Crime de guerre

français/ personnalité active-passive. *  Les juridictions d’un autre Etat vont intervenir pour juger des crimes commis à l’étranger. Exemple d’Adolphe Eichmann. Il a été « kidnappé » en argentine pour être jugé. Principe de compétence universelle. Ce crime heurte la conscience humaine d’où cette compétence. * L’établissement d’une commission vérité et réconciliation. Exemple de l’Afrique du Sud. Un organe indépendant est chargé d’établir les faits, en écoutant les témoignages des anciennes victimes

dans  l’ex Yougoslavie. Un crime de guerre est l’assassinat, la réduction a l’esclavage, l’extermination, la déportation ou tout autre acte inhumain ayant lieu contre une population. Il a été commis dans l’intention de détruire, tout en partie, un groupe national (ex : la population arménienne), ethnique, raciale ou religieux (ex juifs sous la 2eme guerre mondiale). Ces crimes peuvent avoir lieu avant ou après la guerre. Prenons par exemple le génocide qui est un crime contre l’humanité. Ce mot

Le bilan de la seconde guerre mondiale Quel bilan peut-on dresser de la seconde guerre mondiale ? I un bilan accablant . a)Les pertes humaines Elles furent très lourdes : entre 55 et 60 millions de morts au total. (URSS 17 à 22 Millions ,Chine 13,5 M ,Pologne 6M ,Allemagne 5,5M, Yougoslavie 1,7 M , Japon 1,5 M).On constate que l ' Est de l ' Europe fut particulièrement touché. Dans les pays de l ' Europe de l ' Ouest, les pertes sont de moindre importance .En France, le second conflit

capitule. Les pays vainqueurs France Grande-Bretagne, Etats-Unis et URSS entreprennent de démanteler le régime Hitlérien dans toutes ses formes : c’est la dénazification de la société allemande. En URSS, le totalitarisme stalinien sort renforcé de la guerre et la fin de celui-ci sera long et difficile puisqu’il prendra fin en 1985. La fin du fascisme se fait en quelques mois : les italiens prennent les armes et font exécuter Mussolini. Comment les grandes puissances victorieuses sont-elles parvenues

Thème : la répression du crime international d’agression à la lumière du statut de Rome. Historiquement, l’emploi de la force armée était admis dans les relations internationales. Mais suite aux conséquences néfastes qu’ont fait subir à l’humanité les deux grandes guerres mondiales et certains conflits qui ont émaillés le vingtième siècle, l’ordre international contemporain règlemente l’usage de la force dans les relations interétatiques, et établit par la même occasion un mécanisme de répression

choc dans l’opinion et ainsi ouvrir la voie à une intervention internationale. L’enjeu peut être financier ou judiciaire, dès lors que le mal est fait et qu’il s’agit de poursuivre devant les tribunaux internationaux tel ou tel responsable pour « crime de génocide ». La question peut aussi relever d’enjeux politiques internationaux, comme en a témoigné récemment la décision du TPY de conférer au (seul) massacre de Srebrenica la qualité de génocide. Le mot paraît seul à même d'attirer l'attention

Royaume-Uni L’Allemagne L’Italie L’Autriche 1850-1860 1853-1856 : Défaite lors de la Guerre de Crimée 1851-1851 : Coup d’Etat de Napoléon III et proclamation du second Empire 1853-1856 : Guerre de Crimée et victoire des alliés franco-britanniques sur la Russie 1851 : Exposition universelle de Londres ; Affirmation du leadership anglais 1853-1856 : Victoire lors de la guerre de Crimée 1850 : Conférence d’Olmutz durant laquelle le roi Prusse accepte de laisser le leadership à l’Autriche

En l’espèce, le 11 avril 2000 un mandat d’arrêt international avait été émis par un juge belge à l’encontre de M. Ndombasi, ministre des affaires étrangère du Congo. Il était reproché à ce dernier de s’être porté auteur de crimes de guerre ainsi que de crime contre l’humanité, avant sa prise de fonctions, lorsqu’il était encore directeur de cabinet du Président. Les crimes dont il était ainsi accusé étaient punissables en Belgique en vertu de la loi du 16 juin 1993 relative à la répression des

(c'est-à-dire que le simple fait d'en avoir fait partie est un crime). Il s'agit des organisations suivantes : * le NSDAP (le parti nazi) * la S.S. (Voir la page sur les SA et les SS ) * le S.D. (Service de Sécurité) * la Gestapo (Police politique). Le 1er octobre 1946 est rendu le verdict du procès ouvert à Nuremberg (Nürnberg. Les quatre juges du Tribunal représentent les quatre pays vainqueurs de la Seconde Guerre mondiale : États-Unis, URSS, Grande-Bretagne et France (le

TRIBUNAL DE TOKYO Le Tribunal de Tokyo fut créé le 19 janvier 1946 pour juger les grands criminels de guerre Japonnais de la Deuxiéme guerre mondiale. Après la capitulation (Sans raisons)du Japon le 15 août 1945, les alliés décident de juger les responsables japonais en prenant modèle sur le tribunal de Nuremberg. De mai 1946 à novembre 1948, le tribunal de Tokyo composé de 11 juges,un président (l’australien William Webb), un procureur (l’américain Joseph Keenan) va traduire en justice les dignitaires