Crinière

cheveux désarçonnés cheveux sans parapluie Raymond QUENEAU, Les Ziaux, in Si tu t’imagines, N.R.F., Le Point du Jour (poète français, 1903 — 1976) LES CASCADES Les cascades dansaient là-bas Comme de blancs chevaux fougueux, La crinière pleine d’écume et d’arcs-en-ciel. Mais, patatras, au bord du précipice Les voilà tombes sur leurs jambes de devant : Cassées, oh, blanches jambes. Et ils sont morts au pied du rocher. Désormais dans leurs yeux éteints Se reflète le ciel

corps à la chaleur du soleil ou au regard de l’amant, comme un don de soi. Le trait est fin, parfois hachuré, il laisse plus d’espaces blancs, vides que de masses noires. La seule masse noire est celle de la chevelure, qui peut faire écho à la « crinière lourde » évoquée par Charles Baudelaire dans son poème la Chevelure, et génératrice de désir. Mais, la femme n’apparaît pas comme une proie, elle s’offre (contrairement à d’autres dessins du recueil). Ce qui correspond au titre du poème « Le Don

: temps de l’amour, de la sensualité, mais aussi temps du sommeil, du rêve 3/ Animalité et sensualité -On relèvera ici la métonymie "Ô toison" puis la métaphore filée avec "toison", "moutonnant", "encolure", jusqu'à la "crinière lourde" qui nous plonge dans un monde plus sauvage et sensuel. -sensualité liée à l’origine exotique de la femme // Jeanne Duval, créole : « mer d’ébène : couleur noire, infini de la chevelure, « noir océan » - personnification des continents

propre au rêve « Ce soir » : temps de l’amour, de la sensualité, mais aussi temps du sommeil, du rêve 3/ Animalité et sensualité -On relèvera ici la métonymie "Ô toison" puis la métaphore filée avec "toison", "moutonnant", "encolure", jusqu'à la "crinière lourde" qui nous plonge dans un monde plus sauvage et sensuel. -sensualité liée à l’origine exotique de la femme // Jeanne Duval, créole : « mer d’ébène : couleur noire, infini de la chevelure, « noir océan » - personnification des continents

Les Orientales, Victor Hugo, 1829 «  L’autre nuit… » L’autre nuit, je veillais dans mon lit sans lumière, Et la verve en mon sein à flots silencieux S’amassait, quand soudain, frappant du pied les cieux, L’éclair, comme un coursier à la pâle crinière,   Passa ; la foudre en char retentissait derrière, Et la terre tremblait sous les divins essieux ; Et tous les animaux, d’effroi religieux Saisis, restaient chacun tapis dans leur tanière.   Mais moi, mon âme en feu s’allumait à l’éclair ;

être en mouvement, comme s’il déployait toutes ses forces pour atteindre sa victime. Les personnages, y compris Hippolyte, sont également en mouvement, soit pour se défendre, soit pour se sauver. Le mouvement des vêtements des personnages, de la crinière des chevaux, de l’écume sur le sable, tous les éléments utilisés par Rubens dans ce tableau le rendent vivant, et presque effrayant, comme si le monstre pouvait nous atteindre. Rubens a fait de ce tableau une scène spectaculaire qui emmène les spectateurs

de l'Apocalypse, de toute référence à la Vierge de l'Apocalypse, et de toute autre signification religieuse précise. Cocteau était bien plus à l'aise dans la mythologie. Dans la lancette de gauche, un homme cheval, corps d'homme, encolure, tête, crinière et queue de cheval, s'incline devant Minerve comme pour faire allégeance. Cette figure de l'homme cheval, différente du centaure, a été utilisée par le poète dans le « Testament d'Orphée ». Dans le texte et le film — réalisé en 1959 —, deux hommes

les chevaux.Ensuite on a aussi le combat de Saint-Georges et le dragon. On appelle ce combat « le Combat Lumeçon » et il se déroule sur la Grand-Place. Le dragon attaque aussi la publique. Quand le combat est fini, les gens essayent de prendre des crinières (= cheveux du dragon) parce que ça porterait bonheur. La tradition commençait en 1349. Cette année-là, la ville souffrait de la peste. Quelques personnes ont organisé une procession avec les reliques de Sainte-Waudru et l’épidémie est fini peu après

prudence, il s’approcha de la main. Et il finit par se décider à manger la viande. .Mais il le fit sans quitter le dieu du regard, la tête allongée au maximum, les oreilles rabattues en arrière, les poils du coup se dressant instinctivement comme une crinière. En outre un sourd grondement monta de sa gorge, comme pour signifier qu’il valait mieux ne pas plaisanter. Il mangea, et rien ne se passa . Morceau après morceau, il finit par avaler toute la viande sans le moindre incident. Le châtiment tardait

conchy (kogchê) conchyli(o)contracopécope (kôpê) cope (kopto) jointure fruit noix, noyau fromage sur, contre, vers le bas de même, aussi chaîne queue tige tumeur, hernie récent centième tête cire corne queue cierge bleu poil lèvre main pince soie crinière tunique manteau jaune vert entonnoir cartilage corde, ficelle couleur temps or suc, jus se déplacer, mobile cendré autour autour mèche, touffe, filament boucle de en deçà rameau grillage fermé bouclier ortie avec (réunion, adjonction, simultanéité)