY Licence AES (Administration économie sociale) Evry 2012 – 2013 LYCEE PIERRE MENDES FRANCE BAC technologique CFE (Comptabilité et finance des entreprises) Savigny-le-Temple 2012 LANGUES Langue maternelle Niveau scolaire Français, Créole Mauricien Anglais, allemand AUTRES Informatique Loisirs Sports Maîtrise de la suite Microsoft Office (Excel, Word) Cinéma et musique Badminton, football Après le FC Barcelone, le Real Madrid va-t-il à son tour être sanctionné d'une interdiction

entendu parrler des elfes, des gnomes, des fées, et feux follets ?! Eparrgne-moi tes « soucougnan » et tes « cheval-trois-pattes » ! » 4) Vocabulaire : * Dans le texte, le verbe « Etouffer » a le sens de se taire. On ne parle pas la langue créole devant les « Grands ». Mon grand-père s’est étouffé en avalant un noyau de cerise. Ici, « étouffer » a son sens premier, celui pour lequel une personne se coince un corps étranger dans l’œsophage (ou autre) lorsqu’il avale. Nous avons étouffé le

peuple d’origine africaine, — souligne Édouard Glissant —, “la fonction de la mémoire est liée à l’oralité” (PN, 112). Pendant la période de la traite, les esclaves antillais sont parvenus à se rattacher à leurs racines africaines en créant la langue créole pour pouvoir communiquer entre eux. C’est la nuit, après le travail dans les champs de canne, que l’on se transmettait l’histoire des généalogies, d’où l’expression “parole de nuit”. L’écrivain Ludwig constate que cette “parole de nuit” “a fourni

région d'outre-mer (DROM), le français constitue la langue officielle de l'île. La population utilise aussi souvent le créole martiniquais. Ce langage est un langage traditionelle facilement parlé dans la rue, en famille, entre amis, sur les ondes, dans les églises, il s'agit véritablement d'une deuxième langue. Au début, cette langue était méprisée, mais aujourd'hui la langue créole est enseignée dans le secondaire et à l'université des Antilles. Economie: La Martinique est importante dans

univers à la fois hétérogène et homogène, avec sa diversité linguistique, une diversité perçue comme un atout plus que comme un obstacle, du moins par Céline Alvarez Bàà, qui passe aisément de l’anglais à l’espagnol, de l’espagnol au français ou au créole. Bien que le thème de l’errance domine le roman, l’action se déroule en grande partie dans la ville de Saint-Pierre, le “Petit Paris” des Antilles. Là, on découvre la société coloniale, avec sa division en castes, ses préjugés raciaux, mais aussi

maîtriser le devenir. Constitutif du fait créole, le phénomène migratoire en accompagne chaque moment décisif: c’est la traite initiale, qui fonde situation premièrs d?esctavage; ce sont les apports successifs d’rsclalres ctfricains, qui posent la créolisation Za comme une dialectique du choix et de la contrainte; c’est le mouvement de dispersion des esclaves libérés en 1848, par lequel s’affirme le primat de l’individualisme comme choix spécifiquement créole; c’est enfin la migration vers les villes