Crinière

sans tête épanche, comme un fleuve, Sur l'oreiller désaltéré Un sang rouge et vivant, dont la toile s'abreuve Avec l'avidité d'un pré. Semblable aux visions pâles qu'enfante l'ombre Et qui nous enchaînent les yeux, La tête, avec l'amas de sa crinière sombre Et de ses bijoux précieux, Sur la table de nuit, comme une renoncule, Repose ; et, vide de pensers, Un regard vague et blanc comme le crépuscule S'échappe des yeux révulsés. Sur le lit, le tronc nu sans scrupules étale Dans le plus

maisons, la ville entière » (gradation ascendante). Plus loin, l’oxymore « élégance tapageuse » (l.35) confirme cette recherche vestimentaire. Il faut également remarquer que G. Duroy est blond, mais d’un blond « vaguement roussi », comme le serait la crinière d’un fauve… implicitement, le narrateur nous met en garde contre un personnage d’autant plus dangereux qu’il est séduisant. * C. Annonce d’un roman sentimental ou d’un roman d’apprentissage ? Tout semble annoncer un roman d’amour : la blondeur

Cronos. Il revendique aussi l'invention de la bride, bien qu'Athéna l'eût déjà inventée avant lui; mais on ne lui conteste pas d'avoir institué les courses de chevaux. Dans ses vastes écuries, il possédait pour ses chars, des chevaux blancs à la crinière d'or et aux sabots d'airain ainsi qu'un chariot d'or qui s'apaise instantanément les tempêtes.En tout cas les chevaux lui sont consacrés, peut-être à cause de sa poursuite amoureuse de Démèter. Comme il était d'un caractère bourru et querelleur il

bestial s’abaisse au sens du toucher. Ce sont la nature et les effets de l’amour bestial qui sont représentés dans le bas- relief. Le motif principal est un énorme cheval débridé qu’un personnage assez indistinct cherche à maîtriser en aggrippant sa crinière. A gauche, un homme tire une femme par les cheveux comme pour la prendre de force. A droite, un adolescent grassouillet est en train de recevoir une sauvage volée de coups. Et près du bord droit apparaissent deux personnages qui portent un poteau

contrastes trés audacieux : rouge vert des tunique utilisation des couleurs primaire tout cela vient suggerer un sentiment de force brute. Sens du mouvement : tous les corps sont retournés tordus sur eux meme, presque vrillés , tout est en torsion : la criniere du lion, la queue du cheval, la houpette de l’homme en rouge. Baudelaire dit de ce tableau que les couleurs pensent par elles-meme. A noter que les fauves de differents continents sont ici réunis ainsi les hommes triomphent de tous les fauves dans

pavillon de ténèbres tendues, Vous me rendez l'azur du ciel immense et rond ; Sur les bords duvetés de vos mèches tordues Je m'enivre ardemment des senteurs confondues De l'huile de coco, du musc et du goudron. Longtemps ! toujours ! ma main dans ta crinière lourde Sèmera le rubis, la perle et le saphir, Afin qu'à mon désir tu ne sois jamais sourde ! N'es-tu pas l'oasis où je rêve, et la gourde Où je hume à longs traits le vin du souvenir ? La muse vénale Ô muse de mon coeur, amante des palais, Auras-tu

intransigeant et veut convertir tout le monde. L’évêque Rémi: il se soumet aux ordres, est plutôt Loup, le « Hun blond »: il est vaste d’épaules, ample de poitrail, a larges et hautes pommettes, des yeux légèrement bridés aux prunelles vertes et longue crinière fauve. Fier, fort et hardi. Otto, son compagnon: il est sans équivoque; c’est un germain pur jus, blond, long, sec, tout en jambes et en bras, à l’œil fureteur, le sourire prompt, l’allure d’un gosse qui aurait grandi plus vite que ses vêtements

Cet apport est postérieur au tracé noir. Cheval Brun Le deuxième cheval, encadré par les taureaux et disposé au dessus des petits cerfs est brun et noir. Appliquées par soufflage, ces couleurs sont associées en dégradé, en particulier sur la crinière. Cette technique, assez rare dans la cavité, peut être mise en relation avec la finesse de grain du support rocheux. La figure du cheval est limitée à la tête, l’encolure et au dos. En revanche, les détails anatomiques comme les oreilles, le bout

fleuve,     Sur l'oreiller désaltéré     Un sang rouge et vivant, dont la toile s'abreuve     Avec l'avidité d'un pré.             Semblable aux visions pâles qu'enfante l'ombre     Et qui nous enchaînent les yeux,     La tête, avec l'amas de sa crinière sombre     Et de ses bijoux précieux,             Sur la table de nuit, comme une renoncule,     Repose, et, vide de pensers,     Un regard vague et blanc comme le crépuscule     S'échappe des yeux révulsés.             Sur le lit, le tronc nu

du Moyen Âge aux fables - Séance 2 Étant par hasard à Rome, j'ai été, dit-il, le spectateur de cet évènement. Un lion à lui seul par la détente et la longueur de son corps, par son rugissement terrifiant et retentissant, par ses muscles et sa crinière flottante, avait attiré à lui l'attention et les yeux de tous. On avait introduit l'esclave d'un ancien consul, offert au combat contre les bêtes. Cet esclave avait pour nom Androclus. Quand le lion en question le vit de loin, soudain, dit-il