Cri de guerre

d’œuvres la barbarie de la Première Guerre Mondiale. - 1933 : Hitler arrive au pouvoir en Allemagne et les œuvres d’Otto Dix sont qualifiées d’ « art dégénéré  » et en partie détruite. En 1937, ses œuvres sont retirées des musées allemands. - 1944-1945 : Otto Dix retrouve le champ de bataille et sera fait prisonnier par les Français. - 1969 : Mort d’Otto Dix à Singen en Allemagne de l’Ouest. C’est un artiste reconnu pour son talent et son témoignage fort contre la guerre. Citations de Dix « Je

l'époque : la guerre et ses conséquences désastreuses. La principale source d'inspiration est clairement la Seconde guerre mondial (Adolf Hitler, la dictature sous le 3ème Reich ...), Le titre de cette pièce fait référence aux petits mammifères qui vivent dans des galeries souterraines. Ces cinq soldats sont ensevelis dans un magasin de vivres souterrains. Pendant six ans, les survivants sont condamnés à vivre comme des taupes. En écrivant son œuvre, Edmond a critiqué la Seconde guerre mondial, chaque

Londres suite à l’effondrement de la Commune, il nous présente la période d’avant la guerre de 1870 caractérisé notamment par l'oppression du régime libéral bonapartiste, le siège de Paris par les prussiens. Ce serait Juliette Adam qui aurait encouragé Vallès à publier son texte dans la Nouvelle Revue clairement engagé contre Gambetta et sa république modérée. L’année suivante, L’insurgé est modifié pour le journal Le Cri du peuple que Vallès fait reparaître. Le roman ne paraîtra dans son intégralité

ART ET LA PREMIERE GUERRE Art et propagande de guerre : le « bourrage de crane » [pic] [pic] à comparer à une vignette de Tardi [pic] [pic] Art d’après-guerre Apollinaire : calligrammes, 1918 ( à contre-courant L'adieu du cavalier     Ah Dieu ! que la guerre est jolie     Avec ses chants ses longs loisirs     Cette bague je l'ai polie     Le vent se mêle à vos soupirs     Adieu ! voici le boute-selle     Il disparut dans un tournant     Et mourut là-bas tandis

glaive, Fume entre les pavés de la place de Grève, Qu'un juste assassiné dans la forêt des lois, Et dont l'âme a le droit d'aller dire à Dieu : Vois ! Victor HUGO   (1802-1885) Bêtise de la guerre Ouvrière sans yeux, Pénélope imbécile, Berceuse du chaos où le néant oscille, Guerre, ô guerre occupée au choc des escadrons, Toute pleine du bruit furieux des clairons, Ô buveuse de sang, qui, farouche, flétrie, Hideuse, entraîne l'homme en cette ivrognerie, Nuée où le destin se déforme

de son cher camarade de la SFIO, Guy Mollet, et de toutes ses actions durant le début de la “Guerre d'Algérie”. Quand on a tellement de cadavres dans de nombreux placards, il faut payer, mais ce fut l'Etat qui le fit, donc les contribuables! Mitterrand savait vivre très bien aux frais de l'Etat, il n'est, pas de loin, le seul! NOM Des républicains modèles La période de la guerre 39-45 Après la guerre ABELLIO Raymond (SOULÈS Georges, dit ) Polytechnicien. Membre du Parti Socialiste et

les symboles. A partir de la Première Guerre Mondiale, les artistes -et plus particulièrement les expressionnistes allemands- y trouveront un moyen privilégié pour dénoncer les horreurs de la guerre. L'expressionnisme se développa surtout en Allemagne pendant l'entre-deux-guerres, où la crise née de la défaite associée à la montée des nationalismes et du nazisme entraînera inexorablement le monde vers ce second désastre que constituera la Seconde Guerre Mondiale. C'est dans ce contexte historique

historique à travers un objet, ce qui permet de le partager avec tous. C'est ce que Pablo Picasso a fait en matérialisant la violence de la guerre à travers son tableau appelé « Guernica », et c'est à ce moment qu'intervient la notion de « mensonge », car sans aucune information sur cette peinture, rien ne nous fais comprendre qu'elle parle de la violente guerre civile qui se passa en Espagne (juillet 1936 – avril 1939) dans laquelle de nombreux civils furent massacrés lors d'un bombardement de la

fondamentaux de la personne humaine, l'égalité des hommes, notamment devant la justice. Enfin, Zola expose sa liberté de conscience. Il justifie sa révolte par la spontanéité et la pureté de son indignation : « Ma protestation enflammée n'est que le cri de mon  âme ». Par cette phrase, Zola revendique en quelque sorte le droit à la désobéissance civile face à l'état, lorsque l'individu a l'intime conviction d'avoir raison contre la loi. Il affirme le droit de s'élever contre la loi écrite (une décision

qui cri depuis son nid. En bas un homme mort git parterre. A sa droite, son bras tenant une épée. En haut, un cheval a été transpercé par une lance et blessé sévèrement sur le coté. Au sommet de la composition, le soleil brille, représenté par une ampoule. Juste à droite, une autre source de lumière : une lampe a huile tenu par une femme réveillée par le raffut des animaux. Juste en dessous une femme sort de l’ombre pour entrer dans la lumière. Complètement à droite du tableau une femme cri. Analyse