Crinoline

femmes étalées autour de lui : les jupons de basin, les fichus, les collerettes, et les pantalons à coulisse, vastes de hanches et qui se rétrécissaient par le bas. – À quoi cela sert-il ? demandait le jeune garçon en passant sa main sur la crinoline ou les agrafes. – Tu n’as donc jamais rien vu ? répondait en riant Félicité ; comme si ta patronne, madame Homais, n’en portait pas de pareils. – Ah bien oui ! madame Homais ! Et il ajoutait d’un ton méditatif : – Est-ce que c’est une dame comme

regard avec une égale curiosité. Il y avait de tout – tous les physiques, avec les délégations des vampires chinois, indiens, russes, anglais, français, espagnols, italiens, etc., et tous les styles. Depuis la très inconfortable et imposante robe à crinoline et décolleté plongeant, jusqu’au jean troué et piercing à l’avenant. Des fourrures dignes d’un homme des cavernes jusqu’au costume Zilli hors de prix. De la minijupe design à la tunique grecque vaporeuse. Plus encore que les humains, les surnaturels

les retardataires, ces couples de danseurs avaient l'air de marionnettes tournant au bout d'une ficelle tenue par une invisible main. Il y avait une femme dont je n'ai jamais su le nom, que je n'ai jamais revue, mais elle portait une robe rose à crinoline ou à paniers, vague allusion aux siècles passés, mais dont je n'aurais pas su dire s'il s'agissait du XVIIe, du XVIIIe ou du XIXe, et chacun de ses passages devant moi coïncidait avec une vague de la valse, et elle fléchissait et tournoyait en me

affaires de femmes étalées autour de lui : les jupons de basin, les fichus, les collerettes, et les pantalons à coulisse, vastes de hanches et qui se rétrécissaient par le bas. – À quoi cela sert-il ? demandait le jeune garçon en passant sa main sur la crinoline ou les agrafes. – Tu n’as donc jamais rien vu ? répondait en riant Félicité ; comme si ta patronne, madame Homais, n’en portait pas de pareils. – Ah bien oui ! madame Homais ! Et il ajoutait d’un ton méditatif : – Est-ce que c’est une dame comme

affaires de femmes étalées autour de lui : les jupons de basin, les fichus, les collerettes, et les pantalons à coulisse, vastes de hanches et qui se rétrécissaient par le bas. À quoi cela sert-il ? demandait le jeune garçon en passant sa main sur la crinoline ou les agrafes. Tu n'as donc jamais rien vu ? répondait en riant Félicité ; comme si ta patronne, madame Homais, n'en portait pas de pareils. Ah bien oui ! madame Homais ! Et il ajoutait d'un ton méditatif : Est-ce que c'est une dame comme Madame

anneau en laiton. Une vraie queue d'un vrai cheval. C'etait assez special comme relique… La! Les toilettes! Le battant etait en bois ainsi que la poignee de la chasse d'eau. La cuvette, vu son age, avait du voir des generations de popotins en crinolines… Camille eut quelques reticences d'abord, mais non, tout cela fonctionnait parfaitement. Le bruit de la chasse etait deroutant. Comme si les chutes du Niagara venaient de lui tomber sur la tete… Elle avait le vertige, mais continua son periple

femmes étalées autour de lui : les jupons de basin, les fichus, les collerettes, et les pantalons à coulisse, vastes de hanches et qui se rétrécissaient par le bas. – À quoi cela sert-il ? demandait le jeune garçon en passant sa main sur la crinoline ou les agrafes. – 216 – – Tu n’as donc jamais rien vu ? répondait en riant Félicité ; comme si ta patronne, madame Homais, n’en portait pas de pareils. – Ah bien oui ! madame Homais ! Et il ajoutait d’un ton méditatif : – Est-ce que c’est une

fleurs, les trouvant vénérables. Cosette s'habilla bien vite, se peigna, se coiffa, ce qui était fort simple en ce temps-là où les femmes n'enflaient pas leurs boucles et leurs bandeaux avec des coussinets et des tonnelets et ne mettaient point de crinolines dans leurs cheveux. Puis elle ouvrit la fenêtre et promena ses yeux partout autour d'elle, espérant découvrir quelque peu de la rue, un angle de maison, un coin de pavés, et pouvoir guetter là Marius. Mais on ne voyait rien du dehors. L'arrière-cour

trouvant vénérables. Cosette s’habilla bien vite, se peigna, se coiffa, ce qui était fort simple en ce temps-là où les femmes n’enflaient pas leurs boucles et leurs bandeaux avec des coussinets et des tonnelets et – 60 – ne mettaient point de crinolines dans leurs cheveux. Puis elle ouvrit la fenêtre et promena ses yeux partout autour d’elle, espérant découvrir quelque peu de la rue, un angle de maison, un coin de pavés, et pouvoir guetter là Marius. Mais on ne voyait rien du dehors. L’arrière-cour

the sidewalk in front of a grocery shop, stood a dark-haired young organ-grinder, turning out some quite heartfelt love song. He was accompanying a girl of about fifteen, who stood in front of him on the sidewalk, dressed like a young lady in a crinoline, a little cape, gloves, and a straw hat with a flame-colored feather—all of it old and shabby. She was singing a love song in a cracked but rather pleasant and strong street singer's voice, hoping to get two kopecks from the shop. Raskolnikov stopped